Kant Le Penchant Au Plaisir

désirs ? Peut-on abolir un désir comme, par exemple, le besoin de se nourrir ? La doctrine stoïcienne du bonheur repose sur la distinction fondamentale du désir et de la volonté : le désir est une inclinayion irréfléchie qui vise, outre son objet, le plaisir ; la volonté est une tendance réfléchie, raisonnée, qui a pour fin, par delà l'objet immédiat sur lequel elle porte, le bien et la vertu, c'est-à-dire la conservation de l'ordre de la nature par une parfaite insertion de l'action individuelle dans

–> mettre la pression, forme de divertissement obligatoire sociale et peut être ennuyeux. Selon Baudelaire c’est normal de préférer le travail car il y a toujours des choses à faire dans la longueur par rapport à l’amusement dans la durée. Selon Kant, Adam et Eve se serait ennuyé au paradis (= torture), par la il rejoint Pascal, et sa théorie du divertissement (se détourner de) : l’art de s’occuper. L’homme ne supporte pas de s’ennuyer car il a peur (mal à l’aise) du vide et de la mort. Il cherche

Fondation de la Métaphysique des mœurs rédigée en septembre 1784 .  Date de rédaction de la Métaphysique des Mœurs : 1785-1797 Entre la Fondation et la Métaphysique, Kant a rédigé successivement une Critique de la raison pratique et une Critique de la faculté de juger. Distinction entre une critique et une métaphysique : « La philosophie de la raison pure

juridique. La religion comme système de croyance homogénéise l’ensemble de la société. De même que nous avons des devoirs envers les dieux, nous avons des devoirs envers l’Etat. La raison vient du Divin, elle n’est pas transcendantale (contrairement à Kant). Dimension absolument suprême qui ne peut amener l’homme qu’à la contemplation d’une puissance supérieure. Divinatione ; Hymne à l’ordre et à la beauté du monde. On agit en sage de deux façons : quand on maintient les institutions des ancêtres et

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste

sencée être le mieux placée pour savoir qui je suis mais l'autre peut avoir un point de vue plus objectif. III] Liberté et responsabilité Répondre de ses actes. Un sujet dont les actions sont susceptibles d'imputation est une personne. Kant Ne peut être jugé responsable qu'un être libre, je suis libre de mes actions, je dois assumer a) Répondre de ses actes, L'Etre et le Néant, Sartre. La chose est ce qu'elle est(figée) et est soumise a des rapports de causalité. La conscience est

liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste

social est le choix que fait un individu, déjà achevé à l’état de nature, de ses propres conditions d’existence. La société est alors une contrainte (puisqu’elle est soumission à un souverain) mais elle libère de la crainte de la mort. La pensée de Kant est une tentative pour dépasser l’opposition de la nature et de la contrainte. L’homme se caractérise par son insociable sociabilité. Certes les hommes s’opposent et se nuisent, mais cette discorde est ce qui, par un détour, oblige à l’homme à refuser

révélation. Il nous faut dc bien en faire l’objet d’un jugement critique : c’est finalement notre raison qui se prononcera. Ainsi si l’autorité divine nous indique nos devoirs, cette révélation doit être soumise à un examen critique de la raison. Cf. Kant : « Même le Saint de l’Evangile doit être d’abord comparé avec notre idéal de perfection morale, avant qu’on le reconnaisse pour tel. » II) L’autorité de la tradition, de la coutume Descartes déclare : « Malheureusement nous avons été enfants

trouverait dans le fait de nuire une fin en soi, absolument satisfaisante. Un tel point de vue a été globalement réfuté par la tradition philosophique, de Platon (personne ne fait le mal autrement que par ignorance du bien et méconnaissance du mal) à Kant (la raison elle-même n’est pas méchante, c’est trop dire que d’attribuer à l’homme une telle nature perverse), mais il a été globalement validé par la tradition théologique et moraliste. ● Voir le mal partout Cette expression traduit un travers fréquent