Kant Explication Conscience

Cours de philosophie n° 2 LA CONSCIENCE La structure intentionnelle de la conscience 1) Définition : Etymologiquement le mot conscience vient du latin « consciencia, conscium » qui veut dire connaissance. En ce sens la conscience signifie tout d’abord faculté et pouvoir de connaissance sur le monde matériel qui nous entoure. La conscience est une faculté qui permet à l’homme de connaître plusieurs choses : - les objets qui nous entoure. « je vois, j’entends, je sens »

Explication de texte : Kant, Fondements de la métaphysique des moeurs Dans son texte Fondements de la métaphysique des moeurs, Emmanuel Kant évoque le concept du bonheur et son indétermination. Il soulève alors une question philosophique importante : pourquoi l’homme ne sait-il pas dire précisément ce qui le rendrait heureux? Pour Kant, cette impossibilité à exprimer clairement nos désirs (ayants pour but de nous rendre heureux) réside dans la non détermination du concept du bonheur et dans l’ignorance

Introduction Kant dans ce texte s’interroge sur les conséquences provoqué par la fausseté dans la nature humaine . La fausseté ici est le fait que nous possédons tous en nous une partie ou le vrai est manquant ou l’on dissimule la vérité pour en tirer avantage. Pourtant lorsqu’on parle de nature humaine on tend a penser à « aboutir à de bonnes fins » puisqu’en effet la nature humaine est définit comme quelque chose d’'inné par opposition à l'acquis et qui est l’essence, l’ensemble des propriétés

KANT Qu’est-ce que les Lumières ? INTRODUCTION 1) Présentation de l’auteur Kant est né à Königsberg en 1724 et mort à Königsberg en 1804. Königsberg, aujourd’hui Kaliningrad, était la capitale de la Prusse. Kant ne quitta pratiquement jamais sa ville natale et y enseigna la philosophie à l’université. En 1781 Kant publie la Critique de la raison pure qui a un grand retentissement. En 1784 quand il écrit Qu’est-ce que les Lumières, il est un philosophe renommé. 2) Le contexte historique Qu’est-ce

considérée en elle-même et non par rapport à son objet. L’amalgame est souvent fait entre être obligé et être forcé, pourtant l’obligation induit la liberté et si l’on ne déroge pas à ses obligations, c’est bien par conscience du devoir. Une obligation morale relève, en droit positif, de la conscience individuelle et de ce fait ne peut être jugée devant un tribunal. On peut donc tronquer le terme d’obligation morale avec celui de devoir. La difficulté de faire son devoir vient du paradoxe de la loi morale :

contemporaine, l'inutilité est inacceptable. Tout ce qui n'est pas utile semble suspect. Le "besoin d'art" s'oppose donc radicalement à ce que l'opinion entend par utilité. En recherchant une prétendue utilité de l'art, on dément sa "finalité sans fin". (Kant). 2) L'utilitarisme prosaïque qui caractérise la société industrielle moderne s'oppose à l'art autant par son souci d'efficacité technique, de rationalisation scientifique, que par son attachement au profit. La définition de l'art nous impose

du mal : d’une part, un mal inhérent au monde, préexistant à l’homme, effectif dans la nature même, un mal cosmique ou naturel en somme ; de l’autre, un mal foncièrement lié à la nature humaine, qui apparaît avec elle et par elle, qui trouve son explication en elle, soit un mal anthropologique. Radicale, cette opposition est, on le verra, souvent mitigée par les mythes comme par les réflexions modernes. Le fantasme d’un mal extérieur et responsable recoupant toujours une responsabilité humaine. En

quelles conditions les hommes ont-ils conscience d’avoir un passé et tiennent-ils à le connaître ? I Les conditions de l’histoire Nous avons tendance à identifier les notions d’évolution et d’histoire : tout ce qui existe sur terre et même dans l’univers évolue dans le temps (des paysages aux étoiles). Pourtant la notion d’histoire doit être réservée à l’homme : seul celui qui a conscience d’avoir une histoire en a une. C’est-à-dire celui qui a conscience que son mode d’existence comme le monde

Dans cette explication de texte, nous étudierons un extrait de Qu’est-ce que les Lumières ? écrit par un philosophe allemand aux XVIIIème siècle : Emmanuel Kant. Le thème de ce texte est l’autonomie de la réflexion de l’homme adulte. Kant s’efforce de résoudre le problème suivant : comment se fait-il que les hommes ne se servent pas de leur raison de manière indépendante alors qu’ils sont en âge de le faire, depuis longtemps. Pour résoudre ce problème, l’auteur soutient sa thèse selon laquelle la

qui n’a pas d’humanité. Un animal quand il chasse ou il broute ne sera jamais pensé par nous comme étant au travail. Il a certes alors une activité qui suscite des efforts sur le plan corporel mais de telles activités ne mettent pas en jeu une conscience réfléchie de l’effort. Ce serait alors la transformation réfléchie de l’effort spontané du corps grâce à des techniques mais surtout la mise en œuvre d’une transformation du milieu de vie qui 1 ferait de l’effort réfléchi humain un travail