Keiretsu

des entreprises concurrentes venait des échanges qu’elles entretenaient entre « keiretsu ». Ces keiretsu sont en fait des conglomérats, formés de diverses entreprises, liées entres elles par des liens financiers tissés à partir d’une banque qui leur est commune. La banque, agissant comme une entité de surveillance et un prêteur à court terme, dispose d’un contrôle important sur les entreprises. Les membres du keiretsu partagent les « best-practices » et créent ainsi une toile de sociétés dynamiques

minimisé face aux maisons de commerce et autres Think-Tanks. Le METI est né en 2001 suite à la réorganisation de l’ancien MITI, lui-même fondé en 1949. Il a pour rôle d’encadrer l’activité économique de l’État et oriente les stratégies des keiretsu, grands groupes industriels. Le METI, moteur de la croissance japonaise et expert en communication, orchestre les actions combinées de la classe politique, de l’administration et des firmes multinationales : • il dispose d’une véritable centrale

rythme extraordinaire jusqu'à devenir la deuxième économie du monde, derrière les États-Unis. L'organisation économique du Japon a quelques traits propres : les liens étroits entre industriels, sous-traitants, et distributeurs dans des groupes appelés keiretsu ; de puissants syndicats d'entreprise, peu de conflits, un mouvement de revendications salariales annuel (shunto) au printemps ; la garantie de l'emploi à vie pour une part importante des employés de l'industrie. Mais ces éléments sont en déclin

rôle de la main d’oeuvre : grande qualification, culture de l’effort, respect de la discipline, de la hiérarchie, des valeurs collectives. - Le rôle des grandes entreprises (Ex : Toyota, Sony, Panasonic, Mitsubishi…) regroupées dans de puissants keiretsu. Elles sont très compétitives et innovantes : cf téléphonie 3G, voitures hybrides. - Le rôle de l’Etat (MITI) qui encourage la recherche, passe des commandes, protège le marché intérieur… 3ème partie : les limites de la puissance japonaise - Un

brièvement les caractéristiques de l’économie japonaise qui, à la différence de la Corée, a connu une révolution industrielle très tôt, il y a plus d’un siècle. Le modèle qui s’était imposé à l’époque était celui du groupe industriel ou « keiretsu ». Les keiretsu sont issus des conglomérats de l’avant-guerre : les « zaibatsu » (alliances financières) comme Mitsui ou Mitsubishi qui avaient vu le jour grâce à la consolidation des empires familiaux et au soutien des pouvoirs publics. À l’instar des chaebol

* Intervention économiques des Etats - Stratégie de developpement extravertie : japon, corée du sud et taiwan. L'Etats a une politique protectionisme pour developper l'industrie nationale et crée de grands groupes industriels ( au Japon : les Keiretsus, Corée du sud : les Chaebols) pour remonter les filières ( japon : 1950=textile; 60-70=robotique, informatique, électronique; depuis 1990=nanotechnologies (microcaméras pour la sciences), robots ( acceuil, gardien, aide à la personne) - Une économie

permanence l'innovation technologique (priorité à la recherche-développement : recherche appliquée dans l’industrie).Elles forment de puissants groupes industriels appelés les keiretsu (ex. Mitsubishi, Mitsui, Sumitomo, Fuyo (Banque Fuji), D.K.B. (Banque Dai-Ichi Kangyo) et Sanwa (Banque Sanwa).En 2000 les six grands keiretsu (Mitsui, Mitsubishi, Sumitomo, Fuyô - ex-Yasuda - Sanwa et Daiichi) rassemblaient quelque 800 entreprises, employaient 1,6 million de salariés et représentaient environ le quart

prendre comme point de départ de sa stratégie ce qui constitue de la valeur pour son client en étant à l’affût de toute nouvelle information. Drucker nous explique que ce ne sont pas les Japonais qui ont inventé le keiretsu mais bien les américains avec General Motors. Le keiretsu c’est que « les fournisseurs d’une entreprise entretiennent des liens étroits avec leur principal client en ce qui concerne leur planification, le développement des produits, le contrôle des coûts… » (p.37) ou autrement

sites de production de la firme nippone sur le Vieux Continent sont nombreux et leur localisation est un bon révélateur des stratégies d'implantation des grandes multinationales. Née après-guerre, Sony n'appartient pas aux grandes dynasties et aux keiretsu traditionnels.

hasta el desempleo temporal. En contraparte se le pide al empleado una especie de patriotismo por la empresa. Para otros es en un nivel más general en donde se debe buscar la receta del éxito japonés, en las formas de coordinación: dentro de los Keiretsus, entre las grandes empresas y sus subsidiarias, entre las empresas y los salariados, por medio de las relaciones sociales muy formalizadas (negociaciones salariales solo en primavera, huelgas simbólicas en las cuales se ponen un gafete en el brazo