Kant Juge Intérieur

de l'opinion des autres ne venaient consolider la voix intérieure de certaines consciences. Mais ensuite, et surtout, il s'agit au point de vue sociologique d'établir si cette voix et les « châtiments internes » qu'elle entraîne sont vraiment intérieurs dès le berceau ou s'ils ne constitueraient pas, au contraire, des produits de l'intériorisation progressive d'influences extérieures, donc des effets de la socialisation due à la famille et à l'éducation. Or, tout ce que nous savons aujourd'hui

marmite, un linge, des couverts, une miche de pain) en les plaçant sous une lumière qui en fait jaillir la singularité : ils sont uniques et irréductibles à ceux qu’on a coutume de voir. Parce qu’elle se situe par-delà tout concept ou idée générale (Kant), l’œuvre d’art nous apprend à percevoir ce qu’aucune éducation d’ordre intellectuel (savante) ou empirique (sensibilité ordinaire) nous eût appris. Daniel Arasse peut ainsi faire remarquer que les grandes œuvres se définissent par leur capacité à

La vie imite l’art, bien plus que l’art n’imite lavie  » WILDE. «  L’œuvre d’art n’est pas la représentation d’une belle chose, mais la belle représentation d’une chose  » KANT. Citations : «  Le mot ne note de la chose que sa fonction la plus commune et son aspect banal  » BERGSON. «  Les limites de mon langage signifient

s’oppose aussi à la sensibilité et la contrôle, mais elle en a quand même besoin pour la connaissance ( la connaissance a besoin d’une part la raison et d’une autre les sens ). Les sens collaborent avec la raison pour produire une connaissance Selon Kant, il faut allier un concept rationnel et une intuition sensible. On ne peut pas se fier toujours à nos sens. On est passé de la représentation du géocentrisme( théorie qui place la Terre au centre de l’Univers ) à la représentation de l’héliocentrisme(

ainsi elle n’est pas un fondé et c’est en quoi elle est propre à l’homme. Etre libre c’est posséder une valeur créatrice de l’acte que rien ne précède. L’homme est liberté car il se sait dans une « situation », c'est-à-dire qu’il en a conscience, et se juge dans la valeur qu’il a donné à ses actes. L’homme est le moteur de l’existence de sa vie. Cette liberté conduit à une « morale d’action et d’engagement ». Ainsi la liberté doit lutter contre la mauvaise foi. En effet, l’homme a « l’entière responsabilité

(Méditations métaphysiques, Pléiade, p. 305). L'indifférence est cet état dans lequel se trouve la volonté lorsqu'ayant à se décider elle a le choix entre deux actions et qu'elle n'éprouve aucune inclination, ni ne perçoit de raison de choisir. Descartes juge que, concrètement, cet état est celui de la moindre liberté. Le terme d'indifférence est d'ailleurs un terme négatif qui désigne un manque d'éléments d'appréciation plutôt qu'une disponibilité quelconque. Dans un cas d'indifférence totale je m'en remets

des règles, des conduites qu’à ce qui les constitue " au fond ". CHAPITRE 1. LA DÉMONSTRATION DESSIN CARRE AVEC RECTANGLE COTE A ET B 13 Commentaire : Quand il dit 5 + 7 = 12, il l’emprunte à un autre philosophe du XVIII : Emmanuel Kant (1724-1884). Kant montre que dans son vocabulaire à lui 5 + 7 = 12 est un jugement synthétique, c’est-à-dire un jugement qui apporte un jugement supplémentaire de connaissances. Nous avons l’immédiatement des nombres jusqu’à 4 ou 5. Ce qui peut paraître simple

son unité, l'unicité au moins de son Idée? (Toutes mes questions à cet égard, et surtout les plus incrédules, ne peuvent venir que d'un lieu qui reste extérieur au Ciph, quelle que soit la part que j'ai pu prendre à sa fondation. Mais j'ai toujours jugé que la participation ou l'appartenance au Ciph ne devait ressembler à aucune autre.) L'exorbitant est aussitôt contaminé ou compromis, il compose avec les normes les plus rassurantes. Si le Ciph prétend déceler des frayages nouveaux et nécessaires

nécessairement son existence. C’est du moins ce qu’affirme l’argument ontologique de Descartes. Ce qui suppose que l’existence relève d’un traitement logique, et qu’il y a continuité ou dérivation entre un concept et l’existence de ce qu’il désigne. Mais Kant a montré que l’existence ne peut être affirmée au terme d’une simple analyse a priori, quel que soit le concept analysé. L’analyse confirme bien que l’objet défini dans le concept est conforme aux conditions générales de possibilité de n’importe quel

liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste