Kierkegaard Foi

domaine laissé vierge par la science, faut il l’occuper ? A chacun de choisir. La Foi est un choix de vie, dans l’espace que la science ne balaie pas. Ensuite : croire en Dieu est-ce bien raisonnable ? « Est-ce bien raisonnable ? », c’est la question que l’on se pose quand on hésite à prendre quelque-chose qui est bon, bien qu’on pourrait s’en passer, mais dont on sait que « c’est risqué ». Oui, la Foi en Dieu est bonne, elle donne un sens à la vie, génère un optimisme et un dynamisme

“un homme comme lui” (cf. portrait physique de Tartuffe) : “on risque la vertu”, “difficile […] d'être fidèle”, vers 537 où le “sot” désigne le mari trompé, vers 539-540. Enfin elle pose un argument religieux. Elle tente d'utiliser contre Orgon sa foi religieuse : s'il force sa fille à épouser Tartuffe et si elle le trompe, elle commettra un péché grave. mais c'est Orgon qui portera la responsabilité de cet adultère. Elle le menace donc d'un châtiment divin (v. 515-517) pour l'effrayer. Mais

La question ici posée est celle du rapport entre foi et raison, cette dernière (du latin « ratio » signifiant « calcul ») étant la faculté de calculer, de raisonner. Elle est également définie par la faculté de combiner des jugements tandis que la foi, comme son étymologie (le latin fides) l'indique, la foi est « confiance ». Théologiquement, c’est la confiance absolue que l’on accorde à Dieu même si la raison n’y saurait donner quelconque appui. C’est donc une confiance au-delà de la raison à la

même on n’imagine pas une vie amoureuse saine qui valoriseraient à tout prix la vérité, au risque de s’appauvrir de tout mystère, et de transformer la confiance en contrat Aimer la vérité serait donc une attitude naïve, propre à la ferveur de la foi religieuse ou encore à al soif de savoir comme le scientifique. Mais en aucun cas l’amour inconditionnel de la vérité ne saurait servir l’homme de sa vie, sentimentale, politique ou philosophique. L’amour, bien plutôt que de nous conduire à la vérité

lignes 16 à 17 constituent un récapitulatif de cette attitude exemplaire qui est celle du philosophe. Les lignes se présentent sous la forme d'une définition. 2) Religion Il dénonce certains aspects de la religion : - Chez le philosophe, la foi en dieu est remplacée par la fois en la raison. Elle est assimilée à une divinité. Le premier paragraphe établit de manière très claire une distinction entre le philosophe et le chrétien. ➢ similitude syntaxique dès la première phrase puis une reprise

Vierge et des saints, les représentations iconographiques de la divinité (images, tableaux…). Ils estiment que tout chrétien doit étudier lui-même individuellement les textes sacrés. Pour eux, chaque personne est prédestinée à la naissance : seule la foi en Dieu et dans le Christ peut sauver les croyants, pas les œuvres (comme les dons aux monastères…). • La réforme de Luther est reprise par Calvin à partir de 1533 en France et en Suisse. Mais Calvin développe un protestantisme plus radical, plus sévère

Dans la raison que la nature nous a donné. Plutôt que dans les textes révélé. La religion se base sur la racionnalite de l'homme et pas sur l'observence rituelle mais dans le contenu moral que nous pouvons trouver en nous même. Freud considère la foi religieuse comme une réponse a la misère humaine (pas la misère économique mais la misère de sa condition). La religion est une illusion que l'on entretien. Illusion qui consiste a combler des désirs anciens. Ces desirs de protection étant trés fort

l’infini en nous qui met en jeu la foi. Pascal lorsqu’il décrit le divertissement veut nous inviter à faire le pari d’une foi au Dieu d’Abraham, Isaac, Jacob et de Jésus-Christ. Kant ici parle du divertissement face à la conscience morale. Mais selon lui elle est tellement forte qu’on finit inéluctablement à être rattrapé par elle. On finit inéluctablement par entendre sa voix terrible. Pour Kant, la morale semble donc le chemin par excellence vers une quelconque foi en Dieu tandis que pour Pascal la

évangiles. Ce sont des textes de méditations religieuses sur la réalité. Les détails réalistes y importent peu et sont à peine suggérés. On passe d’un verset à un autre sans transition. Seule la réflexion religieuse finale, presque un élan du cœur, de la foi en Dieu, est claire. Ces réflexions ne sont pas non plus le fait d’une systématisation conceptuelle, comme dans les épîtres bibliques, où saint Paul – surtout lui – tente d’expliquer les mystères du Christ en accord avec la tradition juive et les nouvelles

La foi vous semble t-elle un obstacle à la liberté ? INTRODUCTION Certaines personnes disent très facilement que les femmes musulmanes, de par leur religion sont asservies, soumises aux hommes et perdent de leur liberté. En revanche, un jeune homme ambitieux, quelque soit sa confession religieuse, ayant foi en son destin est tout à fait libre de choisir de quelle manière il va construire sa vie future. Mais alors, quelles relations existent-il entre la foi et la liberté ? L’une empêcherait-elle