Juron

éléments de cette scène ont-ils pu provoquer le scandale lors de la première représentation de la pièce ? ----------------------- [1] Personne qui est contre les traditions. [2] La bouffonnerie se caractérise par l’utilisation des injures et des jurons, le recours au langage grossier, l’amplification grotesque des gestes et des effets comiques.

appelle le futur roi « Bertie » un surnom que lui donne habituellement uniquement sa famille, cela installe une forme de familiarité et il veut également de la confiance. 5) les méthodes « peu orthodoxes et controversées » de Logue vont du sport aux jurons en passant par l'utilisation de la musique. C’est un traitement radical et qui s’inspire de l’amour que porte l’orthophoniste au théâtre et à Shakespeare (au début il lui fait lire un passage d’une de ses pièces) : le patient devient acteur et donc

important de souligner la richesse des différents styles d’écriture que l’on retrouve dans le roman. Diderot utilise 6 styles d’écriture différents : Le style « bas » ou grossier tenu par le neveu rameau. Le style « populaire » qui compte de nombreux jurons (diable, morbleu,…). Le style « familier » (exemple : il appelle les joueurs d’échecs des « pousse-bois ») Le style « mondain » (quand Moi parle de Racine) Le style « savant » (quand MOI utilise des formulations latines). Enfin le style « poétique »

le ressent comme une atteinte à sa préséance : « qui parle ici quand je parle ? » Valori persiste, avec componction ( gravité recueillie et affectée] dans un voc soutenu : « dessein », « s’égayer », « ne point » 4- Portrait de Lorenzo par le duc : jurons « diable », prise à témoin des autres, CL de la faiblesse « tremblent », « pâle », « va tomber », « trouver mal » Triomphe du duc qui rit aux éclats : il pense avoir réussi à prouver que Lorenzo est lâche et donc n’est pas « un homme à craindre »

impassible que lorsqu'il avait perdu ". Nous sommes d'ores et déjà en mesure de mettre en évidence un contraste entre la manière de jouer d'Athos et celle de Porthos. P. 313 : " .. au contraire de Porthos, qui accompagnait de ses chants ou de ses jurons toutes les variations de la chance ". et " Porthos avait des fougues : ces jours-là, s'il gagnait, on le voyait insolent et splendide s'il perdait, il disparaissait complètement pendant quelques jours, après lesquels il reparaissait le visage blême

viande qui est consommée en grande quantité. Cependant, ce repas colossal et coûteux est en désaccord avec la classe qui nous est présentée. En effet, les personnages sont présentés comme étant plutôt grossiers grâce à un langage familier et des jurons ("tonnerre de Dieu", "décrottait", "bâfrer"...). Ils sont aussi présentés comme ceci, grâce à leur attitude à table. En effet, Gervaise est "tassée sur les coudes", les dames "dégrafaient leur robe", les dames Lerat, Boche et Putois "grattaient les

s’attaquant aux oiseaux de la pourvoirie : «“Pourquoi t’as tiré [sur les oiseaux] comme un fou, comme ça? - J’étais pas tout seul - C’est pas une réponse. - […] - Je m’en crisse! 1”» En faisant appel à un registre de langue populaire et en utilisant un juron en discutant au sujet de la nature, Steeve témoigne de son détachement de la nature et affirme son hostilité. De leur côté, certains personnages sont favorables à la nature. Ces derniers sont de provenances urbaines ou encore ceux ne redoutant pas

situation familiale : un couple, leurs deux garçons et une femme... Il y a déjà présent un élément de tension dramatique, et la tragédie peut se nouer... 4.Les dialogues : plutôt nombreux, ils donnent vie à cette scène : le premier mot est un juron, bien frappé, et les répliques, courtes, poncuées de points d'exclamation, naturelles, montrent l'art de conteur que l'on connaît à Maupassant. Même dans un moment de calme plat, il faut un peu d'animation. On entre ainsi facilement, et avec plaisir

langage parlé, langage populaire : registre langagier : «lui, en aurait bouffé toute la nuit » - « et pour crâner, il s'enfonçait un pilon entier dans la bouche » ; « on s'en flanqua une bosse » -      mots gras : bâfrer « abêti de tant bâfrer » et jurons « tonnerre de Dieu » et  interjections «ah ! nom de Dieu ! » -      métaphores obscènes : « des faces pareilles à des derrières,  et si rouges, qu'on aurait dit des derrières de gens riches, crevant de prospérité »   ; « godiche » (forme hypocoristique

à la fuite d’Agnès avec Horace. On relève dans ses répliques toutes les caractéristiques du registre polémique, à commencer par un lexique péjoratif, notamment les nombreuses insultes envers Agnès (« friponne », « coquine », « impertinente »), les jurons (« Tudieu ! « , « diantre ! », « Peste ! »), et jusqu’à une comparaison animale qui fait d’elle l’image du démon : « petit serpent que j’ai réchauffé dans mon sein ». Cela est renforcé par la modalité exclamative, avec les interjections, telles le