Jürgen Habermas

Conclusion : Bergson affirmait que « la mécanique appelle mystique » : il nous faut un supplément d’âme. Mais ce supplément finalement a été remplacé par les divers produits du divertissement. b) Technique et idéologie Le philosophe Allemand Jürgen Habermas affirme dans La technique et la science qu’en fait, la science et la technique en même que la politique sont devenus des variables indépendantes du système. Il y a une science économique, une science politique donc ces domaines nécessitent des

facilité de cette Institution face au déséquilibre entre l’offre et la demande des devises. (cfr. Journal http://www.lobservateur.cd/ dans sa livraison du 19 mars 2009) 64 F. von HAYEK, Droit, législation, liberté, t. I, Paris, P.U.F., 1979 65 Jurgen HABERMAS, Droit et démocratie, trad. Par R. Rochlitz et C. Bouchindomme, Paris, Gallimard, 1997. 57 Avec le « réseau », l'État cesse d'être le foyer unique de la souveraineté (celle-ci ne se déploie pas seulement à d'autres échelles, entre pouvoirs

Herbert Mead. Il s’inscrit, par ailleurs, comme analyste des « pathologies du social » dans la lignée des grands théoriciens de l’Ecole de Francfort, l’école de la « théorie critique », dont il prend la suite : Max Horkheimer, Theodor W. Adorno, Jürgen Habermas. Axel Honneth, comme Hegel, part du principe que la société est première par rapport à l’individu et que, donc, la formation d’une identité autonome et accomplie - la réalisation de soi - dépend étroitement des relations de reconnaissance mutuelle

technocratique et la rationalité technicienne qui sont mises en question37. Le développement de nouvelles connaissances, notamment dans le champ de la psychologie environnementale (Duhl) de l'anthropologie sociale, de la science politique et de la sociologie (Habermas, Giddens)38, fournissent des bases conceptuelles qui ouvrent la voie à l’élaboration d’un argumentaire à connotation patrimoniale qui va au-delà des considérations artistiques. Par ailleurs, plusieurs réflexions issues du domaine de l'architecture

apporter à la suite de la dernière crise financière. — 22 — Le poids de certains acteurs financiers et économiques à l’échelle internationale pose un véritable problème de légitimité lorsque leur action contraint les politiques des Etats. Jürgen Habermas rappelle que « des déficits de légitimité démocratique se font sentir chaque fois que le cercle des personnes qui participent aux décisions démocratiques ne recoupe pas le cercle de ceux qui subissent les conséquences de ces décisions ». La situation

notion d’action. Les évolutions récentes les plus novatrices et les plus fortes de la pensée sociologique en Europe mettent au centre des préoccupations la réflexion sur l’acteur et l’action. C’est par exemple le cas en Allemagne des élèves de Jürgen Habermas, Axel Honneth et Hans Joas, ou en France des élèves de Pierre Bourdieu comme Luc Boltanski pour mentionner les sociologues les plus créatifs. Encore une fois, il ne faut pas considérer que la pensée sociale est isolée du reste du mouvement des

légitimité de la justice constitutionnelle présente celle-ci non plus comme un obstacle, une limite, une antithèse de la démocratie, mais comme un élément permettant de l’enrichir et de l’approfondir : D. Rousseau = la notion de démocratie continue (Jurgen Habermas)= idée que la démocratie ne peut se cantonner aux seuls moments électoraux (il faut donc dépasser donc le lien démocratieélection). Les citoyens sont invités à manifester leur volonté en dehors du simple calendrier électoral = en effet la démocratie

/philippe. Zarifian/page91.htm, Juillet 2003. [282] WATZLAWICK et alii. Changements, paradoxes et psychothérapies. Seuil, 1975 [283] Cf. annexe 1 : « Généalogie des théories organisationnelles » : La théorie de l’agir communicationnel de Jürgen Habermas et son application à l’entreprise par Philippe Zarifian (p 54) [284] BOUILLON, Jean-Luc. Gestion des connaissances productives et objets de communication professionnelle. In Communications organisationnelles, objets, pratiques, dispositifs (textes

dans une confusion souvent inconsciente avec ce qui relève de la démocratie directe. Ce qui est nommé dans ces pages « démocratie participative » est ainsi appelé par d’autres auteurs « démocratie délibérative », notamment sous l’influence de Jürgen Habermas et de John Rawls. En Belgique, cependant, c’est une contradiction dans les termes que de désigner ainsi des processus dans lesquels les citoyens n’ont pas de pouvoir de décision. On entend en effet par voix délibérative, en français, le fait de

la dimension interculturelle se retrouve dans l’éducation à la citoyenneté, notamment ce qui relève des « questions controversées ». Cette réflexion, que l’on retrouve dans le rapport Crick (Crick, 1998, section 10), s’inspire des travaux de Jürgen Habermas. Il définit la question controversée comme une question pour laquelle il n’y a pas un seul point de vue fixé a priori ou universellement valable. Généralement ces questions divisent la société, tandis que les groupes qui la composent présentent