L Apologue Un Divertissement

efficace. En effet, la litt�rature touche un public particuli�rement vari�, non seulement selon ses go�ts, mais � travers les lieux et les �poques. Le th��tre, le roman, l�apologue, la po�sie sont autant de formes litt�raires qui � la fois touchent un public tr�s large et tr�s vari�, et permettent d�allier le divertissement ou le plaisir � une r�flexion instaur�e par l�auteur. Au XVIIe si�cle, La Fontaine, sous couvert de fables pour les enfants, critiquait de mani�re plaisante et piquante la cour

plus répandu, car le plus littéraire au fond, le cas de ces ouvrages volontairement et stratégiquement hybrides, qui pour diverses raisons mènent de front les deux exigences, le sérieux et le divertissement, l'un même servant d'autant mieux l'autre: loin de s'opposer, les deux catégories, du divertissement ou de l'ornementation d'un côté, et de l'argumentation et de la polémique, de l'autre, font tir groupé, vers plus d'efficacité, afin de convaincre d'autant mieux le destinataire. La littérature

machinalement. ». Pour lui, l'environnement familier, bien souvent banalisé par la routine, peut être redécouvert et embelli par le divertissement de la poésie. Partant, on se demandera comment l'expression de la poésie procède pour nous faire redécouvrir les choses étonnantes de notre monde trop souvent indifférenciées. Nous allons donc voir que, certes, la poésie est un divertissement qui s'inspire du quotidien, mais qu'elle est aussi de reconsidérer certaines visions du monde parfois brut car elle peut

Texte 1 Le divertissement dans Les pensées de Blaise Pascal XVII° siècle / Pensée Jaunistes Texte a visée argumentative -Pascal critique le divertissement qui conduit l’homme a se détourner de Dieu et a courir après une illusion du bonheur en se étournant de sa condition misérable et mortelle. I. La critique appuyée du divertissement et de la condition humaine • Registre oratoire -> convaincre ( raison ) • Genre épidictique -> blame des défauts et vices de l’hommes - Sens étymologique

2) le divertissement II- Humour et satire, fondamentaux dans une fable 1) caricature de l'orateur classique 2) une fable dans la fable III- Un message à plusieurs niveaux 1) la transmission d'une critique 2) vers les confidences personnelles | | I- Une fable à priori pour divertir 1) la fable 2) le divertissement II-

quelqu’un guide l’enfant. Les fables sont une école d’intelligence. Elles développent la raison puisqu’il faut voir au-delà du divertissement qui était l’objectif premier de LF. Les enfants ne retiennent souvent que l’histoire car ils sont dans le plaisir immédiat comme le montre l’exemple de la fable « Le coche et la mouche (Livre VII, fable 8). De cet apologue, les enfants vont se rappeler surtout le caractère comique provenant de la vantardise de la mouche, insecte minuscule qui pense être

communauté des lecteurs au moyen du pronom indéfini neutre « on » et du présent de vérité générale auquel personne n’échappe : « quand on pense [… ]» . Pour autant, faire « la leçon » ne se passe pas de divertissement dans le cadre d’un apologue, notamment à des fins stratégiques. Instruire au 17e siècle, cela signifie aussi plaire au lecteur qu’il faut amadouer ou bien toucher ou bien distraire pour mieux l’infléchir. Ce texte est donc avant tout persuasif, grâce à un

l'intimité familiale... Le joujou du pauvre est un poème en prose extrait du recueil de poème Le Spleen de Paris. C’est aussi un apologue : c’est une anecdote mettant en scène deux enfants, un pauvre et un riche, et un rat. Le riche oublie son jouet et est fasciné par le joujou du pauvre (le rat vivant). On a une morale implicite. Nous verrons en quoi ce poème en prose est un apologue. A cause d’un malentendus avec André Breton : il s'éloigne du surréalisme, mais garde goût du concept abstrait. Il se rapproche

de lier l’utile à l’agréable, entre enseignement et divertissement. Il s’agit de « plaire et d’instruire » comme l’a écrit le poète latin Horace dans son Art poétique, souvent reprise au XVIIe siècle. Leur caractéristique est d’allier légèreté apparente et profondeur inapparente. Ainsi, l’enseignement existe réellement, mais de façon moins flagrante que dans le cadre d’un long récit théorique. Tout cela est aussi le cas pour d’autres apologues que les fables, cela fonctionne aussi avec les contes

bien éduquer moralement, psychologiquement et contre toute attente, aussi physiquement. Néanmoins elle a aussi la fonction de distraire le lecteur. Tout d'abord nous aborderons la littérature comme une ouverture sur le rêve, l'imaginaire et le divertissement puis la littérature et l'éducation avant de constater que de nombreux auteurs réussissent à nous instruire tout en nous divertissant. La littérature peut-elle servir à faire évoluer les idées en matière d'éducation ? Aujourd'hui de plus en