Juste La Fin Du Monde épilogue

apporte-t-il au lecteur ? 3. Quels éléments contribuent à justifier que ce récit « n’est pas l’œuvre d’un historien » ? 4. Relevez les noms communs qui évoquent le contenu de cet ouvrage, puis dites en quoi ils produisent un contraste. 5. En quoi l’« Épilogue » (pp. 397-398) complète-t-il le « Prologue » ? Quel message essentiel souhaite-t-il faire passer ? Prolongements Lecture complémentaire Montrez en quoi Joseph Joffo reprend la même démarche au début de son second roman, qui raconte l’enfance

s’infiltrer dans son quotidien. Après l’assassinat du président burundais, le pays bascule peu à peu dans la guerre civile, alors que dans le pays voisin, au Rwanda, un génocide est perpétré contre les Tutsi. Gabriel cherche en vain à protéger son monde d’enfant, refusant de choisir son camp, mais il devra faire le deuil de sa vie d'avant et de son enfance ; il va se découvrir métis, Tutsi, Français. Les personnages Gabriel, surnommé Gaby, est un garçon de 10 ans. Il habite à Bujumbura avec sa

s’infiltrer dans son quotidien. Après l’assassinat du président burundais, le pays bascule peu à peu dans la guerre civile, alors que dans le pays voisin, au Rwanda, un génocide est perpétré contre les Tutsi. Gabriel cherche en vain à protéger son monde d’enfant, refusant de choisir son camp, mais il devra faire le deuil de sa vie d'avant et de son enfance ; il va se découvrir métis, Tutsi, Français. Les personnages Gabriel, surnommé Gaby, est un garçon de 10 ans. Il habite à Bujumbura avec sa

s'enchaînent bien, humour : clin d’oeil avec l'antre → correspond bien aux intentions des écrivains classiques du XVIIème siècle. II – Dénonciation cour et roi / Visée didactique – La célérité des courtisans = empressement à se rendre auprès du roi juste après la mort de la reine - « la femme du lion mourut : aussitôt chacun accourut » – L'auteur a fait le choix de débuter son récit à travers deux octosyllabes → impression de rapidité – L'empressement de la cour s'explique par le fait « de s'acquitter

atterrissage) générés par le survol de l’espace aérien et l’atterrissage sur les aéroports. Après son adhésion à l’OACI et une phase importante consacrée à l’organisation administrative et technique du secteur, la Direction de l’Air s’est attelée, dès la fin des années soixante, à combler le retard enregistré en matière d’infrastructures, d’équipements et de ressources humaines. Un vaste programme a été entrepris sur tous les plans pour faire face aux exigences de plus en plus sévères des aéronefs en

notre temps qui cherchait des antécédents dans l’histoire : les arables par exemple, entretenaient des contacts plus suivis avec les cultures urbanisées environnantes. Alfred Russel Wallace, qui découvrit avec Darwin la sélection naturelle est à juste titre compté par mis les antiracistes, la sélection naturelle selon lui ne peut élaborer des organes que pour l’usage immédiat des animaux qui les possèdent. Le cerveau des sauvages est en puissance égal au notre. Mais ils ne l’utilisent pas totalement

ignorent ce qu’ils font et ce qu’ils savent. En interrogeant les Athéniens estimés les plus compétents, Socrate découvre que le chef militaire ne sait pas ce que c’est que le courage et que le prêtre ne sait pas ce qu’est la piété, le politicien le juste… Celui qui, comme Socrate ou Pythagore, au moins, sait qu’il ne sait pas a, de ce fait, une certaine supériorité sur ceux qui croient posséder des certitudes: l’ignorance savante est préférable à la science ignorante. ( Le mouvement général du texte:

éducatif) qui apporte toujours un enseignement, une leçon de vie, qu’elle soit explicite comme des les fables de La Fontaine, ou implicite. L’apologue doit instruire, faire réfléchir le lecteur et modifier ses comportements ou ses opinions sur le monde dans lequel il vit. - Cependant cette morale est parfois « fragile » car le plaisir d’un récit divertissant, le jeu intellectuel du décodage des allégories, la distanciation imposée au lecteur, rendent parfois moins « lisible » le message transmis

représentaient pour lui ? Comme il avait souffert ces dernières semaines, comme elle lui avait manqué ? Comme il avait eu mal de son absence, craignant de ne jamais la retrouver ? Il n’avait pas dormi une seule nuit correctement, depuis son départ. Le monde était devenu un lieu hostile, vide de sens, qu’il ne voulait plus habiter sans elle à ses côtés. Il la regarda, vit la femme qu’elle était, ce qu’elle était devenue. Sa force, sa valeur, son intégrité. Et il sut que jamais, au grand jamais, il ne

vous plaît. » (28). c) le mal : l’incendie ; l’illusion : « Je veux dire être et paraître, la différence que c’est ! Tu vas, tu viens, tu es quelqu’un ; et puis un beau jour ça éclate. » (19) « Tu fouillerais, tu en trouverais des choses ! Tout le monde en a. Qui plus qui moins. » « Quand on veut faire le mal, ce n’est pas une culotte ou une robe qui vous le fait faire ou qui vous en empêche. » 20 d) la figure de Thérèse se détache et s’impose peu à peu : elle a 89 ans ; elle est née « deux ans