Justice distributive

propres. » (Émile Durkheim) La justice et le droit Que l'injustice nous indigne montre que la justice est d'abord une exigence, et même une exigence d'égalité : c'est d'abord quand un partage, un traitement ou une reconnaissance sont inégalitaires, que nous crions à l'injustice. La justice devrait donc se définir par l'égalité, symbolisée par l'équilibre de la balance. Mais qu'est-ce qu'une égalité juste ? Suffit-il d'attribuer des parts égales à chacun ? 1. La justice se confond-elle avec la stricte

constitue, en droit français, une condition de fond de la validité du mariage (article 144 du code civil). La règle de conflit de loi applicable aux conditions de fond du mariage est la loi nationale des époux selon le principe d’application distributive. Chaque époux est soumis à sa propre loi nationale. En l’espèce, l’épouse d’Olof est nigériane, elle est donc soumise à la loi nigériane. Le mécanisme de désignation classique de la loi applicable peut être perturbé par le renvoi au premier

école juste ? ». Partant de la définition la plus courante d'une école juste, c'est-à-dire celle qui fonctionne selon le principe de l'égalité méritocratique des chances, il cherche à en montrer ses limites et tente de proposer un nouveau modèle de justice vers lequel l'école devrait tendre. Dans cet ouvrage, l'auteur pose de nombreuses questions comme celle du sort réservé aux « vaincus » de la compétition scolaire ou encore celle de la création d'une culture commune. Son essai se divise en 4 chapitres

et désirs. Le bonheur est ce qui nous comble. Souverain Bien : « c’est l’inflexibilité de l’âme qui ne se brise pas, sa prudence, son élévation, sa santé, sa liberté, son harmonie, sa beauté » (Sénèque). Politique : changer le monde selon la Justice et la Liberté sans perdre de vue les contraintes de la réalité. Contrat social : « Trouver une forme d’associat° qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun s’unissant à tous

dire qu’il ne peut pas vivre sans lois. En effet, la loi est une règle écrite et générale à caractère permanent élaborée aujourd’hui par le Parlement, qui a pour but de faire respecter le droit lui-même lié à la justice. La non existence de la loi ne signifie pas qu’il y a absence de justice et de droit. L’Homme a démontré que la loi pouvait être aisément remplacée par la coutume, qui d’ailleurs préexistait par rapport à celle-ci. L’anarchie n’ayant jamais été réellement appliquée de manière autre

LA JUSTICE ET LE DROIT Droit = Ensemble des règles qui régissent un état. Droit Naturel, Droit Positif : Le droit positif est le droit tel qu’il est clairement établi (et ce de manière variable) dans chaque état. Le droit naturel est une conception idéale du droit, tel qu’il devrait être pour être conforme aux exigences d’humanité et de justice.  Justice = Platon et Aristote : Vertu essentielle qui permet l’harmonie de l’homme avec lui-même et avec ses concitoyens. De façon plus moderne, la justice

contrat les contrats vêtus (ceux pr lequel la loi a prévu une action spécial en justice) et les contrats nus (aucune action en justice n’était prévu). Un droit n’existait à Rome que si il était prévu la possibilité d’en faire une sanction par le juge l’inexécution. On a des contrats nommés réglementés et on prévoyait pr chacun une possibilité d’agir en justice. Ajd tout type de contrat peut faire l’objet d’une action en justice. On distinguait les contrats dit VERBIS (ceux qui nécessiteun échange de

société sans droit : « Ubi societas ibi jus ». On dit souvent que dans les sociétés primitives On dit souvent que dans les sociétés primitives (anciennes) il n’y avait pas de droit (la règle de la vengeance), qu’il y avait une justice privé (chacun se faisait justice à soi même) alors qu’aujourd’hui c’est tout l’inverse (c’est l’Etat qui sanctionne les règles de droit). (ps : après la règle de la vengeance, il y a eu la règle du talion (la loi du talion consiste en la juste réciprocité du

des consuls pouvait être plébéiens. En 343 av JC cette possibilité devient une obligation. Il existe différentes magistratures : * Consul : élu pour 1 an, ils bénéficient dans leur domaine de l’impérium. * Prêteur : chargé de la justice * Ediles : chargés de la gestion de la ville de Rome * Questeurs : s’occupent des finances * Censeurs : s’occupent du recensement des citoyens * Le tribun la Plèbe : chargé de défendre la plèbe. L’objectif est d’exercer

LE CONCEPT DE JUSTICE : ELEMENTS Les deux modèles de la justice : La justice comme ordre. Sens fondamental : « le juste est celui qui obéit aux lois » Aristote Ordre comme autorité (mettre de l’ordre). « Il n’y a pas de liberté sans lois ni là où un homme est au-dessus des lois » Rousseau. Ordre comme harmonie et hiérarchie (mettre en ordre). Les deux préceptes du droit : « suum cuique tribuere » attribuer à chacun ce qui lui revient, « neminem laedere