Komsomol

partir de 1936 pour les garçons à la « Hitlerjugend » et les jeunes filles vont à la ligue des jeunes filles allemandes . Dans l’URSS, jusqu’à 15 ans ont va chez les jeunes pionniers (pas obligatoire) et après 15 ans jusqu’à 28 ans on va dans les Komsomols (les jeunesses communistes). Dans les régimes totalitaires, une multitude d’associations, pour tous, pour tous les âges, une fréquentation de masses, en Italie les associations de jeunesse 4 millions de membres. Ont toutes un point commun : diffuser

d'opium du peuple. Le démantèlement des églises fut donc l'une des priorités de Staline dans l'après guerre. L'individu s'efface devant l'intérêt commun. Ce principe est particulièrement à l'œuvre dans les structures d'encadrement de la jeunesse. Les Komsomols par exemple. III Les limites de chacun de ces modèles. La mise en place d'un système totalitaire stalinien Staline monopolise le pouvoir. Staline dirige seul Il est secrétaire général du PC, président du conseil de ministres et maréchal de l'armée

encadrement de la vie sociale et culturelle par le parti communiste, § athéisme militant avec persécution de l’Eglise orthodoxe, § Les « pionniers » regroupent les enfants de 7 à 13 ans qui passent ensuite dans les, les « komsomols » (Jeunesses communistes), dont l’objectif est d’inculquer les valeurs du socialisme à la jeunesse dès le plus jeune âge pour mieux modeler les esprits … § enseignement marxiste, ð Renforcement à partir de 1947 dans le contexte de la

économique et demande de les intégré a la CAEM (Conseil Assistance Economie Mondiale). Une culture de masse est mit en œuvre proprement communiste. Il va encadrer la population dans des organisations, des syndicats (ex : jeunesse communiste : Komsomols), reformation des enseignements, le russe devient obligatoire et les églises sont persécutés. III – Remise en question du modèle soviétique après Staline 1 – Impasse volontaire de Khrouchtchev (1953-1964) Du 14 au 19 février 1956, le

La liberté d’expression n’existe pas : les journaux, les revues, la radio, puis la télévision dépendent de l’Etat. Les artistes doivent être autorisés pour diffuser leurs œuvres. Les jeunes sont embrigadés dans une organisation de jeunesse, les Komsomols, et les travailleurs dans un syndicat unique. Ils n’ont pas le droit de faire grève. Pour des motifs peu importants, parfois inventés de toutes pièces, on peut être arrêté, jugé et déporté en Sibérie, ou ailleurs dans des camps gérés par l’administration

telle sorte que les actions des autorités soviétiques soient toujours dépeintes positivement. Endoctrinement de la jeunesse dans les écoles et les organisations (les Octobriens (jeunes de 8 à 10 ans), les Pionniers (de 10 à 14-15 ans) et les Komsomols (de 14 à 25 ans)). Utilisation de la presse, de la radio et de la télévision. Les éloges panégyriques de Rashimov dans la presse (Gazette rouge de Léningrad, Pravda...) Le cinéma, en influençant les films du cinéaste Sergueï Eisenstein :

1952 ; PNF en 1921 ; NSDAP en 1920) partagent aussi : • l'idéal révolutionnaire (culte de l'action, de la violence et de la guerre) ; • le culte du chef (présenté comme charismatique, éliminant ses concurrents) ; • l'embrigadement de la jeunesse (Komsomol ; Balilla ; Hitlerjugend) ; • l'encadrement de toute la population (clubs ; Opera Nazionale Dopolavoro ; Kraft durch Freude) ; • la volonté de créer une nouvelle société (nouvel homme ; italien neuf ; Übermensch) ; • l'emprisonnement des « ennemis

Italie : les « Enfants de la Louve » (4-8 ans), les Balillas (8-14 ans) et les « Avant-gardes » (14-18 ans) [affiche 1a p.182]. En Allemagne : les Jeunesses Hitlériennes (Hitlerjugend) [affiche 1b p.182]. En URSS, les Pionniers (10-14 ans) et les Komsomols (Jeunesses communistes, de 14 à 29 ans). ● Les organisations de loisirs Pour les adultes, le parti unique encadre aussi les sorties, visites, vacances… par le biais de puissantes associations : le Dopolavoro en Italie (« après le travail »),

alternantes : § Vieille tradition de déportation, d'abord tsariste, reprise et décuplée par le communisme, mais aussi § Séjour volontaire sur place de quelques années du fait d’incitations diverses (avantages financiers, campagnes des komsomols ...) § Une partie s’installe, mais une autre partie alimente un courant alternant émigration-immigration permanente qui unissait l’espace russe § Immigration de russes et d’ukrainiens exclusivement 2. Aujourd’hui, une situation

dans la langue contemporaine ne sont pas fixés par le Dictionnaire. Ce sont des néologismes tels que autoresse, canadienne (f), oléoduc (m), cocktail (m), etc., des soviétismes comme sans-parti (m), planifier, printanisation (f), quinquennat (m), komsomol (m), spoutnik (m), etc. L’auteur a mis à la tête du Dictionnaire une grammaire et une lexicologie suivies de renseignements sur les moyens stylistiques. On y trouvera des articles traitant de la versification française, de divers styles de correspondance