L Amour Peut Il Etre Un Devoir

pose-t-elle ? Il apparaît, en effet, que l’homme est un être social : je suis fait pour vivre avec l’autre, j’ai besoin de lui pour partager le travail, les émotions, le plaisir et la peine, ou même simplement mon sentiment d’exister. Pourtant, des faits innombrables prouvent combien la cohabitation est désespérément difficile : depuis les conflits entre les individus jusqu’aux guerres entre les peuples, tout montre que si autrui s’avère être l’allié le plus indispensable, il est aussi mon plus implacable

AUTRUI ET LE DEVOIR I – les 2 valeurs de la sphère de l'égo Le moi est gouverné par 2 valeurs : principe d'identité ( moi = moi ) principe de contradiction ( moi = non moi ) Ces 2 valeurs se déclinent de la façon suivante : acceptation de la ressemblance rejet de la différence => relation problématique avec la différence Le moi fonctionne sur le principe de narcissisme. Il se pose dans la toute puissance et dans le même mouvement, rejette tout ce qui n'est pas

de l’épopée. Elle s’associe aux valeurs de l’aristocratie l’honneur et le devoir. *Ses personnages sont des rois et ses intrigues associent l’amour, famille, religion et politique : -deux personnages s’aiment passionement mais ne peuvent avouer ni consommer cet asmour parce que leurs familles sont ennemies (Hamlet, Horace), parce qu’un des deux est aime par un personnage puissant, qu’il en eime un autre ou parce que cet amour est incestueux(Phedre et Œdipe)  -Elle reprend souvent des mythes grec,

vouloir être aimé. Mais est-il absurde d’aimer ? Est-il impossible d’aimer ? Suite à la lecture du texte « Les contradictions du désir », de Jean-Paul Sartre, philosophe existentialiste français du XXème siècle, extrait de l’Etre et le Néant, on peut effectivement se poser cette question qui d’apparence simple et en réalité très complexe. On pourrait penser que l’amour donné augmente proportionnellement à l’amour reçu mais ce n’est pas aussi simple que cela. Ce sentiment d’amour semble être paradoxal

regard, par le son de sa voix, par le pli de son sourire ou celui de ses larmes, par l'allure de sa démarche, même par la couleur et le frisson de sa robe. Et il se disait : « Je crois que je suis pincé. Je me connais. C'est embêtant, cela! Je ferais peut-être mieux de retourner à Paris. Sacrebleu, c'est une jeune fille. Je ne peux pourtant pas en faire ma maîtresse. » Puis, il se mettait à songer à elle, ainsi qu'il songeait à Christiane l'année d'avant. Comme elle était aussi, celle-là, différente de

autrement et ce raisonnement ne tient plus la route. Une première distinction fait alors son apparition entre l’Interne – se rapportant au Moi- et l’Externe – se rapportant aux sensations de souffrance contre lesquelles l’Interne va devoir se défendre. En ce sens, la religion peut agir comme une échappatoire au danger auquel le Moi fait face. En effet, la religion, procurant un sentiment « océanique » et d’universalité permettra au Moi de trouver un peu de réconfort. Cela est d’autant plus vrai que la

donnée avec la conscience même, dont elle mesure ensemble la grandeur et la bassesse�¹. » Cette remarque liminaire de Vladimir Jankélévitch situe d’emblée la paradoxologie inhérente au mensonge. Celui-ci n’a de consistance que parce que son sujet est un être capable de vé- rité et de liberté�; il est un signe en creux de la liberté d’une conscience humaine – ou mal-angélique – adulte. Dans La Métaphysique des mœurs, Kant fait cette observation : « Il est remarquable que la Bible date le premier crime par

a bien usé, et j'ai regret d'avoir démêlé avec lui. SGANARELLE: Il vous serait aisé de pacifier toutes choses. DOM JUAN: Oui; mais ma passion est usée pour Done Elvire, et l'engagement ne compatit point avec mon humeur. J'aime la liberté en amour, tu le sais, et je ne saurais me résoudre à renfermer mon cœur entre quatre murailles. Je te l'ai dit vingt fois, j'ai une pente naturelle à me laisser aller à tout ce qui m'attire. Mon cœur est à toutes les belles, et c'est à elles à le prendre tour

et tous deux tombent amoureux, mais ne cèdent pas à la tentation. Lorsque la princesse avoue à son mari ses sentiments pour un autre et qu'il découvre de qui il s'agit, le prince meurt de chagrin. La princesse et le duc s'avouent mutuellement leur amour, mais pour des raisons morales et par respect pour son défunt mari, elle ne s'engage pas dans une relation avec lui. Elle se retire dans un couvent spirituel et reste fidèle à sa résolution jusqu'à sa mort.Thèmes principauxPassion amoureuse· L’amour

lois ne doivent-elles pas malgré tout être remise en question ? Si l’on prend l’exemple des lois mises en place par exemple lors des régimes nazis, il semble évident que la désobéissance serait une action morale et légitime. Ainsi, d’un autre côté, les lois ne seraient pas nécessairement justes. Nous sommes donc face à un paradoxe : Les lois semblent par définition distinguées ce qui est juste de ce qui ne l’est pas mais en même temps, peuvent-elles même être remise en question au nom d’un sens