L Animalité

l'alcool, les médicaments psychotropes et les drogues où l'usage ancestral et chamanique des psychotropes s'efface en quelques décennies au profit d'une imagerie négative symbolisée par quatre représentations déchéance, compulsion, irresponsabilité et animalité[11] L'évolution linguistique décrite précédemment témoigne d'une rupture culturelle quant au rapport aux substances psychotropes[8]. En effet, le rapport entre l'homme et les drogues est considéré comme un phénomène anthropologique majeur[4].

(Chaval: cheval; Rasseneur: raisonnable). * Zola utilise beaucoup de métaphores animales (nature) dans ses descriptions des personnages (ex: réduit à brouter comme des bêtes; Etienne sans gite…est un chien perdu). Il fait aussi ressortir leur animalité primitive lorsqu'ils sont en situation critique. Il compare encore leur sexualité à la bestialité, ils agissent sous le coup de l'instinct, la promiscuité et le fait qu'ils soient entassés comme des bêtes permet de l'expliquer. Voici quelques

désobéissance)Vertu = récompense serviles, calculatrice ? Le GorgiasTonneau des danaïdes + l’âme s’emplit de plaisirs + elle se videL’attrait du plaisir détourne l’H de son devoir · S’abandonner = relâchement de la volonté, état de passivité· S’attacher à animalité, extériorité, privés d’Humanité, n-m = fragmentation, dispersion de désirsVertu = ataraxieLe PhédonMorale qui prescrit de refuser les plaisirs, s’imposer des privations parvenir à plaisirs sup, plus intenses = tempérance Véritable morale dans le

(1) Repérage des réseaux lexicaux  découvrir les thèmes du récit ATTENTION ! Ne jamais "délivrer tel quel" ce repérage dans un commentaire composé. Réseau 1 Réseau 2 Réseau 3 Réseau 4 Réseau 5 Réseau 6 Réseau 7 Réseau 8 Religion Humanité Animalité Nature Taille/Force Lumière/couleur Vision Son/Maladie/mort petite cloche on noires comme des fourmis Soleil Une petite cloche Bien avant soleil se lève Petite cloche se mit à sonner Ermitage Angelo recouverts de carapaces dorées Collines ermitage

relation  mis  en  place lors du soin.   Pour  conclure,  l’auteur  précise  que  les  comportements  apudiques  sont  courant  dans  les  institutions  de  soin  et  sont  le  « signe  d’une  perte  de  contrôle  de  soi  et  d’abandon  à  notre   animalité »  (page  62)  qui  rendent  les  soignants  mal  à  l’aise.  Ainsi,  Marie­annick  Delomel s’interroge : les règles d’hygiène relatives à la pudeur ne seraient  – elles pas mises en place dans l’objectif de protéger les soignants et non les soignés 

victimes : elles vivent seule, dans une maison vide, les rapprochant de Dupin qui sort peut et vit dans une maison en ruine. Elles vivent la nuit et certains témoins que la mère vit une Bonaventure. Les coupables du côté de la marge : singe pour son animalité et matelot : mode de vie sans attache, placé sous le signe de l’errance. Dupin et narrateur : ne travaillent pas, vivent en reclus, et le texte insiste sur le caractère nocturne : « c’était d’aimer la nuit pour l’amour de la nuit, c’était sa passion(…)

toutes une souche commune. [...] Singes et hommes sont des rameaux différents, qui ont évolué, à partir d'un certain point, dans des directions divergentes, les premiers se haussant peu à peu jusqu'à la conscience, les autres stagnant dans leur animalité". L'évolution artificielle des singes et la déchéance des hommes sont quant à eux révélés au chapitre huit de la troisième partie : "Il [un singe] était chez moi depuis des années et me servait fidèlement. Peu à peu, il a changé. Il s'est mis à sortir

». 5 Le procureur, représentant le Ministère public (en France) ou « la Couronne » (en Angleterre), a pour objectif de faire condamner l’accusé pour meurtre ; il a donc intérêt à prouver l’humanité des tropis et à disqualifier la thèse de leur animalité (Drexler) reposant sur une conception raciste de l’évolution. Nous sommes tous des tropis ! Qui sommes-nous?, p. 154 3 Les jurés s’appuient sur leurs expériences professionnelles et leurs convictions intimes pour juger de l’humanité des tropis

l'humanité est la station verticale (Le Geste et la Parole, 1964). En effet, en se dressant debout, l'homme a pu libérer ses mains et donc saisir des outils et travailler. L'homme a alors entrepris de transformer la nature et il s'est éloigné de son animalité première : c'est l'apparition de la culture. 2La transmission de la culture Après être apparue, la culture a nécessité une transmission constante. En effet, le patrimoine culturel n'est pas de nature biologique mais de nature sociale ou informationnelle

la distinction entre l’Homme et l’animal appelé « Lagos ». Ce qui fait de l’Homme un être civilisé par nature, il ne se déplace pas à quatre pattes ni ne dort pas par terre, ne possède pas de fourrure mais porte des vêtements afin de masquer son animalité, par pudeur. Il montre alors qu’il n’est pas un animal. La civilisation de l’Homme est le processus de son émancipation peu à peu de la nature. L’Homme au cours des années c’est éloigné de son instinct animal. Nous pouvons rapprocher cette idée à