Jules Ferry

a eu une démocratisation de l’école. D’abord en 1833 avec la loi Guizot qui demande la construction d’une école dans chaque commune et une école normale d’instituteur dans chaque département. Puis l’essor de l’école a été accentué par la loi de Jules Ferry en 1881, qui instaure la gratuité de l’école. Et en 1882, l’école devient laïque et obligatoire jusqu’à 13 ans, et 16 ans en 1959. Ceci a eu pour conséquences d’augmenter le nombre d’élèves, on est passé à 4,5 millions en 1930 et du coup a fait

là semble être le meilleurs moyen car celui ci permettrait de former le corps des jeunes hommes dès leur 6 ans. Ainsi dans les école primaire on observera des militaires ou des pompiers à la place des enseignants EP. En 1880 les Républicains et Jules Ferry relancent la question de l'EP sur le plan politique. La loi George, qui impose à tous les garçons de pratiquer l'EP en primaire et en secondaire, est créé dans l'objectif d'assurer la transition entre l'école et l'armée : le Général CHANZYdit :

la République est confirmée par les lois constitutionnelles de 1875. En 1879, la démission du président Mac-Mahon met fin à la tentative de restauration monarchique. Des lois enracinent la République: liberté de réunion et de presse (1881), lois Jules Ferry sur l'enseignement primaire gratuit (1881), laïque et obligatoire (1882), loi autorisant les syndicats professionnels (1884)... La Marseillaise, choisie comme hymne nationale (1879), et le 14 juilet, proclamé fête nationale (1880), contribuent à

en 1874. 12 ans devient l'âge minimum pour travailler. À partir de cet âge, le temps de travail imposé est de six heures puis 12 heures entre 13 et 16 ; le travail de nuit est interdit jusqu'à 16 ans ; un corps d'inspecteurs est fondé. Les lois Jules Ferry en 1881 et 1882 accélèrent l'évolution. En 1893, à 13 ans, la durée est limitée à 10 heures plus une heure de repos ; à 60 heures par semaine (dont un jour de repos) pour les 16-18 ans tandis qu'un certificat d'aptitude devient nécessaire. Les

fondements des droits de l’Homme est la liberté d’expression. Alors, le fait d’exprimer sa religion par le port d’un voile islamique ou d’une kippa juive est en accord avec ce fondement. Le fait d’exclure un élève est, de plus, contraire à la loi de Jules Ferry qui rend l’école obligatoire. Pourquoi devrait-on être différent et changer notre apparence lorsqu’on va à l’école ? De plus, une loi interdisant les signes religieux ostentatoires à l’école a été votée. Mais elle est ambiguë car la définition

cette politique scolaire de la IIIéme République : Efficacité absolue Tous les moyens nécessaires pour une bonne réussite : Instituteurs bien formés issus des Écoles Normales nommés les hussards L’Ecole accorde des fonds importants La loi de Jules Ferry de 1881-82 instaurant l'école gratuite Des résultats positifs : Beaucoup plus d’élèves qui intègrent l’Ecole Une baisse importante du pourcentage d’illettrés en France Suppression de la mentalité religieuse

renvoie à la direction des mœurs puisque elles forment les cœurs, les vertus alors que l’instruction forme l’esprit (uniquement les savoirs). Pour Condorcet et les révolutionnaire on est sur l’éducation d’un tout un peuple à contrario de l’école de jules ferry qui est sur l’instruction de quelques-uns. b. L’éducation dans les bornes de l’instruction Pour Condorcet la révolution doit être comprise dans la longue histoire des progrès de l’humanité c’est à dire qu’elle fait partie d’un processus dans

d’abord, en 1789, « la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen » prône la liberté religieuse. Puis en 1791, « la Constitution » soutient la liberté des cultes et accorde des droits égaux aux différentes religions. Ensuite, en 1882, les Lois Jules Ferry instaurent l’Ecole publique gratuite, laïque et obligatoire. En 1905, date majeur de l’encrage de la laïcité en France, est établie une loi de séparation des Eglises et de l’Etat. Enfin en 2004, une loi interdisant le port de signes ostentatoires

obtient le brevet de capacité qui lui permet d’exercer le métier d’institutrice privée. A 41 ans elle réussit le test d’aptitude à l’examen des salles d’asiles et devient ainsi déléguée générale à l’inspection des salles d’asile puis en 1881, Jules Ferry la nomme inspectrice générale des salles d’asile. L’opinion de Pauline Kergomard à l’égard des écoles maternelles est assez paradoxale puisqu’elle affirme que la place de l’enfant est d’être au côté de sa mère ; elle va même jusqu’à espérer que

d'opposition. Mais il existe un dégradé de nuances entre les plus intransigeants comme G. Clémenceau et les plus modérés des radicaux qui gardent des contacts avec l'Union républicaine gambettiste. En revanche, les radicaux sont totalement opposés à Ferry 2/12 qui représente à leurs yeux la réaction. Héritiers des montagnards de la Seconde République, ils aspirent à la « République démocratique et sociale ». Ils veulent modifier la constitution pour supprimer la présidence de la République et le