Kant Penser Librement

immédiate ( penser, entendre ,… ) mais il s’agit aussi de se rendre que l’on a quelque chose à l’esprit > La conscience réfléchie. * Définition des contenus de conscience On appelle représentation l’ensemble des choses qu’on a à l’esprit lorsqu’on est conscient: des idées, des images, des représentations,… Kant «  la conscience c’est la représentation qu’une autre représentation est en moi ». La représentation se passe dans le sujet, avoir conscience de quelque chose c’est penser que la chose

prescrite est liberté''. *La volonté: le mouvement durable et raisonné conçu par une cs pour réaliser une fin possible inscrite dans le temps. ==> C'est ce que Kant appellera l'autonomie de la volonté. Produire soi-même sa propre règle d'action. La volonté trouve sa règle d'action par la raison, elle se soumet à un devoir librement. Chez Kant, pas relatif à des circonstances, ce qui doit être toujours au-delà de notre désir, intérêt personnel. Je le fais car il doit être fait (raison). Le désir ne

Ensuite, dans une seconde partie, il s’agit de montrer le lien existant entre la notion de responsabilité et le concept de liberté. Tout d’abord, la liberté désigne habituellement l’état de ce qui n’est pas soumis à une contrainte. Agir librement, c’est agir sans contrainte. Il n’y a que les êtres vivants qui peuvent être libres dans la mesure où ce sont les seuls qui sont susceptibles d’agir spontanément, autrement dit sans y être déterminé par quelque chose d’extérieur, par une autorité

Une réflexion approfondie sur la nature de la conscience morale pose ainsi le redoutable problème de son origine. D'où nous viennent ces valeurs que nous considérons parfois à tort comme étant les nôtres ? À quelles conditions agit-on vraiment librement, selon « sa » conscience ? [I. L'action consciente n'est souvent pas « personnelle »] [1. Notre éducation et la tradition modèlent notre comportement] Tout individu a été enfant avant que d'être homme. Il a donc reçu une éducation par ses

pas de l'arrêter. En fait, la technique peut échapper au contrôle de l'homme pour lui nuire, et ce pour deux principales raisons. Soit parce qu'il y a des gens qui sont mal intentionnés, soit parce que l'homme est faible et peut se tromper. On peut penser, par exemple, aux armes de destruction massive dont le seul but, c'est la destruction intentionnelle, ou encore à l'énergie nucléaire qui a pu avoir des effets dévastateurs à Tchernobyl. Mais ça c'est parce que l'homme n'a pas su contrôler [la technique]

perd-t-il pas en richesse, en authenticité? De même, n'est-il pas absurde de penser que l'on puisse me rendre heureux malgré moi? Il paraît aller de soi que le bonheur est une « d'affaire strictement privée » Le bonheur peut être défini comme ce vers quoi tend tout être humain, de par sa conscience et son aptitude à se représenter un ou plusieurs objets possibles de satisfaction. On peut ainsi, comme le suggère Kant, concevoir le bonheur comme directement issu de notre nature sensible. Il s'ensuit

cette époque de grands scientifiques. Philosophes : Hobbes, Descartes, Pascal, Leibniz, Spinoza. Le siècle des Lumières, vers 1700 Révolution française. Encyclopédie. Droits de l’homme. Philosophes à préoccupations sociopolitiques : Rousseau, Hume, Kant, Fichte Le XIXème siècle, vers 1800 Révolution industrielle. Règne napoléonien. Philosophes : Hegel, Marx et Engels, les romantiques, Nietzsche Le monde moderne, vers 1900 Siècle moderne, découverte approfondie de l’astronomie. C’est le siècle

dévalorisé pour être celui qui travaille, il est soumis, dépendant, et ne participe ni aux activités, ni aux décisions de la Cité. Les conditions du travail peuvent créer ce que Marx appelle une " aliénation " : si le travail n’est pas choisi librement et est vécu comme une pression, l’homme risque de devenir étranger à lui-même, de se sentir dépossédé. Une telle vision exclut la fonction " réalisante " du travail : l’homme se réaliserait par son travail. L’homme n’est pas seulement homo sapiens

règles , car il est évident qu’on adhère plus facilement aux règles de celui que nous apprécions.Quand on apprécie, on peut aussi assez facilement admirer, vénérer. C’est le respect induit de l’enfant pour ses parents . Ainsi on peut penser que l’amour engendre le respect . Même si cette réponse paraît évidente au premier abord lorsque l’objet de l’amour est immuable et concret, lorsque c’est une chose qui ne change pas, cette réponse n’est plus si évidente lorsque l’objet

prendra jamais conscience de cette ignorance. Ni le pourquoi de son existence tant qu’il n’y aura pas d’intervention extérieure. Il peut s’agir d’une intervention d’un savant dans ce cas il lui apportera ses connaissances nécessaires et l’aidera à penser par lui-même. Mais il peut s’agir aussi d’une intervention d’un manipulateur prétendant être sage et savoir par exemple un sophiste. Dans ce cas là il restera dans l’illusion puisqu’il ne pensera que le par le biais de cet usurpateur. La liberté