Justice distributive

profane/non-spécialiste, le droit est : Familier : vie quotidienne, références à des notions de droit qui nous environnent Mystérieux : Univers particulier, vocabulaire spécifique → effrayant car fait référence à des commandements/interdictions (intervention police/justice) Exemples de la vie quotidienne : 1 individu loue un appartement → signature d'1 contrat de bail, assurance de responsabilité civile… Il a 1 couple d'amis qui divorce → ils ont 1 avocat commun Il est inscrit sur Facebook → où se trouvent ses photos 

règle de droit = promulgation qui marque l’entrée en rigueur de cette règle / la mort de la règle de droit = l’abolition de cette règle. Caractère normatif : loi qu’on peut sanctionner avec un contenu (= énonce certains droits) applicable devant la justice. Caractère général : la règle de droit est là pour s’appliquer dans des cas généraux et non particuliers. Il y a un caractère général pour le contenu et pour l’application. Caractère abstrait : il est nécessaire pour pouvoir qualifier une règle

institutions humaines, l’artifice prodigieux de la loi. C’est à la loi seule que les hommes doivent la justice et la liberté. Mais la réponse demande à être précisée. Pour la liberté, grâce au concept de volonté générale, qui garantit que nul ne soit asservi par la loi qu’il s’est lui-même donné ; mais également pour la propriété, véritable fondement de la société civile, qui doit être accordé avec la justice (réduction de l'inégalité des fortunes). La question est double, de droit et de fait. En droit,

antique + christianisme ; lex naturalis : Il vaut mieux une injustice qu’un désordre ; lex divina : si le droit positif est contraire à une loi divine, la rébellion est justifiée. Aristote dit qu’il y a une différence entre la justice commutative et la justice distributive, -2.Le droit naturel laïque C’est surtout à partir du 17ème siècle qu’il se développe. Sous l’influence de Grotices et Pufendor. Pour eux à la différence du droit naturel religieux il se découvre par la raison humaine. C’est

LA JUSTICE ET LE DROIT Paul Ricoeur faisait remarquer que le sens de la justice (et peut-être d’abord de l’injustice) est enraciné dans notre expérience d’enfant : tous, nous nous sommes indignés, étant enfants, devant des rétributions disproportionnées de la part des adultes ( éloges, punitions ), devant des promesses trahies, des partages inégaux ( le gâteau inégalement partagé entre frères et sœurs. L’idée de juste, pour l’adulte, poursuit-il, se manifeste à 3 points de vue différents :

sensibiliser les élèves aux notions de justice et d’injustice en exploitant un thème qui leur est accessible et déjà familier à travers des lectures, des films (western), des faits divers… Il s’agit également de montrer que la vengeance est une forme de justice « privée » et s’oppose à la Justice institutionnelle, que les actes de vengeance sont parfois des réponses aux  faiblesses de la Justice (on travaillera alors sur des expressions comme « se faire justice soi-même »…). Enfin on pourra

au même titre que les autres lois. Elle doit être respectée par tous les commerçants. Si une décision ne respecte pas une coutume, cette décision de justice serait censurée, par la Cour de Cassation. 05/12/09 Chapitre 2: Les Tribunaux de commerce I. Les acteurs A. Les magistrats B. Le greffier C. Le parquet D. Les auxiliaires de justice II. Compétence et procédure A. Compétence B. Procédure L'origine des tribunaux de commerce est ancienne: foires du Moyen-âge. Les gens souhaitaient

univers particulier avec un vocabulaire particulier & des notions spécifiques. Il peut y avoir un côté effrayant car le droit fait référence à des commandements & des interdictions. Dans certains cas il peut y avoir intervention de la police et de la justice. (tribunaux) * Comment un individu peut être confronté au droit dans la vie de tout les jours ? Exples : - un individu a un appart, il signe un contrat de bail. - cet individu doit souscrire une assurance de responsabilités civiles. Pourquoi ? Pour

conviction que la responsabilité n’est pas une illusion, ayant en quelque sorte fait l’expérience du libre arbitre des criminels, je me décidai à défendre ces vérités morales qui me sont chères, et sans lesquelles il n’y aurait plus ni culpabilité, ni justice pénale. […] Mon travail se divise en deux parties ; dans la première j’examine les théories modernes de la criminalité ; dans la seconde les théories modernes de la pénalité. Les secondes dépendent des premières. En effet, si le criminel est une

second cas on passe d’une juridique a une autre. L’idée de volonté humaine, il n’y aurait pas de signification fondamentale du droit, il faudrait analyser les étapes successives du droit. La validité du droit ne dépend plus de la recherche d’une justice naturelle, mais dépend entièrement de l’autorité légitime qui édicte la règle de droit. Le droit a pour mission de rétablir l’ordre dans tout état de déséquilibre qui régnerait dans le monde, il a donc une dimension politique, car juger une situation