Justice distributive

dessus des hommes et souveraineté, volonté exprimant directement celle de Dieu. Résistance vive lors de la fin du 16eme mais résistance impuissante. Statut des juges monarchiques: fondement biblique. L'Etat a pour première fonction de rendre la justice : primauté basé sur l'affirmation de Dieu qui vient en tant que Juge voir le jugement dernier. Depuis le 13eme les juges se base sur la bible pour justifié leur rôle et leur parfaite indépendance. La mission qui leur revient est de rendre le jugement

dérogation. Réflexion sur la dérogation, sur la légitimité de la dérogation. La lecture par dérogation consiste à dire : pour comprendre le monde du droit il faut que je comprenne que ce monde est organisé par une logique qui conduit à faire échapper à la justice ordinaire l'action de certains acteurs. Le monde du droit n va pas fonctionner de la même façon selon qu'il s'occupe de l'activité des citoyens ordinaires ou selon qu'il s'occupe de l'activité de sujets extraordinaires. Ex : Les effets des opinions

à la justice La justice n’est pas toujours assuré par la justice et inversement : distinction entre les deux. Justice = deux sens : Justice : désigne l’idéal de justice, la conception que l’on peut avoir de l’équilibre. Justice : désigne quelque chose de plus trivial et concret qui est l’admin de la justice, aux mains de juges, de magistrats. Ils expriment la justice des hommes. Ces deux niveaux de justice sont interconnectés mais bien distincts. §1 : Le contenu de l’idée de Justice Ce

droit. Ce sont nécessairement des principes qui doivent êtres assimilés à des normes coutumières. Donc les deux sources du droit international seraient les traités et les règles coutumières. Dans le cadre des communautés européennes, la Cour de justice des communautés européennes a développé une jurisprudence en consacrant l’existence de principes généraux communs aux Etats membres. Enfin, comme le montre la pratique, il n’y a rien qui interdit à titre subsidiaire et complémentaire que le droit

 La justice et le droit (la politique) Si la morale nous dit ce que nous devons faire (le devoir), le droit définit ce qu'il nous est permis de faire. La justice est souvent considérée comme la principale vertu morale : la justice est la source des autres vertus et la condition de leur exercice harmonieux car elle renferme tout ce que l'on doit à soi-même et aux autres. Pour autant droit et justice coïncident-ils exactement ? Il y a bien des cas où la réponse est négative : que penser

Le droit est souvent lié a la notion , a l'idée de justice (car si on convint que l'on vote des lois justes on assure la paix sociale) Justice:Ce à quoi chacun peut légitimement prétendre. Mais dans l'idéal c'est aussi ce qui est conforme à l'équité. Aristote définit la justice commutative(vise les rapports entre individus , a rétablir un équilibre entre les individus. Par exemple la réparation des dommages causés.) et la justice distributive ( qui vise à rétablir une meilleur distribution des

personnes, capitaux (bien et services) ainsi que le libre établissement. Il existe aussi un droit dérivé càd des directives et règlements communautaires dont certains concernent le droit commercial. Enfin il faut tenir compte des décisions de la cour de justice des communautés européennes car elle s’applique directement en droit interne (en France) et lui sont supérieur. III. Les sources internationales De nombreux traités internationaux traitent de la matière commerciale et ont une autorité supérieure

bonne intelligence à défaut de vivre en harmonie. b) L’objet de la détermination du juste et de l’injuste La notion de justice est subjective, ce qui est juste pour quelqu’un ne l’est pas forcément pour quelqu’un d’autre. La législation est quand bien même basée sur la morale. La règle de droit doit être juste car quand on pense droit cela nous renvoie à la justice. Le droit a pour objet de permettre la vie en société de manière relativement harmonieuse, c’est-à-dire éviter l’anarchie

cité avait pour fonction de dire le droit, qui ne se fondait pas sur la justice, car elle était circonscrite au monde des dieux, donc, elle ne pouvait pas s’incarner sur Terre. La justice était une valeur idéale qui n’avait pas vocation à incarner le droit. L’écriture donne une postérité aux lois, elle les rend plus précises et les soustrait à tout risque de modification arbitraire. La loi écrite devient l’expression de la justice (la diké) sur Terre. Elle donne un caractère public à la loi, qui peut

Justice & Droit de l’hommisme Justice et droit de l’hommisme. Sommaire Introduction page 2 Partie I, Critique interne des Droits de l’Homme (différentes conceptions). page 6 Partie II, Le droit de l’hommisme un excès, une idéologie, un risque ? page 12 Partie III, Le droit de l’hommisme comme valeur hyper-occidentale critiqué par des civilisations non-européennes. page 17 Conclusion page 22