Kant Mal Radical

au savoir. De fait, quelle valeur attacher au savoir ? Dans quelle mesure le sceptique est-il un ignorant ? Si l’on associe savoir et vérité absolue, la sceptique se voit condamné au gouffre de l’ignorance. Cependant le terme d’ignorant traduit fort mal la logique interne de la philosophie sceptique. Celle –ci relève en fait d’une ignorance savante. « Ce que nous appelons ici savoir, c’est connaître par le moyen de la démonstration » (Aristote). Associer au savoir une valeur de vérité ou un dogme

terminerons par voir comment d’autres philosophes ont tenu des thèses différentes de ces deux définitions. « Tout plaisir est, de par sa nature même, un bien, mais tout plaisir ne doit pas être recherché ; pareillement toute douleur est un mal, mais toute douleur ne doit pas être évitée à tout prix. » Voici une citation d’Epicure qui résume bien sa philosophie de vie. Epicure est un philosophe grec de l’Antiquité, vivant entre le quatrième et le troisième siècle avant Jésus-Christ, il est

les plus fiables et les plus rigoureuses, avancent-elles des théories dont vérité serait parfaitement établie? Si même les théories scientifiques ne peuvent être considérées comme absolument vraies, faut-il pour autant tomber dans un scepticisme radical (l’idée que toutes les idées, tous les points de vue se valent, que les sciences se contentent de proposer une vision du monde parmi d'autres possibles, sans qu'il soit possible de les hiérarchiser en termes de vérité? La raison et les sens constituent

est sa véritable nature et non son corps. Le principe de l'idéalisme absolu a été résumé par l'évêque et philosophe irlandais George Berkeley (1685-1753) : "Etre, c'est être perçu". L'idéalisme connaît son apogée avec les philosophes allemands Kant (1724-1804), Fichte (1762- 1814) et Hegel (1770-1831). « ce qui est rationnel est effectif, et ce qui est effectif est rationnel » (Préface des Principes de la philosophie du droit). Hegel L’idéalisme est la philosophie selon laquelle il n’existe

société donnée. La morale est donc avant tout prescriptive, elle prescrit le comportement souhaité de la part d’un individu vivant dans une société donnée. Les recommandations ou interdictions morales sont basées sur la distinction entre le bien et le mal, le juste et l’injuste. Étymologiquement, la morale vient du latin moralis qui signifie l’ensemble des comportements habituels et/ou conventionnels qui règlent la vie sociale. Ainsi, la morale dépendrait grandement de la conformité aux us et coutumes

dans les Méditations métaphysiques, sans le "donc". Or, le contexte te permettrait de voir que Descartes ne cherche pas une connaissance, il ne cherche pas du "nouveau", il cherche un fondement indubitable, un énoncé qui résiste au doute le plus radical, sur quoi tout le reste de l'édifice de la connaissance peut commencer à être bâti. 2 - Le "Je pense" n'est pas un postulat : c'est une expérience réflexive (je m'aperçois moi-même en train de douter, de raisonner, d'objecter, etc.). Je sais que

maintenant s’intéresser sur la vision de Kant sur la lumière pour cela nous allons s’appuyer sur l’un de ce texte « Qu’est-ce que les lumières ?» (1784). On remarque rapidement que son texte questionne sur la raison et la philosophie des lumières, il se résume en une citation « Pense par toi-même » et elle va résumer la philosophie de Kant à ce sujet. On remarque que le but de Kant est d’aider les gens à se libéré de leur état de tutelle qui leur dictent leur penser. Kant va définir les lumières comme la

la raison et le devoir, Rousseau prône une morale basée sur le sentiment et la bienveillance. Pour lui la conscience morale est universelle et correspond à une sorte d’instinct divin infaillible nous permettant de distinguer spontanément le bien du mal… 2) La conscience et le cogito cartésien « Mais aussitôt après, je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité :

les cultures, non plus. Ainsi, n’avons-nous pas à juger ceux qui ne mangent pas comme nous ou ne se comportent pas comme nous. Cette nécessité est d’autant plus importante que, malgré l’affirmation de la diversité des cultures, certains encore ont du mal à admettre que ceux qui mangent de la cervelle de chien, ou qui émettent un rot bruyant à la fin du repas, ou encore mangent assis au sol en se passant la même cuiller à tour de rôle ne sont pas des sauvages. Mais ceci n’est possible que parce qu’on

entreprendre de faire "table rase" de son passe, c'est-a dire de remettre en cause toutes ses opinions, ses croyances, ses prejuges… et de les passer a l'epreuve du doute jusqu's ce qu'il trouve une certitude qui resiste a ce doute. Le doute de descarte est radical et methodique. Le doute de Descartes. Il l'etend a toute son existence (les sens, le monde sensible. l'existence elle meme, l'argument du reve, l'hypothese de la follie puis celle de dieu trompeure et du malin genie). Au coeur de ses doutes s'impose