Kant Penser Librement

intérieure.................................................................................8 B. La liberté de vouloir....................................................................................................................9 C. La liberté de penser...................................................................................................................11 D. L’aliénation.................................................................................................................

l’obéissance de tous était la condition de la liberté de chacun ? Mais que dire lorsque les lois sont injustes ? Est-on vraiment libre si on se contente de déléguer aux lois, à l’Etat le pouvoir de veiller sur nos sorts ? Comment obéir aux lois librement tout en ne renonçant pas à sa liberté, à son libre arbitre ? Dans quelles conditions obéir est-il la véritable liberté ? Si obéir, c’est ne subir aucune contrainte, c’est n’être soumis qu’à sa propre volonté, son bon plaisir, alors on ne saurait

être dépendant de ses désirs. Cette idée de restriction amène à penser que la réalisation de tous ses désirs n’est pas une forme de liberté, bien au contraire. Si la liberté consiste à assouvir tous ses désirs, alors comme le dit Epicure, nous serons dépendants de nos désirs et nos actions seront donc dictées par une envie qui nous rendra esclave. Plusieurs siècles plus tard, certains philosophes comme Kant, reprenne cette idée. Pour Kant, philosophe allemand du dix-huitième siècle, la liberté ne réside

que l'on ne peut déterminer à l'avance individuellement, mais qui, dans l'ensemble, ne manquent pas de maintenir la croissance des végétaux, le cours des fleuves, et de tout ce qui a été institué d'autre dans la nature selon un mouvement Emmanuel Kant (1784), Idée d’une histoire universelle du point de vue cosmopolitique 6 uniforme et ininterrompu. Les individus, et même des peuples entiers, ne pensent guère que, pendant qu'ils poursuivent leurs intentions privées, chacun selon ses goûts, et souvent

Pourquoi des maîtres ? Il n'y a donc point de liberté sans lois Etre libre est-ce etre déterminé? (Liberté) Peut-on être libre sans le savoir ? Le citoyen n'a-t-il le droit de s'opposer aux lois qu'en paroles? (Liberté) La liberté de penser consiste-elle a penser n'importe quoi ? (Liberté) Peut-on placer la liberté de l'homme dans celle du citoyen ? (Liberté) Les circonstances (Liberté) Sommes nous libres de refaire notre vie ? (Liberté) Texte de Saint Thomas sur la liberté :"L'homme est libre :

liberté. La morale empêche toute liberté de l’être humain. Elle serait alors comme une prison nous empêchant de vivre librement. Il faut donc s’en libérer afin de VIVRE sans se soucier de ces règles qui nous ont été inculquer par la société et qui nous condamne a vivre tel des êtres aliénés. Reformulation de la problématique Il s’agira alors d’analyser si pour pouvoir vivre librement et mener une vie remplie de bonheur il faut se libérer de la morale ? La morale est elle la source d’aliénation de

perception de l’agréable et la perception du beau qui justifie, sinon une norme intangible du goût, un caractère spécifique du jugement esthétique qui exige une approche particulière de cette notion. ⇒ Ceci nous amènera à considérer la possibilité de penser le goût dans le cadre d’une praxis esthétique qui se fonde sur la mise à distance progressive de l’agrément dans la formation du jugement, sur le passage d’une sensibilité pure, indiscutable, certes, mais asservissante, à une certaine acuité du regard

à connaître. C'est ce qu'ont fait les sages. Mais n'est-ce justement pas parce qu'il y a aussi des causes internes à nos passions. C'est ce qu'il faut maintenant examiner. II Les passions et le corps 1) La passion est un esclavage consenti. Kant, analysant la passion, observe que "l'émotion porte un préjudice momentané à la liberté et à la maîtrise de soi-même" tandis que "la passion en fait fi et trouve plaisir et satisfaction dans l'esclavage" et comme "pendant ce temps la raison ne se relâche

actes afin de les évaluer axiologiquement. I) La conscience immédiate. Il est impossible de se représenter la conscience : elle n’est pas un objet jeté devant soi comme une quelconque chose, elle ne se montre pas. Être conscient, c’est agir, penser ou sentir et savoir qu’on agit, qu’on sent et qu’on pense. 1) La conscience comme spécificité, grandeur et misère de l’homme. Le sentiment de soi n’est pas la conscience de soi : je vis et la conscience de cette existence est le premier savoir

reconnaît le bien fondé? "S'il faut obéir par force, on n'a pas besoin d'obéir par devoir" disait Rousseau (Du contrat social, Chap. III. -Du droit du plus fort). Ne peut-on pas éduquer à l'idéal plutôt que d'imposer l'idéal ? Une règle qui est librement acceptée de tous est bien plus efficace qu'une règle imposée à tous. Chacun a tendance de prime abord, à rejeter ce qui lui est imposé de force. C'est ainsi que la justice pourrait être vue par certains comme un moyen d'oppression alors qu'elle devrait