Justice Justesse

Hellénistes Conquête romaine  * Définition de la sagesse : Littré : « Juste connaissance, naturelle ou acquise, des choses. » Le qualificatif ramène à 2 subjectifs : Justice ou justesse. On peut aussi considérer qu’il rend accessible au plus grand nombre la justesse de la connaissance. La justesse = l’accord entre nos représentations, nos idées et les choses mêmes. Cf : St Thomas d’Aquin (XIIIe siècle) : Somme théologique : « Adaequatio rei et intellectus » = adéquation

l’homonoia (= la concorde) la philia constitue la véritable clef de voûte de la Polis. « Cela a tout l’air d’être l’amitié qui maintient l’unité des cités, et les législateurs font comme s’ils s’appliquaient à la conserver plus encore qu’à sauvegarder la justice. La concorde ne ressemble-t-elle pas, à première vue, à l’amitié ? Or c’est la concorde qu’ils aspirent avant tout à établir. » Livre VIII Chap 1 2) Mise en exergue des différents eidos, visages, de la philia entre égaux, à travers des distinctions

PASCAL (n°94) Pascal s'interroge sur relations / rapports justice-force → plusieurs combinaisons possibles → cela peut sembler plutôt normal pour un mathématicien (triangle de pascal) → relations existantes entre institution sociale, purement crée par les H sensée assurer l'égalité de tous, et une loi naturelle, innée. → insitstance de la nécessité de l'existence de la force /=/ justesse/ sagesse de l'existence du juste → la justice est impuissante par essence car elle ne dispose pas par elle

plupart, il s’agit d’une cause noble dans tous les domaines, qui mérite qu’on se batte pour elle, qu’on consente à tous les sacrifices pour la défendre. La justice est néanmoins une question abstraite et chacun en a une vision différente, partiellement vraie et à la fois erronée. D’abord en effet, qui sommes-nous pour juger de la justice d’une cause ? Elle sera peut-être ressentie comme juste pour les uns, mais injuste pour les autres. C’est notamment le cas du conflit Israélo-palestinien.

.....La guerre est-elle juste ? • Peut-elle être juste par la cause qu'elle défend ? • Qui peut être juge de la justesse de cette cause ? • Une guerre peut-elle être juste pour les deux camps à la fois ? • Une guerre peut-elle être plus ou moins juste par les moyens qu'elle utilise ? • Peut-il être juste de ne pas faire une guerre juste ? La guerre est une réalité que nous connaissons malheureusement fort bien : nous voyons tous les jours des images violentes. Nous

entre ensuite et montre à Kaliayev le côté humain de son action, les conséquences de la mort de son mari. Puis, elle souhaite que Kaliayev confesse qu’il a tué un homme. Mais, pour lui, le meurtre du grand-duc Serge était seulement une action de justice. Skouratov veut offrir la vie à Kaliayev à condition qu'il trahisse ses compagnons. Dans ce cas, il publira un article sur les repentirs de Kaliayev. Cette publication implique pour Kaliayev la trahison de ses amis et de ses idéaux. Mais Kaliayev

Devoir de Philosophie 1)En première partie, dans son « Ethique à Nicomaque », Aristote veut montrer que la loi ne doit pas être appliquée mécaniquement en imposant les mêmes droits et les mêmes devoirs. C'est pourquoi la justice véritable suppose aussi ce qu'Aristote nomme l'équité. En deuxième partie, Aristote insiste sur cette équité, qui implique que la loi s'adapte aux cas particuliers. Son argumentation débute par un énoncé clair de ses idées. Les connecteurs logiques ne feront qu'approuver

publiques…) et les usagers | Justice civile : litiges d’intérêt privés sans infractions où aucune peine ou contravention n’est encourue, la justice tranche seulement un conflit. Elle applique les droits privés pour améliorer les rapports de particuliers à particuliers. | Justice administrative : Litiges entre le pouvoir public (administrations de l’Etat, entreprises publiques…) et les usagers comme le refus du permis de construire, refus du titre de séjour. | Justice pénale : infractions allant

La notion de justice est indissociablement morale et juridique. Il serait possible de penser que l’un de ces deux aspects prime sur l’autre et le détermine. N’existe-t-il pas en chacun de nous un « sens de la justice » qui nous rend apte à évaluer et juger les décisions et actions, ce sens de la justice étant alors l’origine de la loi et du droit ? Alors, dans quelle mesure les œuvres de programme permettent-elles de poser la question du sens de la justice ? Pour Pascal, la justice est avant tout

(PHEDON). 4. Nul n'est méchant volontairement. (PROTAGORAS). 5. Le jugement de la Justice est le traitement médical de la perversité. (GORGIAS). 6. Le mal le plus grand c'est pour l'homme qui commet l'injustice de ne pas en payer la peine. 7. On paiera la peine de sa faute chez le juge comme on irait chez le médecin, évitant que l'âme