L Accumulation Du Capital Chez Les Classiques

APU -         Quelle différence Marx fait il entre les schémas : M-A-M’ et A-M-A’ -         Donner la formule : du taux de plus-value , du taux de profit -         Différencier accumulation intensive / extensive du capital -  Quelle différence Marx fait-il par rapport au classique quant à la valeur travail -         Définir la multinationalisation des firmes         Sujet 2005 -         Différencier le revenu total d’un ménage  et ses salaires,

répartition  Pour les classiques : Valeur : Les Classiques n’ont pas lié la problématique de la valeur à celle de la répartition. Selon Adam Smith la division du travail est la base de la réalisation de la production, c’est la spécialisation de la production, l’homme va échanger tous ce qui excède sa production avec ce qu’il ne produit pas, à ce niveau les Classiques vont poser des questions : Pour quelle base on va faire l’échange ? Comment mesurer la valeur ? Pour les Classiques, tout bien à deux

sa méthode dialectique selon laquelle l’histoire des idées est une succession de dépassement et de contradictions. Chez Marx, l’infrastructure économique préexiste et détermine en dernière instance la superstructure (la culture, droits, arts, religions). Le matérialisme historique considère que la matière préexiste à l’esprit. Dans cette approche, il va s’opposer aux classiques qui faisaient des lois économiques des lois universelles. Pour Marx, rien n’est naturel, tout s’inscrit dans un environnement

commun. La terre est commune, comme les femmes et les enfants. Interdiction des métaux précieux. Aristote : il y a ce qu il appelle léconomique : création de richesses. Et puis il y a la chrématistique = accumuler les richesses. L accumulation de richesses pour l accumulation de richesse, ce n est pas bon. Egalemt : interdiction du prêt à l usure : on ne peut pas créer de l argent à partir de l argent. Seule la terre peut en créer. Pr aristote, la cité idéale est sur terre ; il faut donc donner le w

L’accumulation du capital et la question de la surproduction Chapitre 1 - Loi des débouchés selon les Classiques I Le cercle vertueux du capital Pour tous les classiques (fin du 18iè jusqu'au début du 20iè), sous réserve que le libéralisme prévaut, il existe un cercle vertueux d'accroissement des richesses: l'accumulation du capital engendre la croissance, qui augmente les revenus et donc le taux de profit, qui lui augmente l'accumulation du capital etc. Selon les classiques l'épargne est entièrement

aux progrès de ces sciences et tenter de les importer en économie politique. L'idée en soi n'est pas neuve ; la nouveauté de la démarche tentée ici réside dans ce qui est importé : le sous-produit d'un progrès crucial de la physique. Pour les néo-classiques, en déhors de la théorie de l'équilibre économique général il n'y a pas de sciences. Pour les auteurs qui ont tenté une synthèse post-classique2, il s'agissait de construire 1 Cl. Allègre écrit à propos à propos des travaux de Clausius dans

Libéralisme néo-classique et guerre              Comme en réaction aux analyses marxistes qui placent les travailleurs-salariés comme véritables acteurs de la vie économique, une succession d'économistes poursuivent la réflexion du libéralisme en poussant encore plus loin l'élaboration d'un modèle d'équilibre fondé sur la rencontre entre une demande et une offre de biens et de services. Loin de tenter de contrer le marxisme sur le terrain socio-économique, les premières générations de ces économistes

(travail, capital, progrès technique). 1) Les facteurs de la croissance sur longue période selon l’analyse néo-classique traditionnelle: La croissance est la hausse du PIB en volume à long terme (c’est-à-dire que l’on enlève la hausse des prix, l’inflation). Pour les théories traditionnelles de la croissance sur longue période, la croissance résulte de facteurs exogènes (étrangers à l’économie) comme la croissance démographique ou le progrès technique. A) Les rendements chez Solow: Dans

capitaliste : accumulation du capital, recherche du profit, progrès technique (dont la division du travail en fait partie), productivité… Mais qu’en est-il de ses suivants ? L’ère nouvelle attire les adhésions, comme celle de l’économiste classique David Ricardo (1772-1823) avec Principes de l’Economie politique et de l’impôt (1817), ou les réprobations les plus virulentes comme celle de Karl Marx (1818-1883) dans les volumes de Le Capital (1867, 1885, 1894). Si pour Ricardo le capital que l’on accumule

est prisonnier d’une crise très profonde, et en quel sens il faut comprendre sa domination dans l’élément de la théorie comme indissociable de celle du néo-libéralisme sur la pratique du développement. Mots-clés Développement, économie néo-classique, politique néo-libérale, crise, hétérodoxies. A revival of the development economics? Summary This paper aims to show how the neo-classical current, which has yet absorbed development as one of its components, is trapped in a deep crisis, and