L Absolutisme En Espagne

politique est attaché à une finalité morale religieuse : il n’y a plus d’œuvre strictement temporelle. L’autorité morale du pape s’affirme à travers Grégoire : l’église apparait comme la seule gardienne des traditions. Le point culminant est atteint en Espagne avec Isidore : les wisigoths ont sacré leur rois en s’inspirant des principes de la bible. Le sacre est un sceau ecclésiastique mis sur la royauté. La seule raison d’être de l’état réside dans le maintien de la discipline et la morale chrétienne.

des fonctionnaires impériaux, toutes les décisions de l’empereur sont désormais indifféremment nommées constitutions ou lois et à partir du 4e siècle, l’empereur est considéré comme la loi vivante. 1. L’empereur : source unique du droit. Cet absolutisme contenu dans les formules d’Ulpien est nuancé par les empereurs eux-mêmes. Il est nuancé par une constitution de 429 qui est du aux empereurs Théodose 2 et Valentinien 3, constitution retenue sous le nom de lex dinia, qui dit que « c’est une chose

vont aux 4 premiers partis. On peut ne pas être représenté avec près de 20% des voix. Ce facteur de l’amplitude est tout à fait fondamental. L = [100%/(m+1)] – e L est le pourcentage minimum à avoir pour être représenté. En Espagne, le système électoral en Espagne est une proportionnelle à très faible circonscription, en général 3 ou 4 sièges. Un parti avec 3 ou 4% des voix n’a aucune chance d’avoir un siège, où il faut genre 25 ou 30% des voix. L’amplitude ou la magnitude de la circonscription

un peu plus violente. B)La victoire militaire L’Empire romain disparaît par lambeaux au cours du Ve siècle. Des provinces vont d’abord échapper totalement à l’autorité romaine. Et des royautés indépendantes vont se constituer en Angleterre, en Espagne, en Afrique du nord. En gaulle, c’est le roi des wisigoth Euric en 468 qui annonce qu’il ne reconnaît plus d’autorité romaine. Et le dernier empereur romain est renversé durant l’année 476 par un chef d’origine germanique, Odoare chef des ostrogoths

importantes de la conquête romaine, sous la république, sont les suivantes : d’abord le Latium ( 338 ), puis l’Italie ( soumission de Tarente en 272 ), ensuite la Méditerranée occidentale ( Carthage, en Afrique du Nord, détruite en 146, Numance, en Espagne, prise en 133 ) et enfin la Méditerranée orientale ( Corinthe, en Grèce, détruite en 146, l’Egypte annexée après Actium en 30 ). L’empire territorial couvrait toute la Méditerranée, dénommée orgueilleusement par les Romains « notre mer » : mare nostrum

seigneur parmi d’autre. Il faut monopoliser les ressources économiques, militaires => concentration de la puissance. Elias met l’accent sur le caractère aléatoire du processus. B. Monopolisation du pouvoir politique par le roi : mécanisme absolutisme : Entre le 12ème et le 17ème siècle : - entre le 12ème et le 14ème siècle : le roi essaye de conquérir son propre royaume. Aucun de ces acteurs politiques n’essaye de contrôler l’ensemble du territoire => on raisonne encore en terme de petits

propres rationalités, son autorité, sa loi. L’Etat est capable à partir du 16è de faire primer sa volonté sur toutes les autres. (Individuelle ou collective). C’est dû à la volonté des rois d’affirmer leurs autorités et aux auteurs comme Jean Bodin (absolutisme). L’Etat était confronté à une Eglise plus puissante que lui parce qu’elle avait un dogme transnational. Quand le schisme s’est produit il est apparu qu’il n’existait plus une vérité mais plusieurs. Cela a fragilisé l’autorité du pape et de l’Eglise

PREMIÈRE PARTIE: L'Assemblée nationale constituante et l'Assemblée législative 5 mai 1789 – 20 septembre 1792 La révolution des juristes Chapitre 1 En quelques semaines, on a une rupture entre deux conceptions: l'Ancien Régime, absolutisme monarchique et inégalité contre la souveraineté nationale et égalité. Cette rupture est politique, sociale et philosophique. La Monarchie subsiste mais devient limitée. Les Etats Généraux s'ouvrent alors porteurs de tous les espoirs, dès 1789 il

sont comme le soleil » (lettre CII). Mais à cette ouverture, à cette critique du despotisme (« Malheureux le roi qui n'a qu'une tête »), à cette réflexion sur les châtiments des princes, la lettre CXVI vient opposer de façon cinglante son propre absolutisme au sérail. L'alternance des lettres voulue par Montesquieu trouve ici une de ses justifications : un incessant contrepoint dans l'agencement des expéditeurs suffit à marquer les faiblesses et la mauvaise foi du personnage qui fait de nouveau allégeance

l’ont pensé au 18ème siècle et même à une époque récente. D’autres l’ont nié avec énergie, affirmant que l’absolutisme était le corolaire nécessaire, la conséquence incontournable du développement d’un grand Etat moderne. Toujours est-il que cet absolutisme est de plus en plus contesté, à partir du règne de Louis XV, et que l’un des points de convergence de toutes les critiques est l’excès de centralisation. C’est à cette centralisation que les tenants des libertés traditionnelles imputent tous les