L Amour Et L Honneur

a partir du second dizain jusqu’au quatrième .Rodrigue vient de ce faire ordonner de tué le père de sa maitresse, durant ces trois dizains Rodrigue se demande s’il faut obéir à son père et perdre sa maitresse ou désobéir à son père et perdre son honneur .Cruel dilemme, objet du destin qui prend un malin plaisir à le torturer, perdre la femme qu’il aime, ou perdre sa dignité, tel est la question qui ressort sans arrêt dans ses trois dizains .L’argumentation est en double temps, il argumente les conséquence

CHIMÈNE  Dis-moi donc, je te prie, une seconde fois  Ce qui te fait juger qu'il approuve mon choix ;  Apprends-moi de nouveau quel espoir j'en dois prendre ;  Un si charmant discours ne se peut trop entendre ;  Tu ne peux trop promettre aux feux de notre amour  La douce liberté de se montrer au jour.  Que t'a-t-il répondu sur la secrète brigue  Que font auprès de toi don Sanche et don Rodrigue ?  N'as-tu point trop fait voir quelle inégalité  Entre ces deux amants me penche d'un côté ?    ELVIRE  Non, j'ai

CHIMÈNE  Dis-moi donc, je te prie, une seconde fois  Ce qui te fait juger qu'il approuve mon choix ;  Apprends-moi de nouveau quel espoir j'en dois prendre ;  Un si charmant discours ne se peut trop entendre ;  Tu ne peux trop promettre aux feux de notre amour  La douce liberté de se montrer au jour.  Que t'a-t-il répondu sur la secrète brigue  Que font auprès de toi don Sanche et don Rodrigue ?  N'as-tu point trop fait voir quelle inégalité  Entre ces deux amants me penche d'un côté ?    ELVIRE  Non, j'ai

défaite et elle finit par renoncer à cet amour. Apres avoir tué le père de son <<amante>>, Rodrigue n’envisage que de mourir de la main sa bien-aimée ou par l’épée de d. Sanche : <<Le trépas que je cherche est ma plus douce peine>> (V.1070). Mais pas un seul instant envisage-t-il de penser à une autre femme que Chimène. Et quand son père lui propose d’aller chercher une autre femme (V.1058), il refuse catégoriquement. Rodrigue est l’homme d’un seul amour. C’est de même pour Chimène, qui elle, <<adore>>

de ma gloire passée ! Oeuvre de tant de jours en un jour effacée ! Nouvelle dignité fatale à mon bonheur ! Précipice élevé d'où tombe mon honneur ! Faut-il de votre éclat voir triompher Le Comte, Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ; Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur ; Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne. Et toi, de mes exploits glorieux instrument

À premier vue, on retrace que Rodrigue vit un dilemme tragique et déchirant dès le début du texte qu’est de sauver son honneur et perdre sa maitresse ou de sauver son amour et perdre un père. D’abord, on découvre la souffrance de Rodrigue qui était exprimée sous des termes de dilemmes alternatifs, avec deux mauvais choix, l’un plus que l’autre. Alors obéir le père et être à la fois le vengeur et la victime de la vengeance, ou laisser un père et suivre une maitresse. Comme on observe, dans les deux

être refusé n'en est pas un bon signe. LE COMTE Vous l'avez eu par brigue, étant vieux courtisan. DON DIÈGUE L'éclat de mes hauts faits fut mon seul partisan. LE COMTE Parlons-en mieux, le roi fait honneur à votre age. DON DIÈGUE Le roi, quand il en fait, le mesure au courage. LE COMTE Et par là cet honneur n'était dû qu'à mon bras. DON DIÈGUE Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas. LE COMTE Ne le méritait pas ! Moi ? DON DIÈGUE Vous. LE COMTE Ton impudence, Téméraire viellard, aura sa récompense.

être refusé n'en est pas un bon signe. LE COMTE Vous l'avez eu par brigue, étant vieux courtisan. DON DIÈGUE L'éclat de mes hauts faits fut mon seul partisan. LE COMTE Parlons-en mieux, le roi fait honneur à votre age. DON DIÈGUE Le roi, quand il en fait, le mesure au courage. LE COMTE Et par là cet honneur n'était dû qu'à mon bras. DON DIÈGUE Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas. LE COMTE Ne le méritait pas ! Moi ? DON DIÈGUE Vous. LE COMTE Ton impudence, Téméraire viellard, aura sa récompense.

de Phèdre. Imane est témoin à charge, elle se prénomme Ismène elle est également au service de Phèdre. Antoine est témoin à charge, il se prénomme Cyclithe, il est cuisinier pour Phèdre depuis 2 ans. Chef d'accusation:Mort d’Hippolyte et Oenone, amour incestueux, calomnie envers Hippolyte. La juge se prépare à ouvrir le procès, les trois témoins sont assis, l'avocate de Phèdre se tient debout à coté de l'avocate de la partie civile. Phèdre très anxieuse se tient prête à rentrer dans l'espace

CHIMÈNE Dis-moi donc, je te prie, une seconde fois Ce qui te fait juger qu'il approuve mon choix ; Apprends-moi de nouveau quel espoir j'en dois prendre ; Un si charmant discours ne se peut trop entendre ; Tu ne peux trop promettre aux feux de notre amour La douce liberté de se montrer au jour. Que t'a-t-il répondu sur la secrète brigue Que font auprès de toi don Sanche et don Rodrigue ? N'as-tu point trop fait voir quelle inégalité Entre ces deux amants me penche d'un côté ? Texte téléchargé sur «