Kant Pur Mécanisme

pourrait continuer à calculer l'avenir de chaque être jusqu'aux temps les plus éloignés et marquer chaque trace où cette roue passera désormais. L'illusion sur soi-même de l'homme agissant, la conviction de son libre arbitre, appartient également à ce mécanisme, qui est objet de calcul. (F. NIETZSCHE, Humain, trop humain, II, 106). Un autre texte de Nietzsche sur le même sujet. La plupart des hommes se pensent libres parce qu'ils croient faire l'expérience de leur libre arbitre. Mais le sentiment

l’immortalité des premiers dieux occidentaux. En Occident, précisément, le temps suit un ordre tout autre et témoigne d’une vision du monde bien différente. La tradition judéo-chrétienne hérite elle-même de vues mystiques plus anciennes, où le temps pur est celui des dieux et divinités. Les hommes connaissent une vie éphémère, limitée, un véritable « néant » au regard de l’immortalité. La Bible présente ainsi le temps comme une révélation, car c’est Dieu qui le crée et en offre l’« usage » aux hommes

consiste en une interaction : action du corps sur l’âme dans la sensation et dans la passion, action de l’âme sur le corps dans l’acte volontaire. Ces rapports échappent complètement à la connaissance de l’âme : l’âme en éprouvant la passion ignore le mécanisme de l’action du corps sur elle, et dans l’action volontaire, elle ignore de même comment elle meut le corps. Une finalité dernière justifie cette union : « les passions sont utiles en ce qu’elles fortifient et font durer des pensées qu’il est bon

intérieur, dans lequel, se cachant ce que par ailleurs on sait, on se traite soi-même comme un autre. Comme tel, il suppose que l’on puisse être à la fois soi-même et autre que soi, ce qui est, semble-t-il, contradictoire. C’est ce que remarque Kant, au paragraphe 9 de La Doctrine de la vertu : “ Il est facile de prouver la réalité de nombreux mensonges intérieurs (...), il est difficile d’en expliquer la possibilité, parce qu’une seconde personne est requise pour cela, que l’on a l’intention

Devenir n’est pas, il n’est qu’une illusion ou une apparence » Socrate : Figure emblématique de la philosophie. Il est célèbre pour 2 choses : « Je ne sais rien mais je sais que je ne sais rien » Ignorance Savante de Socrate. Socrate a le cœur pur, une intelligence puissante. Les Sophistes eux sont l’anti sagesse (ils se font payer pour apprendre l’éloquence). Socrate est l’anti sophiste par excellence, toute sa vie il essaya de les faire sortir de leur sophisme. Sophisme : Argumentation qui

cadre général où s’exerce nécessairement tout choix, toute délibération, toute intention même et toute suspension de choix ou de jugement : à savoir les contraintes physiques objectives : la pesanteur, la gravité, les échanges thermodynamiques, les mécanismes chimiques et biochimiques : notamment notre métabolisme, notre pH sanguin, nos particularités histochimiques, neurochimiques. Le monde physique se caractérise par des états instables et de vastes séries évolutives entropiques ou catastrophiques

l’homme est doté d’un libre arbitre, c’est-à-dire d’une capacité de choisir pouvant échapper à tout déterminisme. Pour Descartes, cette liberté d’indifférence, bien que considérée comme « le plus bas degré de la liberté », témoigne en même temps d’un pur libre arbitre qui apparente l’homme à Dieu (Méditation quatrième). 2) Seconde tentative de preuve du libre arbitre : le crime de Lafcadio dans Les Caves du Vatican d’André Gide André Gide, dans Les Caves du Vatican, cherche à illustrer la possibilité

devient une personne. La conscience est marquée par l’ambivalence. Parce qu’elle permet à l’homme de répondre de soi, elle « élève l’homme infiniment au-dessus de tous les êtres vivants sur la terre. Par là il est une personne » écrit Emmanuel Kant (cf. Kant, Anthropologie du point de vue pragmatique, 1798). « Je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête (car ce n’est que l’expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir l’homme sans

Impression : Service reproduction Paris I Sommaire Thèmes : l’esthétique et la critique L’ESTHÉTIQUE……………………………………………………….…………………...4 Hume…………………………………………………………………………………………7 Baumgarten………………………………………………………………………………… 9 Kant………………………………………………………………………………………....14 Hegel……......……………………………………………………………………………….21 Nietzsche……………………………………………………………………………………22 Valéry……………………………………………………………………………………….24 Bourdieu…………………………………………………………………………………....25 Timothy Binkley……………………………………………………………………………30

certain type de régime se transforme en un autre, aucun régime ne peut vraiment satisfaire l’homme. Pas de continuité de l’histoire donc, histoire cyclique. Histoire universelle : origine chrétienne. Puis théories du progrès comme celle de Condorcet. Kant : point final de l’histoire : la liberté humaine. Ressort de l’humanité qui la propulserait vers plus de rationalité : l’insociable sociabilité, compétition des hommes, son désir de gouverner et de dominer. Hegel : « l’histoire du monde n’est rien