Justice Justesse

anglais est formé de deux branches : la Common Law, et l’Equity. La Common Law, créée au XVe siècle pour remplacer le droit anglo-saxon est un droit respecté par toute l’Angleterre et fondé sur la jurisprudence. L’Equity basée sur les principes de justice et d'équité, qui se révèle plus flexible et plus proche des besoins quotidiens de la population permet de pallier les insuffisances de la common law et ses rigidités. Ainsi, la common law permet d'octroyer des dommages-intérêts à une partie lésée

parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. » Le droit positif nous indique donc que toute personne dispose d’un droit  à la justice or la notion de bref délai n’est-elle pas en contradiction avec les dispositions de cet article, en effet on note que la notion de « bref délai » est variable et varie en fonction de la nature et de l’espèce

fillette dit plusieurs fois comment l’école la protège de sa vie familiale. L’école est un lieu de justice : la narratrice dit que, quand la maîtresse corrige les devoirs et donne les notes, « Rien ne peut égaler la justesse de ce signe qu’elle va inscrire sous mon nom. Il est la justice même, il est l’équité » (168). Sa vie familiale n’est pas du tout juste, mais, à l’école, elle peut avoir la justice. Son écriture la définit au lieu de lieu. Aussi, il y a un thème d’extériorité entre la maison

percevoir le paradoxe exprimer par cette notion. Quoi de plus paradoxal en effet que d'associer, d'un part, la guerre avec son cortège de violences, de destructions, de souffrances et de morts, en plus clair du mal et de l'injustice; et d'autre part, la justice comme idéal et ensemble de valeurs, de normes et de principes permettant une coexistence pacifique et libre des individus dans la société, en somme le bien et la quête morale ? Or, si on parle de notion de guerre juste c'est qu'on peut avoir, ou

littérature dans ce siècle sera donc influencée par l'argent et le développement économique, urbain et social qu'elle amène dans la société du XVe siècle. On y parle alors, dans les farces, des grands thèmes sociaux qui touchent tout le monde, comme la justice dans ce cas. Ce sont aussi ces événements qui vont inspirer à l'auteur la rapport qu'entretien Pierre Pathelin avec l'argent. Il en a peu et il arnaque, triche pour pouvoir garder le peu qu' il a. Pierre Pathelin n'est à priori pas un croyant

frère Étéocle lors d'une bataille où chaque frère veut tuer l'autre pour devenir roi de Thèbes, mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque grandiloquence

·                         Ce qui importe c'est le présent, ce n'est ni le futur, ni le passé qui te sont à charge, mais toujours le présent.   Marc Aurèle souligne tout au long de ses écrits les plus hautes valeurs de l'être humain : Sagesse, Justice, Courage et Tempérance, qui depuis Platon sont les quatre vertus principales du Philosophe. L'originalité de son œuvre est qu'il souhaite "vivre pour le bien", c'est-à-dire vivre dignement dans un monde plein de troubles, et qu'il veut que l'homme

* La philosophie politique pose comme toile de fond la question suivante: « comment faire pour qu'une cité (dans le sens de l'État) soit bien gouvernée? » (La République (V-IV av JC), Platon). Par bien gouvernée n'entendons pas efficience mais justesse du projet politique. La vie de Platon illustre bien la finalité de cette matière: déçu par la politique active, Platon quitte ses fonctions et réfléchit à la cité idéale. Quel sera le but de cette cité idéale? « Obtenir des hommes justes » pour

serait le principe qui ferait tenir l’ordre politique ? Réponse : le principe qui ferait tenir l’ordre politique est la justice. Or à la question du principe de l’ordre politique il faut répondre ainsi : les h ne savent pas ce qu’est la justice. Et il faut tirer pour P toutes les conséquences de l’ignorance des hommes s’agissant du principe de l’ordre politique qu’est la justice. Le philosophème pascalien est le suivant : dès lors que l’ordre politique est une réalité qui n’a pas de principe, 1 une

définit comme ce qui est contraire à la loi, inégalitaire. Pourtant la loi détermine seulement ce qui est licite (ce qui est permis par la loi) et ce qui est illicite (ce qui n'est pas permis par la loi), et ne se préoccupe pas toujours de la notion de justesse. Pour terminer il est bon de savoir qu’une convention est un accord humain né du sentiment d'un intérêt commun, lié par un contrat, un pacte ou un traité. Nous noterons qu'il y a une corrélation entre une convention politique, définit par l’assemblée