L Action Humanitaire

II. Les actions de l’ONU Les Nations Unies ont quatre buts principaux : - Maintenir la paix dans le monde - Développer des relations amicales entre les nations - Aider les nations à travailler ensemble pour aider les pauvres à améliorer leur sort, pour vaincre la faim, la maladie et l’analphabétisme et pour encourager chacun à respecter les droits et les libertés d’autrui - Coordonner l’action des nations pour les aider à atteindre ces buts. 1. Action pour la Paix et

1. Dans quelles mesures les différences culturelles et personnelles affectent-elles une organisation humanitaire comme le CICR (2 pages) 1. Les valeurs du CICR et comment ses valeurs sont mise en pratique au sein de l’entreprise ? (1/2 page) (les valeurs et les différents buts du CICR / généralités sur l’entreprise) (ce que fait l’entreprise dans la pratique, ses différentes actions, où, comment, quoi….) 2. En quoi le CICR est-il spécialement touché par les différences culturels

cadre de notre BEPA service aux personne nous devons mettre en place un projet d’utilité sociale. Pour cela nous avons décidé d’etablire un partenaria avec Acf. Nous avons choisi cette assosiation car notre premiere priorité etait de faire une action humanitaire parce qu’il et important pour nous de venir en aide aux personnes en difficultées. • L’associtiation ACF intervient dans situation tels que : Des cas de crise grave d’origine naturel ou humaine qui menasse la securité alimentaire

opérations de paix Les organes compétents de l’ONU : vers un monopole du Conseil de Sécurité La compétence originelle de l’Assemblée Générale La maîtrise exercée désormais par le Conseil de Sécurité A. 1. 2. B. Le fondement juridique des actions prescrites : le recours successif aux Chapitres VI, VI et demi et VII Un fondement juridique distinct pour chaque catégorie d’opération L’accord de l’Etat d’accueil : une nécessité absolue ? 1. 2. II. Le financement des opérations de paix

B- Le principe d’égalité des peuples. 3 Titre II - Le principe du non recours à la force 3.1 A- Le principe du règlement pacifique des différents. 3.2 B- Le principe de non-intervention. 3.2.1 L’intervention humanitaire et le principe de non ingérence. 3.2.2 L’intervention sollicitée et le principe de non intervention : 4 Titre III - Le principe de coopération 5 Conclusion 6 Voir aussi Introduction Pour commencer notre intervention

traitement sont issus de ménages pauvres, dont 50 % des ménages les plus pauvres5 . Les causes de la malnutrition sont complexes, mais la pauvreté constitue indubitablement un facteur important, qui plus est, en augmentation. Bien que la réponse humanitaire globale à la crise alimentaire en 2010 ait été significativement meilleure qu’en 2005, la réalité incontournable était que la communauté internationale n’est pas parvenue à intervenir suffisamment tôt, pas plus qu’à l’échelle requise. « Nous avons

de Géographie : Problématique : En quoi cette Organisation Non-Gouvernementales est-elle un acteur de la mondialisation ? DOCUMENT 1 : L'organisation Humanitaire Action Contre la Faim a été fondée en 1979 pendant la crise en Afghanistan. Ils ont créé une organisation se consacrant au problème de la faim. Action contre la faim est présent actuellement dans plus de 40 pays, compte 6000 employés et tente de venir en aide à plus de 5 millions de personnes chaque année. Les principes

...... 3 Médecins Sans Frontières : ............................................................................................. 3 Historique de Médecins Sans Frontières .................................................................... 3 Ses actions ................................................................................................................... 3 Son organisation ......................................................................................................... 3 MSF

Croix-Rouge qui par la suite a occupé une situation hégémonique pendant presque un siècle. Les ONG, issues du mouvement du sans frontièrisme, ou d’origines anglo-saxonnes créées dans l’entre deux guerre sont venues développer une nouvelle aide humanitaire, une aide où le témoignage est un concept central. Dans le contexte de reconstruction après la seconde guerre mondiale, l’aide publique au développement s’est développée. Cette aide développée sous forme bilatérale au début est par la suite devenue

son ministre. Pourquoi ? Car les résolutions de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies (ONU) qui sont invariablement citées par ses défenseurs comme un acte de naissance entre 1988 et 1991 ne consacrent qu'un droit d'assistance humanitaire – et non d'ingérence. Ce n'est pas la même chose puisque l'assistance implique le consentement de l'Etat cible et ne viole donc pas sa souveraineté, contrairement à l'ingérence qui implique l'emploi de la force. Quant à ce qu'on appelle depuis 2001