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gagnant de sa bataille avec la peur. Et il en ressent un soulagement. Souvent ces histoires mélangées au merveilleux aident l'enfant à dormir tranquillement. L’enfant ne fait pas encore une vraie différence entre la réalité et l'imaginaire. Le conte de fée apprend donc à l'enfant à respecter sa vie social, et à lui faire faire une différence entre le bien et le mal. De cette façon là, chaque enfants retirent une moral, qui à un lien dans la vie de tout les jours. Alors nous pouvons dire que les contes

Une encyclopédie est un ouvrage ou un ensemble d'ouvrages, ou un document numérique, de référence visant à synthétiser toutes les connaissances et à en montrer l'organisation de façon à les rendre accessibles au public, dans un but d'éducation, d'information ou de soutien à la mémoire culturelle[1]. Basé sur des autorités ou des sources valides et souvent complété par des exemples et des illustrations, ce genre d'ouvrage privilégie un style concis et favorise la consultation par des tables et des

autre objectif: lancer le début du roman de manière naturelle et donner envie au lecteur de continuer. C'est ainsi que dans Notre-Dame de Paris, le texte prend une tournure féerique très prononcée: « Si cette jeune fille était une être humain, ou une fée, ou un ange... » ; « c'est une salamandre, c'est une nymphe, c'est une déesse, c'est une bacchante du mont Ménaléen ! » jusqu'à cet arrêt brusque et inattendu: « Tout illusion avait perdu ». Dans Le Rêve, on peut voir que la malédiction provenant de

(qui furent instaurés par Beaumarchais en 17772) cette pratique est, à l’époque, tout à fait légale. Ainsi, Perreault donne-t-il un nouveau souffle au conte de Basile nommé Le Soleil, la Lune et Talia, en ajoutant notamment le personnage de la vieille Fée.3 Articulé autour d’une seule et même valeur, le conte de la Belle au Bois dormant prône la patience, dans une morale que Perreault énonce textuellement en vers à la fin du conte comme suit : « MORALITÉ Attendre quelque temps pour avoir un Époux,

sont Nymphe, fée ou figure de légende. Alors que dans « Ophélie » c’est un personnage emprunté à un auteur romantique très connu W. Shakespeare. Dans « Ondine » « La Loreley » ainsi que dans « Mélusine » le paratexte nous indique qui elles étaient et ce qu'elles ont fait : « Nymphe ou génie féminin des eaux dans la mythologie germanique », « figure de légende, attachée à un rocher qui domine le Rhin et qui renvoie une écho aux appels venus des bateaux qui passent à sa hauteur », « fée de la mythologie

féminine. C’est dans ce contexte-là qu’est née un nouveau genre littéraire – le conte de fée. Selon Christophe Carlier dans son ouvrage intitulé La clef des contes, le premier conte de fées au sens propre du terme a été écrit en 1690. C’est Mme d’Aulnoy qui en est l’auteur. Successivement, le genre acquiert une autonomie dans différents pays et fleurit au long de l’histoire. En matière de contenu, le conte de fée est élaboré par un mélange de la « multiplicité des emprunts, des héritages ou des réminiscences

pour le quel on rie et de choses merveilleuses. Ce qui est plaisant dans ce texte ces que la fée a sa naissance lui offre le pouvoir de rendre intelligente la femme dont il tombera amoureuse ce qui veux dire qu'elle croira être intelligente parce qu' elle trouvera riquet a la houppe qui est laid , le plus belle homme du monde mais pour cella il faux qu'elle l'aime mais dans tous sa le celle pouvoir que la fée lui donne ces le pouvoir de l'amour parce que si la princesse l'aime comme il est , elle

L’objet C’est ce que cherche le héros, son but, son objectif. Attention : L’objet peut être une personne (la princesse) ou une chose (être riche). 3. L’aide ou l’adjuvant C’est celui ou celle qui aide le héros à obtenir l’objet de sa quête (la fée). Attention : Il peut y avoir plusieurs adjuvants. 4. L’opposant C’est celui qui empêche le héros d’obtenir ce qu’il veut (le loup). Attention : L’opposant peut être autre chose qu’un personnage. adjuvant et opposant --> sujet -- > objet

Les contes de fées et la conjoncture existentielle Les contes de fées ont pour caractéristique de poser des problèmes existentiels en termes brefs et précis. L’enfant peut ainsi affronter ces problèmes dans leur forme essentielle, alors qu’une intrigue plus élaborée lui compliquerait les choses. Le conte de fées simplifie toutes les situations. Ses personnages sont nettement dessinés ; et les détails, à moins qu’ils ne soient très importants sont laissés de côté. Tous les personnages correspondent