Julie de Lespinasse

et Prince de Conti Exemple : Les Soupers du Temple > bureaux d'esprits : identiques aux salons dits « littéraires », les réputations d'auteurs s'y font et s'y défont, surtout fréquentés par les philosophes. Figures clés : Mme Geoffrin, Julie Lespinasse Exemple : Les soupers à L'Hôtel du Brancas > les salons athées : bien que cela ne fut jamais prouvé, on soupçonna certains salons de diffuser des idées athées (remise en question de la bible) Figures clés : Mme Tencin et ses invités

régulièrement, notamment des écrivains, pour converser mais aussi pour se livrer à toutes sortes d'activités et de jeux littéraires. Or, les plus célèbres de ces salons, ceux de la marquise de Rambouillet, de Madame Geoffrin ou de Mademoiselle de Lespinasse, ouvrent leurs portes aux XVIIe et XVIIIe siècles, à une époque où le mot « salon » ne désigne encore qu'une pièce de réception. La marquise de Rambouillet et Mademoiselle de Scudéry reçoivent d'ailleurs dans une chambre et non dans un salon. Ce

équations différentielles et les dérivées partielles. Ami de Voltaire et constamment mêlé aux controverses passionnées de ce temps, il était un habitué des salons parisiens, notamment ceux de Marie-Thérèse Geoffrin, de Marie du Deffand et de Julie de Lespinasse. C’est là qu’il rencontra Denis Diderot, en 1746. L'année suivante, ils prennent conjointement la tête de L'Encyclopédie. En 1751, après cinq ans de travail de plus de deux cents contributeurs, paraissait le premier tome de l’encyclopédie

l’éloge et du blâme ; analyse d’images.   Séance 1.   Première approche • Tri des textes du groupement. • Étude des genres. • Formulation de la problématique du groupement de textes.   Séance 2.   Le portrait élogieux Julie de Lespinasse, Portrait de Condorcet. • La visée argumentative. • Première approche des procédés de l'éloge : superlatif, hyperbole, comparaison méliorative, accumulation. • "Point langue" : le superlatif.  • Écriture d'invention : Faites

pensionnaire. L’homme de lettres (1746-1757)[modifier] Ami de Voltaire et constamment mêlé aux controverses passionnées de ce temps, il était un habitué des salons parisiens, notamment ceux de Marie-Thérèse Geoffrin, de Marie du Deffand et de Julie de Lespinasse, de la duchesse du Maine au Château de Sceaux, faisant partie des Chevaliers de la Mouche à Miel, invité des Grandes Nuits de Sceaux. C’est là qu’il rencontra Denis Diderot, en 1746. L'année suivante, ils prennent conjointement la tête de L'Encyclopédie

Commerce avec « les Indes » - C’est le siècle des Lumières, un siècle humaniste. Les philosophes [sofia = sagesse] (Montesquieu, Rousseau, Diderot, Voltaire ) se réunissent dans les cafés, clubs & salons littéraires (le café Procope, le salon de Julie de Lespinasse) et y discutent, débattent ; le nouveau savoir se répand. C’est le triomphe de la raison [Descartes dit : « Je pense donc je suis »]. Ils sont contre l’obscurantisme (les vieilles idées dépassées), les injustices, l’absolutisme royal (ils prônent

matérialisme athée : selon lui, le monde est une unité de matière, un tout sensible qui évolue seul. Donc, l’homme n’est que le fruit de l’une de ces évolutions. Publié dans "la Correspondance" de Grimm en 1782, (malgré le mécontentement de Julie de Lespinasse.) 1772 Parution du "Supplément au voyage de Bougainville" inspiré du "Voyage autour du monde de Bougainville" pour écrire ce nouveau dialogue philosophique. Un Tahitien âgé espère coloniser Tahiti. À travers ce vieux personnage, le philosophe

Condorcet est appelé au ministère par Turgot. Dès lors, Condorcet déplaça son centre d’intérêt des mathématiques vers la philosophie et la politique. La première année, il écrit essentiellement des pamphlets, défendant les idées des amis de Julie de Lespinasse. Les années qui suivirent, il prit la défense des droits de l'homme, et particulièrement des droits des femmes, des juifs, et des Noirs. Il soutint les idées novatrices des tout récents États-Unis, et proposa en France des projets de réformes

aux idées ni aux œuvres des encyclopédistes. Pourtant elle les aida, en les mettant en relation avec les officiels. Sa correspondance est un témoignage historique essentiel. Devenue aveugle en 1752, elle choisit une orpheline, Mademoiselle de Lespinasse comme lectrice et dame de compagnie. D'Alembert tomba amoureux de cette jeune demoiselle. Deux heures avant l'ouverture du salon de Madame du Deffand, il se présentait à l'entresol pour discuter avec elle. Plus on est de fou, mieux on rit...

spécialement pour l’esprit philosophique et préfère les mœurs et la littérature du XVIIe. Elle reçoit les Encyclopédistes et les aide en les présentant aux gens du monde ou à des hommes d’Etat Participants : Fontenelle, Marivaux et Montesquieu Julie de Lespinasse ( une des plus célèbres salonnières Demoiselle de compagnie et nièce de Madame du Deffand Rue Saint Dominique de 1764 à 1776 Participants : d’Alembert, Turgot, Marmontel, Condillac, Condorcet, Rousseau Son salon prend fin à sa mort Madame