Keynes Contre Monétariste

Les politiques économmiques classiques : 18eme et 19eme siecle adam smith , ricardo , say , JS mill neoclassique : de 1870 a nos jours : l walras , pareto , marshall , pigou ... monetariste : des années 1950 a nos jours hayek ou friedman les nouveaux classiques ! 1970 1980 r lucas : r barro l'homoeconomicus : les classique sont micro qui resonnent en terme d'individu contrairement au keynesiens qui eux raisonnent en terme macro /.... pour les classiques le fonctionnement de l'economie

l’économie 2. L’intervention de l’Etat est nécessaire en cas d’équilibre de sous-emploi 3. Tableau récapitulatif des oppositions III. L’ACTUALITE DE KEYNES : UNE ANALYSE TOUJOURS PERTINENTE DU CHOMAGE CONTEMPORAIN ? A. A. ? L’austérité salariale est-elle souhaitable pour assurer le retour au plein-emploi 1. Oui : selon les monétaristes et les théoriciens de l’offre 2. Non : parce qu’elle ne motive pas les salariés dans la théorie du salaire d'efficience B. Les obstacles à la baisse des

A) Les interprétations théoriques • Les classiques  il aurait fallu laisser faire le marché qui se serait lui-même autorégulé. La crise de 1929 aurait permis d’éliminer du marché les entreprises inefficientes et mal gérées. • L’analyse monétariste : la crise est due à une politique mal adaptée et trop restrictive de la FED, politique qui a consisté à ne pas venir au secour des banques américaines en difficulté. Au contraire, les responsables monétaires américains ont opérer une contraction

Economie Chapitre 1 : Le modèle keynésien Pour les Classiques, on recherche tous l’intérêt personnel dans l’économie. Keynes a été le premier à décrire l’activité économique à l’aide du processus du circuit économique. Il a également été le premier à montrer la nécessité de créer une véritable comptabilité nationale. Il a aussi démontré que les comportements des agents économiques étaient parfais incompatibles avec l’intérêt général. La base de la pensée keynésienne réside dans le fait de considérer

marchés, laissés à eux-mêmes sont mieux à même de faire fonctionner l’économie à son optimum. Dans ce contexte, l’intervention de l’Etat sur le cycle économique n’aidera en rien et pourrait même empirer la situation en amplifiant le cycle. Les monétaristes sont les non interventionnistes qui avancent que la monnaie a un effet déterminant sur le cycle économique. Il ne s’agit pas cependant d’une défense de la politique monétaire come instrument de stabilisation, mais bien au contraire. Comme les délais

L’école néoclassique a repris les idées classiques en introduisant de nouveaux concepts tels que le comportement rationnel des agents économiques, une approche micro-économique. Actuellement, la pensée néoclassique est représentée par : * Les monétaristes : qui mettent en avant le rôle de la monnaie dans une économie en insistant sur ses aspects pervers ; * Les théoriciens de l’offre : qui font de la rationalité des agents économique et du marché les éléments essentiels de l’économie. 2.2-LES

formes. La monnaie est un bien disponible d'un point de vue financier, c'est un actif liquide qui permet de satisfaire des besoins grâce à l'échange d'un bien contre de la monnaie. La monnaie a fait disparaître le troc. Monnaie indispensable du fait de la multiplication des échanges. Troc (nécessité d'un intermédiaire) → marchandise contre marchandise. Le surplus nécessite une double coïncidence (désir ou échange) ainsi qu'un coût lié aux échanges. Cette nécessité d'intermédiaire va être comblée

(d’abaisser le prix de revient ou d’augmenter le prix de vente). C’est le dirigisme. Selon Jacques Rueff, il y a une intervention de l’Etat aveugle et arbitraire de l’Etat, disons pour fixer les idées, l’intervention du type de celle préconisée par J.M. Keynes. Et il y a des formes d’intervention, ponctuelles et éclairées, qui doivent échoir à la puissance publique : ce sont celles qui sont compatibles avec le libre jeu du mécanisme des prix. Ces interventions sont même nécessaires et souhaitables. En

énoncé par Ricardo, avec les rendements décroissants de la terre. « C’est la demande d’homme qui règle la production d’homme ». Demande d’H → Hausse de salaire → hausse de la procréation (plus de salaire) → Rejoint le spectre malthusien. Préfigure Keynes : l’un des premiers auteur à s’intéresser à la demande. LEROY LADURI : « Malthus, un prophète du passé ». Limite : les hypothèses de la Loi de Malthus sont fausses : Nature : la production de subsistance a augmenté plus vite que la population

pendant une période donnée. Chapitre III : La demande de la monnaie Les agents économiques sont différents sur le plan de détention de la monnaie. S’ils ont de la monnaie, certains d’entre eux préfèrent l’utiliser dans les transactions, d’autres par contre préfèrent l’exploiter pour en tirer profit. Nombreuses sont les raisons pour lesquelles les agents économiques détiennent de la monnaie. Cette diversité a suscité plusieurs confrontations et controverses, ce qui a rendu ce champ plus vaste et plus