Kant 3eme Proposition

Les Essais, éd. Pierre Villey, revue par Verdun-Louis Saulnier, 3 vol., Paris, P.U.F. (Collection Quadrige), 1988. Suite de ce cours, voir présentation de M. Marquer au semestre 2 Isabelle THOMAS-FOGIEL, Les métamorphoses du transcendantal Kant, les premiers post-kantiens (Enésidème et Maïmon) puis les néo-kantiens (Helmholtz et Natorp). Semestre 2 Enseignements spécifiques obligatoires. Séminaires d’Histoire de la philosophie ancienne, arabe ou médiévale, Pierre-Marie MOREL, L'idée

religions, va soutenir le camp des ultras catholiques. A la mort d’Henri III, le dernier des Valois, il propose de nommer reine de France sa fille isabelle. 2 candidats sa fille qui est catholique et Henri de Navarre qui est protestant. On refuse la proposition de Philippe II tout en poussant Henri de Navarre d’abjurer sa foi, ce qu’il fait et devient Henri IV en 1589. Les ambitions hégémoniques sont ruinées mais reprises par la branche viennoise de la famille. L’Empire est divisé par les religions,

parties se sont données par leur volonté. Le philosophe allemand Kant, justifiait le principe de l’autonomie de la volonté en ces termes « quand quelqu’un décide quelque chose à l’égard d’une autre personne il est toujours possible qu’il lui fasse quelque injustice. Mais à ce compte toute injustice est impossible quand il décide pour lui ». Lorsque chacun consent à des obligations, il n’y a pas de risque d’injustice, selon Kant. Cela était juste à l’époque où les contrats était maitrisée par les

elle a pour objet de régir la conduite de l’individu qui a dégagé ou adhéré à cette règle. Selon Kant, « La règle morale est l’intention d’accomplir son devoir ». Elle échappe au contrôle juridique car l’intention n’est pas l’acte même si de l’intention à l’acte il n’y a qu’un pas. Le postulat d’une morale propre à chacun est un postulat combattu par toutes les religions, les philosophes. Pour Kant, y a une morale universelle : «  Agis de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse toujours valoir

pertes humaines. Dans ce mouvement, il y a cette revendication des philosophes en faveur d’un règlement pacifique des différends entre états = les projets de paix perpétuels. Le premier est celui de l’abbé de St-Pierre. Le plus connu est celui de Kant. Section 1: La période de la révolution au sens strict La révolution est plus directement provoquée par la convocation des états généraux par le roi Louis XVI pour essayer de contribuer à la solution des problèmes financiers du royaume. La révolution

retomber dans le piège despotique. Dans un 1er temps, nous avons besoin de quelqu’un pour nous éduquer même si cela peut sembler paradoxal par rapport à l’idée de liberté d’autonomie. Il est nécessaire d’avoir une éducation de citoyenne. A ce propos, Kant dans un petit opuscule dit « qu’est-ce que les lumières ? » il invite l’esprit à se séparer de son état premier, de minorité est donc de devenir un citoyen à part entière pose le problème le problème de la citoyenneté dans son ouvrage. « Ose penser

beaucoup plus de problème de murs mitoyens qu’aux assassinats . L’homme de bureau voit dans le droit un ensemble de lois , de décrets , un corps de règles . L’ontologie juridique ( l’étude de ce que le droit est ) souvent négligé par les juristes . Kant distinguait deux questions : - Quid Juris : Quelle est la solution en droit à ce problème ? C’est la question qui intéresse le juriste . - Quid Jus : Qu’est-ce que le droit ? Cette question relève de la philosophie . Selon les auteurs ( la doctrine

l’insouciance moderne d’un progrès rationnel automatique s’est révélé au XXème siècle d’une triple manière : (1) le système totalitaire, qui a montré que la pire barbarie pouvait naître dans une société cultivée comme celle du pays de Bach, Goethe et Kant ; (2) Hiroshima et Nagasaki, qui ont montré que les possibilités ouvertes par la technoscience permettaient aussi de faire disparaître l’humanité entière ; (3) la crise écologique globale, qui a montré que la croissance économique localisée, permanente

politique. Dialogue "Les lois" où il décrit la cité régit par la loi comme étant juste après la société idéale (réintroduit alors la propriété privée et les liens familiaux). Philosophie.doc 8 / 69 JMC Aristote (384 – 322 av. J.C.) 3ème grand philosophe d'Athènes (non Athénien) Résume les conclusions auxquelles étaient parvenus les 1ers philosophes ("principe premier", et métamorphose). ⇒ Premier "biologiste" en Europe, il ordonna les différentes sciences. ⇒ La logique comme science

conjecture. La conjoncture est une situation résultant d'un ensemble de circonstance. Et la conjecture est une opinion fondée sur des probabilités. Il ne faut pas confondre 2éme et second. Car le second n'a pas de 3éme. La cour d'appel est du second degré et la cour de cassation du 3éme degré. On dis des difficultés pécuniaires. Il ne faut pas confondre notable et notoire. Un notable remarque ce qui est important et un notoire c'est celui qui est connu du plus grand nombre. Il ne faut pas confondre