Kaléidoscope

épistémologique et méthodologique dans la façon d’étudier l’être humain dans son unité. 5- La démarche Cet ouvrage de 842 pages est à l’image du cheminement intellectuel de son directeur. Fresque immense, il met l'individu en scène, tel un kaléidoscope de situations divergentes, c’est-à-dire, un maillage d’idées vu à travers des approches disciplinaires différentes. Mais c'est avant tout, un plaidoyer pour une anthropologie générale des organisations visant à démontrer l’unité fondamentale

Anne-Marie DE MONSABERT, Isabelle CHATELLARD, Ma couverture et moi, Casterman, 2000 [Livre : A - MON] - Jacqueline GIRARDON, Le mouchoir de Benjamin, coll. Père Castor, Flammarion, 1986 [Livre : A – GIR] - Ian WHYBROW, Le doudou perdu, Kaléidoscope, 2000 [Livre : A - WHY] - Héloïse CHARRIER-MAUREL, Vincent MERCIER, Mes jouets, Mango jeunesse, 2005 [Livre : A - CHA] - Patache et les objets de la salle de bain, Play bac, 2000 [Livre : A - PAT] - La maison, coll. Lettre à lettre

personnages féminins de souvenirs de références historiques, syncrétiques, culturelles, littéraires et artistiques très éclectiques, ces personnages, déconstruits, perdent toute identité psycho-sociologique et historique stable pour devenir, dans un kaléidoscope d’images, les « ombres d’un rêve », la projection d’un imaginaire éclectique. - Ainsi Sylvie, la petite amoureuse de Loisy, devient-elle successivement : un personnage du Pèlerinage à l’île de Cythère de Watteau[10] (1717) (IV)[11]

il prononce des mots sans suite, elle rit encore. Il voit trois ans qui passent à grande vitesse, il voit un ralenti de leur rencontre sur le quai, il voit l’image s’arrêter sur une femme en noir, sous un cyprès au Cimetière. Il voit un kaléidoscope de leur rencontre, les sons qui résonnent avec un écho, des images qui se chevauchent. La tête lui tourne, il s’accroche à elle. Elle aime qu’il perde la tête, elle se penche sur lui, le pousse à la folie. Elle le force à répéter ses mots

donc pas purement muet, grâce au regard. Baudelaire aimait dire à propos de Constantin Guys que « L’observateur est un prince qui jouit partout de son incognito. On peut aussi le comparer, lui, à un miroir aussi immense que cette foule; à un kaléidoscope doué de conscience, qui, à chacun de ses mouvements, représente la vie multiple et la grâce mouvante de tous les éléments de la vie. C’est un moi insatiable du non-moi, qui, à chaque instant, le rend et l’exprime en images plus vivantes que la

the quiet of late afternoon The hidden meaning Of a clouded piece Of jade ! (...) they were discovering for each other the best pages of a book, a new stitch, or a rare color painted in the corner of a vestment ; or they looked through a kaleidoscope. It was plain now that memories must be forgotten, put aside and only the task heeded. Everything must be made tight and close for the coming winter, new pads to replace those soiled or eaten by moths must be made ready in a day or two... 52

est parti et il faudra rester toute la nuit à souffrir sans remède. Je me rendormais, et parfois je n’avais plus que de courts réveils d’un instant, le temps d’entendre les craquements organiques des boiseries, d’ouvrir les yeux pour fixer le kaléidoscope de l’obscurité, de goûter grâce à une lueur momentanée de conscience le sommeil où étaient plongés les meubles, la chambre, le tout dont je n’étais qu’une petite partie et à l’insensibilité duquel je retournais vite m’unir. Ou bien en dormant j’avais

immédiates que pour apprécier le voyage et la destination. « L'esprit » est un processus fluide qui s'élève tel une spirale à travers les cadres du sens. Michael Hall compare l'esprit à un vent tourbillonnant, une image électromagnétique, ou un kaléidoscope. La pensée n'est pas linéaire mais effectue des boucles, parcourt des cycles, se concentre ici et là dans un réseau systémique de processus multiples. Dans son livre « The Matrix model », L. MICHAEL HALL fournit des guides d'entretien qui peuvent

Le peintre de la vie moderne1 Le peintre de la vie moderne Charles Baudelaire Calmann Lévy, Paris, 1885 Exporté de Wikisource le 17 avril 20222 III LE PEINTRE DE LA VIE MODERNE[1] I. Le beau, la mode et le bonheur 51 II. Le croquis de mœurs 56 III. L’artiste, homme du monde, homme des foules et enfant 58 IV. La modernité 68 V. L’art mnémonique 73 VI. Les annales de la guerre 78 VII. Pompes et Solennités 83 VIII. Le militaire 87 IX. Le dandy 91 X. La femme 96 XI. Éloge du maquillage 99 XII. Les

l’écrit qui l’accompagne (travailler avec caches…) ou à faire parler les imagiers «muets» pour penser le monde : – Image y es-tu ? de Pierre Elie Ferrier (Gallimard jeunesse) ; – Regarde bien (et autres titres), photographies de Tana Hoban (Kaléidoscope) ; – Zinz’imagier de Jean-Loup Craipeau, Gérard Gréverant et Serge Bloch (Nathan Jeunesse) ; – Le Musée des animaux, choix de reproduction de tableaux de Caroline Desnoëtte (Réunion des musées nationaux) ; – Tout un monde (et autres titres)