Kant Fondements

Jules Renard disait « quand on est heureux, il reste beaucoup à faire ; à consoler les autres ». Mais Jules Renard n’est pas lu dans les lieux pieux. Consoler les autres, c’est partager, donner une partie de soi-même, et le partage n’est-il pas le fondement de toute religion ? Il n’en demeure pas moins que la part de chance qui s’attache au bonheur n’éclipse pas totalement le fait de notre responsabilité personnelle dans la recherche des moyens propres à l’obtenir. Car si le bonheur comporte une

sémantique. Le fait est que la réponse à cette question n’est pas simple, et a beaucoup tracassé nos amis philosophes lumineux. Vient à présent le moment d’introduire les deux distinctions que fait Jean-Jacques, dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes. 1ere distinction cette différence que la Nature seule fait tout dans les opérations de la bête, au lieu que l’Homme concourt aux siennes, en qualité d’agent libre. L’idée de Jean-Jacques est que l’animal

le cas) au déterminisme, au fatalisme et à toute doctrine qui soutient la thèse de la nécessité du devenir. Le concept de liberté divise très schématiquement les philosophes en deux camps: ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines (Épicure, Descartes, Kant), et ceux qui nient une quelconque transcendance de la volonté par rapport à des déterminismes tels que la sensibilité (Démocrite, Spinoza, Nietzsche): « Il existait deux opinions sur lesquelles se partageaient

critique) Nouvel exploit technique et scientifique mettant à l’avant plan la primarité de la raison dans la connaissance de monde et la maitrise de la nature. (développe l’humanisme (attitude philosophique)) Le projet de Descartes Revoir les fondements de la connaissance Rationalisme : doctrine d’après laquelle toute connaissance provient de la raison René Descartes (1596-1650) Père de la philosophie De quoi peut-on être absolument certain ? Le doute est un préalable pour la connaissance

Quand la philosophie s´attache à la conscience, le plus naturel est qu´elle interroge en premier lieu ce qu´on appelle la conscience d´objet. On peut en effet se poser la question, dont Kant a fait le point de départ de sa théorie de la connaissance, de savoir « sur quel fondement repose le rapport de ce qu'on nomme en nous représentation à l'objet ». Comment la conscience peut-elle s´apercevoir qu´il existe quelque chose hors d´elle et comment ce qu´elle éprouve, quand elle fait cette expérience

Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties est un enthousiaste ; celui qui soutient sa folie par le meurtre, est un fanatique”. Mais il n’était pas le seul. En effet, Emmanuel Kant écrivait également : “Le fanatisme est, pour ainsi dire, une témérité de la piété”. Pour conclure, on dira que la pensée du XVIIIème siècle s’apparentait plutôt au pôle de la raison... Seulement cela ne dura pas éternellement. Alors que les divergeances

permettre de mentir s’il veut être considérer comme un bon croyant (l. 2 : « Sûrement pas parce qu’un Dieu a défendu le mensonge »). Nietzsche dit que « Dieu est mort », cette théorie ne peut donc pas avoir de valeur à ses yeux. Les valeurs n’ont pas de fondements divins, ce sont des valeurs humaines. Ensuite, si on dit plus souvent la vérité c’est pour deux principales raisons : parce que c’est plus commode et parce que c’est avantageux. En effet, le mensonge nécessite des facultés que tous les hommes ne

pheno mais ds la tete. en soi donc diff que pour pour soi, la cause n’est donc pas ds les choses telles qu’elles sont mais ds l’esprit qui voit ces choses - pour faire cause a effet il faut de la croyance => la science ds son fondement repose sur une croyance naïve - Kant : la science porte sur un objet purement intellectuel, rien de scientifique justement (critique de la raison pure) - Il n’y a pas plus spirituel que la sc car av la sc cesse detre sensible elle devient juste inteligible

rechercher et énoncer des lois, à déterminer les comportements particuliers, fut également un élément important dans la constitution d’une philosophie où le concept d’individualité prévalait, en somme où l’individu avait des droits basés sur d’autres fondements que la seule tradition. On parle alors d’avènement du sujet pensant, en tant que l’individu peut décider par son raisonnement propre et non plus sous le seul joug des us et coutumes. Ainsi, John Locke rédigea ses deux Traités du gouvernement civil

de l’art) ? Poser une problématique qui annonce en même temps le plan de la dissertation, tel qu’il sera déployé dans le développement. Il nous faudra revenir en un premier temps sur la conception élitiste de l’art pour en comprendre les fondements. Puis nous tenterons d’évoquer une vision plus démocratique de cette activité, celle qu’on appelle parfois « art populaire », nom que revendiquent ceux qui se considèrent comme des « artistes des rues ». La jeune femme qui chante dans les