Keiretsu

mode. » ____________________________________________________________ _____________________ Le keiretsu ou le groupe mondial à la japonaise : le cas Mitsubishi Le terme japonais « keiretsu » signifie « ordre » ou « système » est recoiuvre une forme unique d’organisation d’entreprise qui offre des avantages significatifs à ce genre de groupe dans le système concurrentiel international. Les keiretsus sont des groupes comprenant plusieurs douzaines d’entreprises qui sont amalgamées par participations

middle of career so Nissan never thought about reducing staff in all the recovery plans it had. The main problem of Nissan lies in the fact that it refused to challenge the Japanese economic traditions. Another cultural difficulty in Japan relies in keiretsus, groups of companies bounded to each other by common values, business connections and intercorporate stock-holdings, usually stopping foreign groups’ investments. This process, very present in the car sector, allows maintaining a durable relation

d'habitants). Deux métropoles intermédiaires ont plus d’un million d’habitants : Hiroshima et Fukuoka. 2.1.2. Le poids de Tokyo Ce réseau urbain multipolaire est dominé sans partage par Tokyo (80% de la R&D et des IDE reçus, 2/3 des sièges sociaux des keiretsu et des transactions financières, ½ des étudiants du pays, des entreprises de pointe, des médias, plus de 30% de la production nationale…). 3,7 millions de personnes viennent travailler ou étudier chaque jour dans les 23 arrondissements de la capitale

entre les DAS du groupe Virgin Synergie : situation ou deux DAS, ou plus, sont complémentaires, de telle manière que leur performance combinée est supérieure à la somme de leurs performances individuelles. Le groupe épouse la structure du Keiretsu japonais. De fait, chaque DAS est autonome financièrement et responsable de sa gestion. A priori, la synergie entre les DAS du Groupe Virgin est très faible. Toutefois, nous notons quelques facteurs créateurs de synergie : • Synergie au

écosystèmes, le climat et les ressources en eau, des dégâts dont pâtiront les générations à venir. Tout comme le Japon et la Corée du Sud ont vu leur modèle de croissance s'emballer puis sortir de la piste, en raison du poids des conglomérats (keiretsu et chaebols) monopolistiques, la Chine souffre de la domination de ses State Owned Enterprises (SOE, entreprises d'Etat). Car en captant les financements des plans de relance et en profitant d'un système économique qui favorise l'investissement aux

Cosmo Credit. Finalement ça aboutit à l’éclatement de la bulle japonaise en 1997 recomposition du tissu industriel où les keiretsus ressortent renforcées avec le fonctionnement d’organismes commerciaux en leur sein : les sogo-shoshas. On assiste à une transformation du MITI (qui devient METI) : il est une des clés du capitalisme japonais et pourtant il est critiqué par les keiretsus qui lui reprochent sont trop fort dirigisme et la collusion avec le PLD (parti libéral-démocrate, le parti au pouvoir)

japonais appelé keiretsu consiste en des prises de participations croisées : 30 à 50 % du capital des grandes entreprises sont détenus par des entreprises appartenant au même keiretsu. Ce dispositif maintient les entreprises hors de portée des investisseurs étrangers. Ce procédé, très présent dans le secteur automobile, permet d’entretenir une relation durable entre fournisseurs et acheteurs. Malgré cela on constate un inconvénient majeur en rapport avec les prix pratiqués au sein du keiretsu parfois trop

politique industrielle, la recherche, le commerce extérieur et les aides financières aux entreprises. Aujourd’hui appelé METI (Ministery economy trade and industry) il informe le entreprises des besoins des marchés mondiaux. L’Etat soutient les Keiretsus, groupe d’entreprises dominant l’économie japonaise, un Kereitsus associe trois chose : Entreprises d’activités diverses concentrés en conglomérat (activités dans des domaines très variés, industries, services,…) Banque Une soyoshosha (association

using young, non-unionized American workers in Alabama would likely be at least 5% below Japan’s. But the Japanese countered that Mazda was synonymous with Made-in-Japan. Senior MD Yamamoto was unsure whether Mazda would successfully replicate its Keiretsu system in Alabama. While Yamamoto appreciated the efforts by Ford to see the company back into the black, “we need to maintain Mazda’s unique image.” In 1998 Ford had introduced a number of management techniques to Mazda, including conducting

2.3 - Synthèse sur les notions de systèmes d’information et de confiance/pouvoir 38 2.4 – Les convergences entre SCM et réseaux d’affaires 2.4.1 – Les approches en termes de réseaux d’affaires face au SCM 2.4.2 – Le modèle du réseau japonais du Keiretsu et le SCM 39 39 41 CONCLUSION 43 BIBLIOGRAPHIE 44 Page 4 la logistique d’entreprise au supply chain management (SCM) Joëlle Morana pour e-theque INTRODUCTION (*) Le Council of Logistics Management, fondé en 1967 aux Etats-Unis, est une association