Kant Bienfaisance

contraire de ce qui est utile puisque, d’une part le bien ne peut pas servir à quelque chose s’il se prétend absolu (car en effet s’il doit avoir une utilité alors il est conditionné par le but qu’il poursuit et devient relatif, « hypothétique » dirait Kant), et d’autre part l’action morale est nécessairement désintéressée (car ici encore si nous faisons le bien pour autre chose que lui-même alors nous l’instrumentalisons et nous lui faisons perdre son caractère absolu pourtant nécessaire à l’idée même

répondre aux deux exigences que sont la volonté de l’auteur de l’offre d’être lié par contrat en cas d’acceptation par la partie sollicitée, et d’avoir une précision suffisante pour que les termes du contrat soient clairs et univoques. Emmanuel Kant avait énoncé la théorie de l’autonomie de la volonté. Ce principe se définit comme un principe philosophique, juridique et de théorie générale du droit en vertu duquel la volonté, librement exprimée, a le pouvoir de créer des obligations. En d’autres

Travail de Religion Contexte : Une jeune femme achète un livre sur la religion et le caissier scanne son achat ! R : Pfff ! Encore une victime. E : S’il vous plait ? R : Non, je disais que ce livre était très …. Intéressant ! E : Dois-je comprendre quelque chose par la ? R : Personnellement, je crois que la religion sont pour les personnes qui ne se sont pas encore trouvé ! E : Comment osez-vous juger sur quelque chose que vous ne connaissez même pas ! R : quoi ? moi quand j’étais

1. Kant et la paix perpétuelle 2. La paix perpétuelle était d’origine une notion nommée par l’Abbé de St. Pierre, un négociateur du traité d’Utrecht au 18eme siècle. Elle se définit comme un concept de paix idéal qui mettrait fin à toute possibilité de guerre. Selon Kant, l’établissement de cette paix universelle constitue le but final de l’homme. Il ajoute que c’est seulement en état de paix que les libertés peuvent être garantis. 3. Emmanuel Kant est un philosophe allemand travaillant à

Dissertation : « Ni dans le cœur des individus, ni dans les mœurs de la société, il n’y aura de paix stable tant que la mort ne sera pas mise hors la loi » Albert Camus Intro La peine de mort et son abolition est un débat fréquent, d’autant plus qu’elle n’est plus de vigueur chez nous seulement depuis peu. Des philosophes, tels Albert Camus, sont d’avis qu’une paix stable ne peut que se trouver dans un système où le trépas ne peut être infligé par les autorités. On peut donc se demander

créateur la signa donc elle devient personnifier. Maintenant nous allons chercher les limites de l’art, d’abord l’art fait appelle au beau, le beau on le retrouve de voire une œuvre mais aussi bien d’entendre la beauté d’un vers de poésie. Comme nous dits Kant «  Est beau ce qui plait universellement sans concept ». Mais dès que l’art trouve une utilité cela devint du design comme les bijoux technologique qui sont les Smartphones qui sont présenté comme une œuvre d’art mais or cela on une utilité donc c’est

nous l’avons vu, c’est le goût. Si Emmanuel Kant qualifie de goût l’appréhension du beau, ce n’est pas par hasard. Le goût, c’est d’abord le goût d’un plat, d’un vin, c’est le goût comme sensation très personnelle. Malgré toutes les différences, la faculté sensitive du goût et le goût esthétique ont en commun comme une sorte de spontanéité irréfléchie. «Le jugement de goût est (...) dont le principe déterminant ne peut être que subjectif. » (Emmanuel Kant - Critique de la faculté de juger ). Mais

un ressenti de « beau » à la vue de l’œuvre, ce sentiment lui sera plus ou moins agréable (KANT confirme cette idée en disant : « Chacun appelle [...] beau ce qui lui PLAÎT simplement »). Le beau étant ce qui attire le plus souvent l’Homme, nous pouvons nous demander si justement il est la fin, la finalité de l’art. Pour commencer, tentons de définir le beau qui connait plusieurs point de vus. D’après KANT « Le goût est la faculté de juger ou d'apprécier un objet ou un mode de représentation par

 voici l'algorithme que permet de jouer à la course à 20 contre un humain et il nous permet également de gagner sachant qu'il y a une stratégie gagnante. "L'art est la belle représentation d'une chose et non la représentation d'une belle chose" (KANT: Critique de la faculté de juger, I, §48) Notez l'écart marqué par le déplacement du qualificatif "belle"; ainsi est disqualifiée toute thèse affirmant que l'art copie la nature; la phrase centre sur ce que l'art est avec pour conséquence ce qu'il

morale aristocratique laisse surgir un doute. L’impossibilité de s’accorder sur son contenu et sur les moyens pour y parvenir ne rend –t-elle pas utopique une telle démarche ? Le bonheur n’est-il pas un idéal  de l’imagination, comme le formulera Kant au 18ième siècle, face à une réalité décevante? C’est que le mal existe et ne se réduit pas à une privation et le malheur advient même pour l’homme vertueux comme le constate tragiquement Job. Avec la révolution chrétienne qui introduit la pensée