L Affaire Enron

gammes de produits disponibles. Pour la famille, l'action de consommer est grandement fa­ cilitée par cet éventail de choix, par les nouvelles formes de per­ suasion et par J'accès au cré­ dit. Cette démocratisation de États-Unis avec les démêlées de Enron et de Worldcom, deux exemples où s'est manifestée cette obsession du gain sans égard à la bonne gouvernance des institutions, ce qui a mené aux pires excès pénalisant ainsi investisseurs, employés et consommateurs. Comme le soulignait le géné­ ticien

entreprises, la culture ou les caractéristiques propres des dirigeants. Nous proposons que le caractère informel de l’économie au sein de laquelle est située l’entreprise influence l’importance que les dirigeants peuvent accorder à l’éthique dans les affaires. En particulier, nous pensons que les particularités de la gestion comptable, du financement, de la gestion du personnel, des clients et de l’environnement des entreprises du secteur informel influencent les attitudes et comportements éthiques de

Conclusion INTRODUCTION : Les inquiétudes en matière de gouvernance d’entreprise ont véritablement surgi ces dernières décennies suite à une série de scandales qui ont touché plusieurs grandes entreprises mondiales (Enron aux Etats Unis, Crédit Lyonnais en France, Parmalat en Italie…). A l’origine de cet engouement croissant : l’opportunisme des dirigeants, l’inefficacité des conseils d’administration, des doutes sur l’intégrité des audits… Si on regarde l’origine

uniquement en Europe. Elles ont été mise en place sur la même période que la loi Sarbanes-Oaxley. Ecole de Guerre Economique 18 Mars 2008 7 Les conséquences de la loi Sarbanes-Oaxley sur le monde de la finance américain Suite à l’affaire Enron, qui eut pour conséquence la fin du cabinet d’audit Arthur Andersen et la mise en place de la loi SOX02, un organe de supervision des commissaires aux comptes fût mis en place en juillet 2002 aux Etats-Unis, à savoir le PCAOB (Public Accounting Oversight

dirigeants alignent leurs intérêts aux intérêts des actionnaires. L’entreprise qui souhaite s’internationaliser à besoin de financement et donc se tourne vers les marché (bourse). Ainsi les actionnaires ont des besoins qu’il faut prendre en compte. Ex : ENRON. Les grandes entreprises sont touchées au même titre que des entreprises familiales (PARMALAT -> produits laitiers). Certaines entreprises sont prêtes à tout pour s’internationaliser. De plus elles ne respectent pas tout le temps les intérêts des

président de la Réserve fédérale des États-Unis Ben Bernanke[1]. Initialement, ce plan prévoyait que le Département du Trésor des États-Unis achèterait des actifs toxiques américains, principalement des mortgage-backed securities, de banques faisant affaire aux États-Unis jusqu'à concurrence de 700 milliards USD. Le 11 novembre 2008, Henry Paulson, imitant le gouvernement suédois, a radicalement modifié l'approche retenue : le trésor américain prendra plutôt une prise de participation dans le capital

concentration du marché de la notation L’indépendance et la transparence des organisations assurant la diffusion de l’information constituent un enjeu capital pour les marchés financiers. La crise financière de la bulle Internet ainsi que les affaires Enron, Worldcom ou bien encore Xerox avaient déjà soulevé des problèmes d’indépendance et de transparence des analystes financiers et des cabinets d’audit comptable. Dans la crise des subprimes, c’est le rôle des agences de notations qui a été

secteur du conseil aux entreprises. Il faut noter que cet ensemble était auparavant représenté par 5 entreprises. Toutefois, l’une d’elles, Arthur Andersen, s’est vue démantelée et rachetée suite au scandale lié au géant de l’énergie américain « Enron », datant de 2002. Notons également que plusieurs cabinets connaissent de nombreuses fusions ou restructurations. Les années 1990 ont été une bonne période, au niveau économique, pour le secteur du conseil. L’essor du e-business a provoqué des mouvements

du commissaire aux comptes peut être une : o Responsabilité civile : responsabilité contractuelle qui a pour fondement une obligation générale de diligence ; o Responsabilité pénale : recherchée si l’auditeur enfreint des dispositions du droit des affaires ou la législation fiscale comme auteur ou complice ; o Responsabilité disciplinaire: engagée devant l’Ordre des Experts Comptables, les peines encourues sont l’avertissement, la réprimande, le blâme, la suspension, et la radiation. L'auditeur ne

éclaté ces vingt dernières années, de la crise en Asie du Sud-Est à l'Argentine, en passant par la Russie, la quasi-faillite du fonds spéculatif américain LTCM et les subprime. Ils sont aussi régulièrement présents dans les scandales du monde des affaires: Enron, Parmalat, Refco…, ou plus récemment les fraudes de Bernard Madoff et de Sir Allen Stanford. Le sentiment de désastre a peut-être atteint son apogée quand on a appris, en février 2008, qu'un chien nommé Günter avait, comme 1 400 de ses compatriotes