Katharina Freud

psychanalyse qui s’appelle Freud, et ce mot est utilisé pour la première fois par Apollinaire. Définition: Mais qu’est ce que le Surréalisme? Le mot Surréalisme peut être défini de deux façons différentes selon deux points de vues différents. *Le surréalisme est avant tout un mouvement intellectuel, artistique et culturel du XXème siècle. Ce mouvement esthétique est né après la première guerre mondiale. *Voici la définition donnée par Breton avec l’aide de Freud à propos du Surréalisme.

Psychanalyste : spécialiste de l’inconscient se référent exclusivement à la théorie psychanalytique Freud il conçoit les symptômes et la psychopathologie du point de vue de l’histoire de l’individu dans son rapport a son inconscient et traite la maladie mentale à partir de cette hypothése Le psychanalyste est une technique d’investigation psychologique des processus inconscients La constitution d’un corpus théorique rendant compte du fonctionnement normal et pathologique de la vie psychique

Le cas d’Anna O Alors qu’il pratique la médecine nerveuse traditionnelle dans son cabinet, Freud décide, faute de résultats convaincants, de tenter la méthode de l’hypnose. C’est sur le désormais célèbre cas d’Anna O que Freud concrétise ses recherches et obtient des résultats concluants, publiés dans les Etudes sur l’hystérie en 1895. La découverte fondamentale est le lien entre les symptômes de la malade et ses souvenirs refoulés dont elle n’a pas conscience. En faisant revivre à la patiente

imposer à ses sujets un bonheur qu'il a d'abord défini. [III - Une affaire privée, et difficile][A. Aucune société ne rend l'homme heureux]La divergence entre les exigences de l'organisation sociale et les espoirs individuels est, si l'on en croit Freud, d'une nature telle qu'aucune société n'est organisée pour rendre l'homme intégralement heureux. Si le bonheur doit consister en la satisfaction de toutes les pulsions de l'inconscient, l'homme est en effet condamné à ne jamais être heureux, puisque

induire dans une ame innerte une image, qui est si vivante dans l’ame d’un poete, n’est ce pas remettre en vie une sublimation refoulée, n’est ce pas donné vie a des forces poétique qui s’ignore et qui se cherche. Jung, carl gustave collaboré avec Freud et avait ouvert un horizons nouveau avec sa notion d’archetype. Il remarqua que les comptes, les légendes et mythes, apparaissaient comme des variantes de grand themes fondamentaux exprimant des situations humaine universelle (exemple : la renaissance

satisfaction. Le désir se distingue du besoin . Puis nous verrons si nous avons nous réellement conscience de tous nos désirs ? Ne nous arrive - t - il donc jamais de désirer quelque chose sans savoir en quoi consiste exactement ce désir ? Selon Freud tout homme, qu'il soit fou ou bien portant, a des désirs refoulés dans son inconscient. Ils se traduisent généralement par des faits quotidiens et auxquels personne n'attache une grande importance, comme le fait de chanter ou de jouer avec ses doigts

soi ou la maitrise de soi. A la fin du XIXème siècle, Nietzsche et Freud vont mettre en question ce privilège apporté à la conscience. Auparavant on pensait que la conscience était la totalité de la vie psychique. La vie consciente de l’individu ne représente qu’une partie. L’activité de réflexion est l’activité psychique la plus noble mais il faut aussi reconnaître l’existence d’une vie psychique inconsciente. I- La théorie Freud est à l’origine un médecin intéressé par la neurologie et son ordre

religion entre en jeu et a donc son utilité pour certains puisqu’elle peut être considéré comme un code de conduite. D’après Freud, la religion n’est qu’une illusion et c’est la raison qui doit permettre de juger toute information. Alors que de son côté, Descartes croit en Dieu. Il dit que les personnes doivent aller à la recherche de la vérité à l’aide la raison. Tout d’abord, Freud dit que la religion est en fait une illusion. La religion est pour lui la réalisation de nos désirs les plus anciens,

moteur des actions humaines. Cf. le rôle des passions dans l’action. Les morales de l’action (Voltaire : cultiver notre jardin). 2) L’action contre la misère physique. Cf. Marx ; Camus (La Peste). 3) L’action contre la souffrance morale. Cf. Freud (principe de réalité ; préférer l’action à l’illusion)

personnalités. C’est la pensée qui est fixé sur l’idée d’un complot contre soi-même chez le paranoïaque. De ce dernier point de vue, pas de libération sans refus de l'inconscience. La thèse de Freud sur l’inconscient porte essentiellement sur le statut de l’inconscience pathologique et ce n’est que par extension, que Freud l’étend aux problèmes posés par l’inconscience morale, via la psychologie de la vie quotidienne. En résumé, elle revient à soutenir que l’inconscience (au sens 2 et 3) est l’effet d’une