Kant Bienfaisance

simple et général, il cherche à concerner un maximum de personnes. Cet exemple aisé devient de plus en plus complexe suite à un veritable enchainement de supposition et vire donc vers un extremisme désirant à recueillir une pitié du lecteur. Pourtant Kant met le lecteur dans une situation d'infériorité en enonçant qu'un enfant en bas âge n'hésiterait pas à rendre le bien qui lui avait été confié. 2) Création d'un débat Dès le commencement, cet extrait prend une tournure incitant au débat. En effet

I. INTRODUCTION La certitude peut se définir comme l’état d’esprit qui tient sans réserve pour vrai ce qu’il juge tandis que la pensée apparait comme la faculté de connaitre, de juger. Ainsi dire que la certitude est le signe d’une pensée morte, c’est dire qu’elle sous-tend absence de réflexion. Toutefois, il apparait parfois que la certitude soit le signe de la connaissance.

texte] La première partie du texte traite de la minorité, entendue comme incapacité à penser par soi-même, et permet à l’auteur de décrire les caractéristiques qui font d’un homme un « mineur », mais aussi de critiquer les mineurs, responsables selon Kant de la domination qui s’exerce sur eux. Précisons d’emblée le sens que l’auteur donne au concept de minorité. Ordinairement, ce qui fait de moi un mineur, c’est l’âge ou la loi. Est mineur celui qui n’a pas encore pleinement développé, selon une logique

facteur d’irrationalité de l’histoire. Les passions nous submergent et empêchent tout raisonnement logique. À propos de l’histoire Kant dira: on ne voit en fin de compte, dans l’ensemble, qu’un tissu de folie, de vanité puérile, souvent aussi de méchanceté puérile et de soif de destruction. Ainsi, lorsque l’on regarde l’histoire nous découvrons la bétise humaine. Kant définit aussi les trois passions fondamentales, soit l’appétit des honneurs c’est-à-dire l’ambition, l’appétit des richesses ou cupidité

s'opposer à ces derniers. En ce qui concerne la théorie de la connaissance, il est traditionnel de distinguer deux grands courants : le rationalisme (avec Descartes, Leibniz et Spinoza) et l'empirisme (Hume et Locke). Quant au philosophe allemand Emmanuel Kant, il défend une position originale dans cette discussion. Sa philosophie combine à la fois l'empirisme et le rationalisme. Tous ces deux courants se disent détenir la connaissance on se demande alors quel est le fondement de la connaissance? Dans la

représentation artistique (parce qu’elle est une fiction, c’est-à-dire une œuvre d’imagination qui se donne pour telle) le sujet peut reconnaître ce qui est vrai pour tout homme. On ne saurait confondre le beau avec l’agréable : page 212 Emmanuel Kant (1724-1804), dans cet extrait de son ouvrage philosophique Critique de la faculté de juger parut en 1790 intitulé Analytique du Beau, distingue deux types de jouissance esthétique : le sentiment du beau et le sentiment du sublime. Le sentiment du beau

"l'Anthropologie d'un point de vue pragmatique", Kant veut montrer l'origine du génie, donner une définition nouvelle à ce phénomène et lui trouver des limites. On peut donc se demander comment se manifeste le génie, dans qu'elles conditions. On peut aussi se demander si le génie s'oppose à l'apprentissage ou si, comme le suppose Kant, penser cela s'apparente à de la folie et donc si le génie peut être enseigné, donc appris. En premier lieu, Kant nous dit que "Le champ qui est propre au génie est

FICHE AUTEUR PHILOSOPHIE Auteur : Emmanuel Kant (1724 – 1804) Œuvres principales : Critique de la raison pure, 1781 et 1787 Fondements de la métaphysique des mœurs, 1785 Critique de la raison pratique, 1788 Critique de la faculté de juger, 1790 La Religion dans les limites de la simple raison, 1793 Théorie : La philosophie de Kant s'attache à répondre à trois questions, dont l'une touche à la métaphysique (Que puis-je savoir ? ), l'autre à la morale (Que dois-je faire ? ) et la dernière

ci ils n’ont pas de fonction essentielle à la vie ? Cependant le jeu contient une caractéristique qui est qu’il prend en compte la notion de victoire ou défaite, de supériorité ou infériorité .Mais quand est-il dans le domaine de de l’art ? Pour Kant, la réponse est claire. Il existe des peintures qui sont considérer belle et que si nous trouvons rien de « supérieur » a cette peinture pour la qualifié de belle, c’est que nous n’avons pas une bonne vision, et nous n’avons pas reçu un bon enseignement

nous « conduire hors de » notre animalité, en nous « guidant » vers ce que Kant appelle, dans son Traité de pédagogie, « l’humanité ». L’éducation, pour Kant, c’est à la fois instruire (partie positive de l’éducation : accéder à la culture) et discipliner (partie négative : maîtriser le corps). Elle permet à l’homme d’atteindre l’humanité c’est-à-dire la moralité. Nous pouvons comprendre que le but de l’éducation chez Kant est de conduire l’homme vers la perfection vue comme la destination de la