Kant Le Penchant Au Plaisir

conscience et qui pense (…) un être pour soi » qu’il oppose à la nature et à l’animal qui « n’existent qu’immédiatement et d’une seule façon ». De façon générale, l’homme se dédouble théoriquement par la pensée et étudie « tous les mouvements, replis et penchants du cœur humain » afin de se connaître dans ce qu’il pense, éprouve et perçoit. Du point de vue pratique, il se dédouble encore dans des productions parmi lesquelles l’art. L’art est donc un besoin spirituel par lequel l’homme s’approprie le monde

l’amour, le travail ou encore le sport, nous recherchons tous une certaine forme de satisfaction à travers ces activités de notre vie courante. La satisfaction engendrée par une activité varie d’un individu à l’autre, chacun à des aspirations et des penchants différents, mais tous aspirent à la même chose. Qui apprécierait une vie remplie de souffrance, de gêne et de malheur ? Le bonheur est le but ultime de l’existence humaine, car, comme l’énonce Aristote dans son Ethique à Nicomaque, le bonheur est

illustration même des conséquences de mauvais désirs. Car le personnage de Platon, ne se soucie aucunement de la morale et des hommes, et s’il décide d’asservir autrui pour atteindre la satisfaction de son désir, il le fera. Certes, comme le reconnait Kant, les hommes se servent les uns des autres, mais cela a pour but d’assouvir des désirs naturels nécessaires dans la mesure où ils sont nécessaires à la survie de l’homme. Cependant, le désir est-il mauvais seulement pour autrui ? Est-ce qu’il l’est

est un Dieu pour l’homme (L’amour. La concorde. Le commerce) 11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16

 vertu  »,  car  il  y  a  peu  du  désir  de  suppression  de  la   souffrance  au  désir  de  bonheur.  La  pitié  subsiste  nécessairement,  car  en  tant  que   penchant  naturel,  nul  ne  peut  être  tenté  de  s’y  soustraire,  comme  on  désobéirait  à  une   vertu  en  optant  pour  un  vice.  La  pitié  appartient  à  l’essence  de

liberté de penser 11 D. L’aliénation 12 III. Liberté et déterminisme 15 A. L’affirmation du libre arbitre 16 B. Le libre arbitre est une illusion 17 C. Liberté et déterminisme ne s’opposent pas 19 IV. Liberté et morale 21 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 21 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 22 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques idées supplémentaires 23 Quelques illustrations 26 Sujets de dissertation 27 Introduction La liberté… Quel joli

pas..............................................................................19 IV. Liberté et morale................................................................................................................21 A. Tu dois donc tu peux (Kant).....................................................................................................21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre)...........................................................................21 C. La liberté : un

la seule pensée. L'effort est la rencontre avec un monde qui me résiste : le réel (res), et qui m'oblige à me découvrir. Le rêveur n'a de conscience claire de lui - même parce que son rêve n'a pas d'autre loi que celle de son désir qui plie tout à plaisir. C'est l'obstacle qui manque au rêveur pour pouvoir prendre conscience de lui - même ; le seul obstacle au rêve, c'est le réveil matin, et l'éveil de la conscience. La prise de conscience de soi passe par l'obstacle que m'oppose le monde extérieur

des victoires après des victoires, voilà sans doute la formule du bonheur. » Alain, Propos du 18 mars 1911. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 458 Citation 460 « Le travail utile est par lui-même un plaisir; par lui-même, et non par les avantages qu'on en retirera. » Alain, Propos du 6 novembre 1911. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 460 Citation 461 « L'ouvrier est à l'égard du produit de son travail

commerce) PAGEREF _Toc185584905 h 11 C. Lambivalence fondamentale du rapport autrui (Kant, Freud) PAGEREF _Toc185584906 h 11 IV. Autrui et la morale PAGEREF _Toc185584907 h 12 A. Ltre-avec nous place dans la dimension de la moralit (Heidegger) PAGEREF _Toc185584908 h 12 B. Les sentiments moraux sont inspirs par autrui (Hume, Rousseau) PAGEREF _Toc185584909 h 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) PAGEREF _Toc185584910 h 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et