Kant Le Beau Plaît Universellement Sans Concept

l’intellect. On peut dire que l'art est le propre de l'homme, ce qui le distingue au sein de la nature et que cette activité n'a pas de fonction clairement définie. Effectivement, les définitions de ce concept varient largement selon les époques et les lieux, et aucune d'entre elles n'est universellement acceptée. Ainsi, pour Marcel Mauss «un objet d'art, par définition, est l'objet reconnu comme tel par un groupe.» C'est pourquoi les collections de productions artistiques peuvent être classées et appréciées

donc cette sensibilité esthétique qui nous rend capable d’apprécier l’art et de l’aimer ? (texte) Le sentiment du beau, le charme de la beauté n’est pas le privilège de nos cinq sens. Nous éprouvons la beauté surtout sur le plan de la vue et de l’ouïe. Il est difficile de parler de beauté à l’égard d’un parfum. Un parfum peut-être prégnant, enivrant, délicat ; il n’est pas « beau » sur le plan de l’odorat. Un contact peu être désagréable, feutré, doux. Nous ne pouvons pas directement parler

qu'accidentel. Si l’œuvre ne convainc pas d’elle-même, a-t-on quelque chance de pouvoir plaider sa cause auprès de celui qui n'y est pas sensible ? La question qui nous est posée soulève le problème de la communicabilité du jugement esthétique. Le beau renvoie-t-il à une expérience purement individuelle et singulière ? Ou bien celle-ci peut-elle être universelle, est-elle partageable par tous comme la vérité d’un théorème mathématique ? On peut approfondir la question de la façon suivante : comment

mécaniques » tournés vers le travail physique et des « arts libéraux » orientés vers un travail intellectuel. La définition de l’art telle que nous l’entendons aujourd’hui provient de la notion d’esthétique, du Beau présent dans l’œuvre d’art, née au XVIIIème siècle avec les Beaux-arts. Cette notion du Beau dans l’art transforme-t-elle notre manière d’appréhender le réel ? L’œuvre d’art se base d’abord sur la réalité de notre monde, bien tangible. Commen t l’art peut-il nous donner alors une conscience autre

beau : 1. Norme permettant le jugement esthétique ; cf. valeur. 2. Sens concret : objet du jugement esthétique ; ce qui provoque une émotion esthétique par l'harmonie des formes, l'équilibre des proportions. 3. (Par ext.) Ce qui suscite une idée de noblesse, de supériorité morale (un beau geste). 4. Pour KANT, le jugement de goût ne détermine pas son objet en le pensant sous un concept universel, puisqu'il porte toujours sur un cas parti­culier ; c'est un jugement réfléchissant dont l'universalité

l’état civil. Selon Hobbes, l’état de nature est un état de guerre, la guerre « de tous contre tous », où « l’homme est un loup pour l’homme ». Peut-être n’est-il pas alors raisonnable, d’où ces conflits d’intérêts permanents ? Mais d’autre, comme Kant, nous disent que quand l’homme est entré dans les premières « sociétés civiles » régies par le droit, les institutions, ce n’est nullement par raison ! Ce n’était que dans le but de satisfaire ses intérêts propres ! Intérêts, déraison, folie semblent

Avant de nous demander ce qu'est la valeur d'une œuvre d'art, il convient au préalable de nous interroger sur le concept d'œuvre, qui suscite une première interrogation. L'étymologie du mot " œuvre " (opera en latin) signifie travail ou activité. Or, tout travail mérite salaire, bien que nous soyons impulsivement tentés d'extraire l'aspect lucratif inhérent à ce concept. Nous serons ainsi amenés à considérer dans un premier temps cet aspect financier constitutif de la valeur d'une œuvre d'art. Par

crées par l’homo faber. - A partir du 18° siècle, l’art se sépare en deux : Arts et métiers qui regroupent les objets utiles ; les beaux arts qui favorisent la recherche du beau (architecture, sculpture, peinture, théâtre, poésie et littérature, musique, puis le septième art avec la photographie et le cinéma). - Le Beau fait plaisir à tout notre être, c’est une satisfaction totale. Mais c’est un plaisir désintéressé qui passe outre de la culture, c’est une réaction de l’être humain (valeurs de

retrouvons-nous cette idée ? Percevoir la beauté permet d’accéder à la vérité. Kant la définit comme « ce qui plait universellement sans concept ». Ceci fait la spécificité du jugement esthétique, mot venant du grec aisthêtikos « que les sens peuvent percevoir », distinct de celui qui est issu de l’entendement, et son fondement subjectif. Hegel parle de « la manifestation sensible du vrai ». La connaissance du beau passe par sa perception. Pourtant la connaissance ne découle pas forcément de la

Introduction {text:list-item} Conséquences : L'artiste se libère des conventions académiques ( le beau, > la structure, les sujets comme le sexe apparaissent) Les bourgeois deviennent riches et veulent le montrer donc > ce sont les principaux clients des artistes. Des nouvelles valeurs apparaissent et impliquent : Le progrès au niveau scolaire il y a moins d'analphabète donc on est plus critique. L'artiste évolue et se remet en question notamment