Kundera

précipitation. Ex: fable de la fontaine. Le lièvre et la tortue Dans la vitesse, on perd son raisonement et c'est la lenteur qui finalement devient puissante. La lenteur est synonyme de mémoire Ex: La Lenteur de Milan Kundera La lenteur est pour Kundera un moyen de sauvegarder la mémoire et donc, l'homme oublie. Il dira que "le degré de la vitesse est directement proportionnel à l'intensité de l'oubli » . L'homme moderne, fasciné par la vitesse, oubli les vertues de la lenteur.

Milan Kundera – L’art du roman Kundera, romancier contemporain qui écrit en tchèque puis en Français. PREMIERE PARTIE : « L’HERITAGE DECRIE DE CERVANTES » Husserl a fait une critique aux Temps modernes : les nombreux progrès scientifiques (portés par Galilée et Descartes) ont focalisé l’attention sur des détails abstraits et des généralités au points d’en oublier le monde vécu de l’individu, c’est-à-dire une crise de l’identité « européenne » (en tant que sentiment d’appartenance à l’air de civilisation

l’histoire dans La Gazette des Tribunaux avant d’écrire le Rouge et le Noir. Malgré son degré de ressemblance avec un être réel, les auteurs du roman doivent introduire le doute de la véracité du personnage, autrement il s 'agit d'un livre d' histoire. Kundera dit : « Le personnage n’est pas une simulation d’un être vivant. C’est un être imaginaire. » Malgré les protestations des auteurs, les personnages sont jugés d’après les critères du réel. Puisqu’ils imitent la personne humaine, on veut que leur comportement

années ou quelques décennies après sa mort ce qui est difficile de juger de la postérité d'une œuvre durant le vivant de l'écrivain Milan Kundera est l'un des rares auteur à entrer dans la Pléiade durant son vivant, en effet c'est le seul écrivain encore vivant à être dans la Pléiade . Depuis 1931 ce cas ne s'est produit qu'une dizaine de fois Milan Kundera à 82 et certains de ses livres sont déjà des classique (l'insoutenable légèreté de lettre , la lenteur ou ses essaie aussi font autorité comme

(évoquant le contenu) et dans le second à un titre rhématique (décrivant la forme). Pour les linguistes : Le thème = ce dont on parle et le rhème : ce qu’on en dit. Le Livre du rire et de l’oubli de Kundera est à la fois thématique (thèmes du rire et de l’oubli) et rhématique (« le livre » est ce que Kundera a fait de ses réflexions sur ces deux thèmes). Les titres thématiques • Les titres littéraux : renvoient au sujet central du roman. Ex. Le Tour du monde en 80 jours ou Paul et Virginie. • Les

conduit à une perversion de la liberté ? Pour répondre à cette problématique nous allons nous servir des « Liaisons Dangereuses » de Laclos, de « Point de lendemain » de Vivant Denon et d’un groupement de textes de Crébillon, Boyer, Maupassant et Kundera qui traitent tous du libertinage. Dans une première partie nous étudierons comment les libertins revendiquent leur liberté de mœurs tout en asservissant autrui. Ensuite dans une deuxième partie nous montrerons que le libertinage érigé en système

des « dingues », elle appelle également sa mère « tante » au lieu de « maman » comme pour la mettre à distance. V – Vanille Toujours le même jour, le chapitre s'ouvre sur le Café Kundera situé à Istanbul ou tout le monde essaie de donner une théorie sur le nom du Café ; que le propriétaire ait été fan de Kundera, que ce dernier soit passé dans le Café... Puis nous avons le Dessinateur Dipsomane, un buveur, qui expose sa théorie sur le nom porté par le Café, ce serait un code pour l'ennui selon

La plaisanterie Kundera Le livre “ La plaisanterie” de Kundera est séparée en sept parties. Chaque partie a son narrateur. La première partie est racontée par Ludvik le narrateur de trois parties sur sept du livre, donc soit disant générale, la deuxième est narré par Helena, la troisième est dicté une seconde fois par Ludvik, tandis que la quatrième partie est écrit par Jaroslav un musicien et ancien meilleur ami de Ludvik, puis par la suite, Ludvik reprend dans la cinquième partie alors que la

l'expérience solitaire d'un individu n'est jamais réellement solitaire puisqu'elle dépend d'autrui. Le mot "jamais" souligne réellement la dépendance des uns vis-à-vis des autres. En effet, chacun se construit à travers les autres.  Citation de Milan Kundera : Exister, n’est-ce pas être rivé à un soi, à la conscience d’être soi, et n’être rivé à rien d’autre qu’à soi ? En quoi cette conscience serait-elle écrasante en soi, ou écrasée par les autres ? En quoi est-ce une bénédiction ? Être soi, n’est-ce

dernier se préoccupe de son avenir. Aujourd'hui, nous vivons dans une société de conformisme dans laquelle l'homme, soumis à la pression du groupe, n'a d'autre choix que d'amalgamer sa propre vision de l'existence à celle des autres. Selon Milan Kundera, «Nous vivons de plus en plus dans l'oubli de l'être ». Dès lors, il n'existe plus de définition personnelle du sens de la vie. Celle-ci a été remplacée par une conscience collective de ce qu'un idéal de vie doit être. Cette dimension grégaire empêche