Kémalisme

Etats abritant des minorités kurdes, objectif encore lointain. Elle nécessiterait aussi une décentralisation approfondie, la transformation des structures de pouvoir de manière générale et la fin de la sacralité des idéologies officielles (baasisme, kémalisme, khomeynisme). Emerge la nécessité de puiser dans un nouvel imaginaire politique afin de mettre fin aux modes de domination et de contestation engendrant sans cesse de nouveaux cycles de coercition et de violence. III- La CJUE (Cour de Justice

création d’une nouvelle capitale Ankara recentre dans la partie Asiatique. L’Anatolie centrale et les façades égéennes et Méditerranéennes _Ankara capitale en 1923 choix politique replacer au centre du pays pour construire une nation, le kémalisme, symbolise son idéologie. _Une question identitaire construction état de nation aspect symbolique _ Recentrer sur le côté Asiatique de la Turquie, des origines des Turques (origine Asie centrale) _Ankara 4 à 5 millions d’hab mais la capitale

Africaine au Maghreb, créée par des communistes. L’influence communiste aura donc un écho dans les pays du Maghreb et notamment dans les milieux de l’immigration surtout dans les années 20-30.  Les échos de la révolution portée par Mustapha Kemal : le Kémalisme. L’EO à été pendant très longtemps un centre de référence important pour le monde musulmanottoman. Il est le dernier grand empire musulman après la chute de l’Andalousie. Il s’est installé au Maghreb et donnait un cadre de référence religieux, politique

social et l’individualisme entre autres. S. H. a classé les réactions à l’Occident et à la modernisation selon trois catégories : - Le rejet. Pratiqué en 1542 jusqu’au milieu 19e par le Japon (jusqu’à l’ère Meiji qui s’ouvre en 1868.) - Le kémalisme. Fondé sur l’idée que la modernisation est désirable et nécessaire, que la culture indigène est incompatible avec la modernisation. Modernisation et occidentalisation se renforcent mutuellement et doivent aller de pair. - Le réformisme, c’est à

vingt et trente, alors que les vagues nationalistes commençaient à mobiliser les peuples pour l'indépendance face aux puissances coloniales européennes. Synonyme de révolution, de lutte anti féodale, anticléricale et anti coloniale, le nationalisme (kémalisme, nassérisme, arabisme, baassisme, etc.) semble alors à ses partisans être seul en mesure de projeter véritablement les sociétés musulmanes dans le XXe siècle. Ce nationalisme n'a rien de religieux, et il sera très mal reçu par les réformistes religieux

défi pour les femmes turques A/ Ce n’est pas tant le dispositif légal qui fait défaut, mais son application effective dans la vie quotidienne des femmes. La bonne volonté du Gouvernement pour intégrer l’acquis communautaire ne suffit pas : le kémalisme a longtemps été qualifié par les chercheurs comme une stratégie de développement suscité, c'est à dire imposé par une élite sur l'ensemble du corps social, sans que cet ensemble exprime un désir de changement. Si le nombre de femmes députées au

constitution, promulguée après le coup d’Etat de 1980, continue d’accorder à l’armée un rôle de surveillance de l’exécutif, unique dans le monde occidental. On commence à évoquer l’instauration d’une IIème république, qui serait débarrassée du Kémalisme (régime politique républicain et laïque, à la fois nationaliste et moderniste, instauré en Turquie après la Première Guerre mondiale par Mustafa Kemal), réconciliée avec l’histoire ottomane et ouverte à l’islam politique. C’est un peu ce qu’attendent

dirigeants kurdes peuvent démontrer dans un délai d’un an, que la majorité de la population kurde souhaite obtenir un Etat indépendant de la Turquie. En effet, les kurdes sont divisés du fait de l’instigation des élites occidentales qui s’opposent au Kémalisme et luttent pour un Etat Nation. Toutefois, le mouvement national kurde n’arrive pas à concrétiser les possibilités offertes par le traité de Sèvres. Les prises de positions des chefs kurdes sont dues aux craintes d’un possible retour des Arméniens

Française : révoltes et réformes en Orient «, La Révolution Française, la Turquie et l’Iran, Cahiers d’études sur la Méditerranée orientale et le monde Turco-iranien, n°12 (1991). - ÖKTEM, Niyazi, « La philosophie de la Révolution Française et le kémalisme », De la Révolution Française à la Turquie d’Atatürk, Actes des colloques d’Istanbul (10-12 mai 1989), 1990. - Colloque du mouvement culturel Antélias-France, La Révolution Française et l’Orient 1789-1989, 1989. OUVRAGES SUR L’IRAN :

Aliwa Alors que la France célébrait le centième anniversaire de sa présence en Algérie, les réformistes, dirigés par Ibn Bâdis (mort en 1942) et l’Association des ulémas algériens contaminés par les faux espoirs soulevés par la wahhabisme et le Kémalisme, vont également tenter de combattre le « maraboutisme » qui répandaient selon eux les superstitions et maintenant le peuple dans l’ignorance, reprenant l’accusation même formulée par le colonialisme. Pourtant ce dernier, par la bouche de l’un de