Kyōgen

fleurs. Ce théâtre allie le théâtre, le chant et la danse. Il en existe quatre formes principales : * Le Kabuki * Le Bunraku * Le Nô * Le Kyôgen Ces quatre formes de théâtre sont différentes par leurs histoires, leurs interprétations, leurs décors, leurs habits de scène etc… I. Le Kyôgen a) L’historique du Kyôgen Le Kyôgen était à la base une forme de théâtre comique appelé sarugaku ou danse du singe, inspirée du théâtre chinois. Il devînt populaire à la période Muromachi

cinq nô qui sont joués en une journée. Les pièces sont choisies en fonction d'un principe de l'esthétique japonaise récurrent, le jo ha kyû (début développement fin). Entre chaque catégories de nô,une pièce comique a lieu ; cette pièce est appellée « kyôgen ». Les différents nô permettent au spectateur de parcourir toute la palette des émotions en une journée. C'est le rythme de chaque pièce qui fixe sa place dans la progression du jo ha kyû. Les nô doivent s'accorder à la tonalité de la raison qui se

folie et l’errance présente dans le Nô sont un reflet du rejet de la société vécu par ces histrions. Il y avait les biwa-bôshi琵琶法師, moines au Biwa qui interprétaient à l’aide du Biwa des petits récits comiques ou édifiants dont s’inspirent les kyôgen狂言. Ces biwa-bôshi s’associèrent au shômyô声明, un chant religieux bouddhique, et formèrent au XIIIème siècle le heike-biwa平家琵琶, déclamation de poèmes épiques, qui marqua de son empreinte le chant du Nô. Puis, le shamisen三味線 remplaçant le biwa琵琶, apparurent

du Monde, nous accueillerons Mansai Nomura et sa troupe Mansaku-no-kai Kyogen Company de Tokyo qui viendront présenter pour la première fois en France, après sa création au Shakespeare Globe Theatre de Londres, leur adaptation de La Comédie des Erreurs de Shakespeare, Machigai no Kyogen et deux pièces de Kyogen traditionnel. Ce sera aussi l’occasion pour l’Arta et l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson d’organiser un stage de kyogen du 28 février au 18 mars. Certains d’entre vous se souviennent des 24

masque dans le théâtre nippon mais on pense que l’idée c’est développer sous la période Muromachi, ce qui se rapporte au Moyen-Age pour l’Europe (1336-1573).À partir du XIVème siècle se développent des arts du théâtre plus raffinés tels que le Nô et le kyogen sous les shoguns Ashikaga. Avant cette époque, il existait des spectacles de danses et pantomimes qui cohabitaient. Les troupes se constituaient aussi bien de professionnels que de moines pour des cérémonies religieuses ou des manifestations plus

autocaricatures, la théâtralité permet de passer à une autre interprétation de soi. Le nô fut la première forme d'art dramatique à être inscrite, en 2001, sur la liste du patrimoine mondial intangible de l'UNESCO en tant que part du nōgaku, conjointement au kyōgen[2].

une des premières formes d'art dramatique à être inscrite en 2008 (originellement proclamé en 2001) sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'UNESCO, étant un des types de théâtre du nōgaku, conjointement au kyōgen[2].

papier) et ukiyo-e (gravure sur bois), l'artisanat - poupées, des laques et des poteries; performances - kabuki (drames complexe effectué dans des costumes élaborés), Noh (sobre et dramatique hautement stylisé), bunraku (théâtre de marionnettes), kyogen (saynètes satiriques), et kamishibai (storytelling avec animation, son et musique), et traditions - des jeux, des onsen (sources chaudes utilisés comme lieux de baignade publics), et la cérémonie du thé. l’Aéroport International de Tokyo

sujet car je m’intéresse de près à la culture japonaise et j’ai appris que le théâtre était très présent au Japon. Les différents styles que j’ai pu découvrir sont le Kabuki, théâtre épique et populaire ; le nô, définit comme du drame lyrique ; le Kyôgen, théâtre de farce ; Et enfin le Bunraku, ou plutôt Ningyo Joruri Bunraku : le théâtre de marionnettes. J’ai été séduite par ce dernier genre car j’ai trouvé les techniques très intéressantes selon la manière dont les marionnettes étaient manipulées

siècle), ce conte a été récollectionné dans "Otogi Zôshi". "Otogi Zôshi" a le style "Nara Ehon": le livre d'images de Nara. Le conte de la princesse Chûjô et son "Mandara" influencent le champ de la littérature moderne et aussi l'art dramatique Nô, Kyôgen, Kabuki, et Bunraku. Zeami a composé une pièce de Nô, "Hibari-yama" dont la source était même que celui du conte de la princesse Chûjô. Nara garde de nombreux vestiges d'un passé très riche. Le temple Taima est aussi bien connu de la pivoine