Justice époque Mérovingienne

fin du VIIe en profitant de l'anarchie mérovingienne des "rois fainéants". Pépin de Herstal contrôle déjà la Neustrie (Est de la France) en 687 en qualité de Maire du Palais, sorte de 1er ministre. Son fils Charles Martel accentue encore sa mainmise sur le royaume et s'illustrera en repoussant les arabes à Poitiers en 732. Le fils de ce dernier, Pépin le Bref, consolide l'acquis en réunissant l'Austrasie et la Neustrie et évince le dernier roi mérovingien avant de se faire sacrer roi des francs

francs saliens. Ce peuple est dirigé par une dynastie. La dynastie des merovingiens en souvenir de Mérovée. Le roi le plus connu de cette dynastie c'est Clovis, qui va régner sur un territoire de plus en plus étendu. Sur ce territoire cohabite des individus de nationalité différente, des gallots romains, des francs et puis d'autres nationalité, d'autres ethnies qui sont soumis à Clovis. La conception du pouvoir pour les mérovingiens (nature franque) le roi est il un simple chef de guerre ou bien se

matière civile, le mariage est conçu comme une alliance de famille, on se marie par intérêt et non par amour. La femme est achetée à son père, le mari qui veut la prendre apporte une dot au père. La femme en retour, apporte une contre-dot. A cette époque, les femmes fertiles étaient très recherchées. Le mariage est un échange de cadeaux. A partir de ce moment là, la femme passe sous l’entière autorité du mari, il peut la frapper, la corriger. Néanmoins le seul qui peut tuer cette femme est le père

Section 2 : L’organisation administrative et judiciaire L’organisation Administrative Mérovingienne a pour origine la volonté d’envoyer des représentants au plan local. L’objectif, c’était pour le roi d’unifier le territoire afin que l’autorité royale soit respectée partout. Paragraphe 1 : L’organisation administrative  A) l’administration palatine Ces mérovingiens ont copiés le modèle romain : en matière administratif et vont reprendre le modèle palatum : cela désigne l’ensemble du personnel

Judex en latin, qui est la contraction de l'expression Jus dicere : Dire le droit, rendre la justice. Deux conceptions de la justice émergent dans l'antiquité. Aristote les a notamment développées : La justice judiciaire La justice sociale Le juge doit rendre à chacun selon son dû. Et il doit rendre une justice sociale. I) Relation entre l’État et la justice. Dans notre société moderne, la justice est rendue au nom de l’État. L’État a une double mission : L’État règle les conflits qui surviennent

Illyrie depuis Ravenne.) Les Burgondes et les Francs occupent une position plus marginale. En quelques décennies cependant, cette situation a été considérablement bouleversée par l’extension du royaume franc sous la conduite de la famille mérovingienne. Les Francs prennent rapidement le contrôle de l’ancienne Gaule et accèdent alors à la première place sur l’échiquier politique et diplomatique occidental. Par ailleurs, si les royaumes barbares continuent à exprimer leur allégeance à l’Empire

reg »le de droit nest qu un habillage de ses facteurs. Cette définition occupe un point essentielle celu de la finalité du droit. A Quoi sert le droit ? Pour les romain, le droit est l art du juste et de l équitable. Il doit avoir pour objectif la justice. Une répartition équitable entre les individus. Institution est une forme ou une sctructure fondamentale d orga sociale etablie par la loi ou la coutume d un groupe humain donné. A l’idée d instit est attaché l idée d une réglementation car l institution

familles franques les plus riches et accaparent, sous les mérovingiens, le poste de maire du palais, grâce auquel ils contrôlent la politique des derniers mérovingiens. Avant Pépin le bref il eu plusieurs successions a Pépin de Landen au poste de maire du palais (Pépin de Herstel puis Charles Martel). Mais c’est avec Pépin le Bref que les Pippinides se font reconnaître rois des Francs avec le soutient du Pape. Par différence avec les mérovingiens, les rois carolingiens accèdent au pouvoir grâce à la

salienne pour les francs dit « saliens » qui portait sur beaucoup de domaine différents, que ce soit au niveau des échanges entre marchands, des mœurs ou des guerres et combats. Elle permettait de fixer des lois communes dans un but d'unification de la justice, chaque région du royaume ayant ses propres coutumes et règles fixées. Elle était une alternative a ce que l'on appelait la coutume, principale source de droit à l'époque. Puis elle a beaucoup évolué au cours du temps, jusqu'à devenir au 14eme siècle

dans les Champs Catalauniques. CHAPITRE INTRODUCTIF : LA TENTATIVE D’UNITE MEROVINGIENNE, FIN 5E – 751 Section 1 : les fondements du pouvoir 3 grands principes issus des coutumes barbares sur les quels reposent la royauté: _ Principe de race royale _ Principe d’hérédité _Principe de fidélité I. La race royale Notion de permanence et de continuité dynastique → idée de noblesse : le roi Mérovingien ne peut être que le plus noble (descendant de Mérovée) et être guerrier.