Kitsch

« Independant group », groupe d’artiste qui présentent des œuvres « pop art ». Rapport entre les arts et les mass média. Introduction du monde réel dans le monde de l’art. Au début des années 60 : réelle coupure entre la culture « réelle » et la culture « kitsch » (qui n’est pas de l’art). Le pop art veut justement prouver que la vie de tt les jours peut aussi rentrer ds l’art. Les pop artistes s’intéressent à l’art populaire. L’objet populaire est industriel. Le pop devient alors l’art industriel, l’art

si dou donné fit son dada qu'il garda.  Le dandy dodelinant dodeline de la tête devant le dindon dodu.  Le fisc fixe exprès chaque taxe fixe excessive exclusivement au luxe et à l'acquis.  Le geai gélatineux geignait dans le jasmin.  Le kitsch tchèque choque, sauf s'il est chic.  Le mur murant Namur rend Namur murmurant.  Le mur murant Paris rend Paris murmurant.  Le poivre fait fièvre à la pauvre pieuvre.  Le python de la pythonisse a sucé du bois de réglisse. Il est lisse

dorea revolutionar, în arhitectura înregistram opozitia fata de decorativism, fata de înfrumusetarea redundanta si lipsita de gust estetic a cladirilor de tip “clasic”, similara distantarii în raport cu ceea ce prezentul desemneaza prin notiunea de kitsch. În opozitie, modernismul vine cu o arhitectura “ascetica, utopica, rationalista”. El opune arhitecturii clasice formaliste, decorativiste, ideea ca functia contine în sine frumosul estetic, fapt ce consista în a afirma identitatea utilului cu frumosul

miséreuses, les translations agressives {chaîne de vélo en guise de ceinture), les badges provocants, les gadgets parodiques ne cessent de narguer la bonne conscience protocolaire, l'uniforme de l'utilitarisme régnant. C'est l'épidémie revendicative du kitsch américain, du laid dressé contre le beau, du mauvais goût contre le bon. C'est par ce mouvement existentiel d'in version que les modes vestimentaires par exemple, dont le goût se précipite si brutalement en engouement, perdent peu à peu leur sens

l'incapacité des gens à aller au fond des choses, la relativité de la vérité, l'impossibilité de l'atteindre, en résumé « le manque de sincérité du ravissement du monde ». L'univers dans lequel l'homme évolue est celui de ce que l'auteur nomme le « kitsch », attitude vulgaire qui pousse les individus à ne s'émouvoir que des mêmes choses et à vivre dans le mensonge et la superfïcialité. Dans La valse aux adieux, « le désir d'ordre veut transformer le monde humain en un règne inorganique où tout marche

préférer la compagnie de Platon et la compagnie de sa pensée, même s'il doit nous égarer loin de la vérité. » Culture de masse. Culture =/= loisir A ses yeux, la période la plus "coincée" est bien le XIXe siècle durant lequel il s'agira d'ajouter "au kitsch une dimension intellectuelle". elle analyse la différence qui existe entre le sens de la culture comme média politique et son débordement actuel comme déterminisme de classe. Il ne faut pas confondre culture de masse et diffusion de masse. C'est

source principale de cette controverse autour des expositions de Jeff Koons et Murakami. Jean Clair dira ce propos "La manipulation financière du marché de l'art a réduit les œuvres à de simples marchandises et a donné de la valeur à la pacotille kitsch des Koons ou des Murakami". Les œuvres de ces artistes sont détenus par des personnes extrêmement riches et célèbres. Soutenues par les expositions, les œuvres prennent en très peu de temps de plus en plus de valeur. Nous pouvons dès lors parler d’un

de Babel, mais le péché de vanité est étranger à Janek ». Mais il parvient à s’arracher de son cercle, à sortir de cette immobilité pour partir en Suède, cet horizon occidental où le capitalisme règne déjà, et il revient de là-bas avec des habits kitschs mais témoignant d’une certaine réussite professionnelle, capable même de payer sa tournée lorsqu’il revient. Pour autant, cette réussite n’est pas général et il ne s’agit pas ici de dire qu’il suffit de vouloir s’échapper pour que cela

illusions. Dernière rêverie avant la fin, cette séquence marque la prédominance du fantasme sur le réel. Ce climax exemplaire est régi par une débauche de moyens et de couleurs qui frise l’hystérie. Vincente Minnelli jongle habilement entre lyrisme et kitsch, donnant à sa caméra la légendaire légèreté des pas de son interprète. Cette débauche outrancière qui ouvre la boîte de Pandore, a du mal à cacher ce qui le fonde : l’éphémère, qui constitue aussi bien la création que l’amour. On peut songer alors

thème de la société américaine. L’« american way of life », en apparence symbole de liberté et de bonheur, dont l’artiste va créer ou détourner des scénographies hollywoodiennes, séries télévisées et bandes-dessinées par ses influences à la culture kitsch et pop. Il accuse les effets néfastes que produisent les médias, la consommation de masse et la politique sur la population. Par exemple dans l’œuvre The Garden (1991-1992), où des marionnettes répétant des mouvements mécaniques évoquant la fornication