L Apport Monétariste

faibles. C’est pourquoi, en France de la fin des années 1970 et au début des années 1980 le taux d’inflation dépasse les 10% durant plusieurs années. Ce moyen facile de régler le problème du déficit budgétaire est pris en défaut par les arguments monétaristes. La lucidité des agents économiques se traduit par une hausse des taux d’intérêt qui va lui-même peser sur la dette et donc aussi le déficit en alourdissant le service de la dette. Les néo-classiques portent une autre offensive en arguant des

l’intérieur et à l’extérieur du mariage. L’augmentation du taux de divortialité est ainsi expliquée par l’augmentation du salaire des femmes sur le marché du travail et le versement d’allocation aux mères célibataires. Ses travaux sont novateurs et leur apport a été essentiel dans de très nombreux domaines tels que le capital humain, l’analyse économique de la famille, l’allocation du temps, mais aussi la discrimination entre les individus ou encore le crime et la peine. Son analyse emprunte beaucoup à

Définitions de la masse monétaire : les agrégats monétaires IV- Les contreparties de la masse monétaire Chapitre III : La demande de la monnaie I- L’analyse classique II- La pensée de l’école de Cambridge III- L’analyse Keynésienne IV- L’analyse des monétaristes Chapitre IV : l’offre de la monnaie : La création monétaire I- Le processus de création monétaire II- Les systèmes de création de la monnaie Chapitre V : Le système financier I- Le secteur bancaire II- Le marché de capitaux A- Le marché

savoir l'émergence d'une "vaste classe moyenne" sera reprise et corroborée par l'analyse de Mendras qui conclut à une "moyennisation" de la société française contemporaine. Cette "vaste classe moyenne", observée dans la plupart des pays occidentaux, apporte un démenti formel à une bipolarisation de la société prophétisée par Marx. Le conflit fondé sur des revendications collectives d'amélioration des salaires et des conditions de vie - au sens marxiste - est remis en cause par le repli sur la sphère

d’échanges généralisés où production et consommation sont disjointes. La loi des débouchés étant un mythe, le capitalisme entraîne des phénomènes de sous-consommation ouvrière et de surproduction capitaliste, car la demande n’est pas solvable. Marx apporte deux éléments importants : - la confirmation des premières intuitions de Malthus et de Sismondi : la crise classique (juglar) est analysée comme un phénomène structurel et non pas seulement conjoncturel - la crise saisie comme jouant le rôle de régulateur

moderne car ce sont les premiers à construire à la fois des concepts, et des modes de pensées qui lui sont propres. I- Adam Smith (1723-1790) : Cet auteur va être abordé selon 3 points : le contexte dans lequel l'auteur énonce sa pensée Les apports et polémiques L'apport à travers le temps. 1) Le contexte dans lequel l'auteur énonce sa pensée : Smith va être au point de départ de la révolution industrielle avec un exode rural massif lié à la loi sur les Landcloser. Il y une masse de

l’Etat intervienne sur la demande ( investissements publics ) : politique de grands travaux. Il faut une couverture sociale ( Etat providence ). Pendant les 30 glorieuses les precepts de Keynes ont ete suivis par de nombreux gouvernements Pensée monétaristes : Pour baisser le chomage il faut plus d’inflation. Indemnisation chomage entraine l’oisiveté et diminue l’offre du travail . Ils considèrent que le salaire minimum paralyse l’embauche. Les économistes de l’offre : Réduire les prélèvements fiscaux

des salaire s'envole jusqu'à 71%, le taux de marge s'effondre de 30% à 40%. A partir de 1983, la désinflation compétitive inverse la tendance en faveur du capitale, le taux de marge remonte à 30%. La révolution libérale déclenché par la rigueur monétariste de la « Fed » en 1979, ce résume en France par ce renversement de rapport de force. Les employeurs imposent désormais leurs conditions. Sous le poids du chômage, les salariés s'inclinent et tout la question est de savoir, si ce renversement de tendance

La courbe LM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . III Le modèle IS/LM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . III.1 Le phénomène d’éviction financière . . . . . . . . . . . . . III.2 Cas particulier 1 : le cas monétariste (LM verticale). . . . III.3 Cas particulier 2 : la trappe à liquidité (LM horizontale). 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Le modèle Offre Agrégée

en œuvre de politiques économiques de réglage fin de la conjoncture (politique de stop and go). Sur le plan théorique, la théorie monétariste (Friedman) puis la théorie des anticipations rationnelles (Muth, Lucas et autres) conduisent à penser qu’il est préférable de recentrer la politique monétaire sur un objectif unique de stabilité des prix. – La critique monétariste (Friedman et Phelps en 1968) vise à rendre compte de la stagflation des années 70 par un usage erroné de la politique monétaire dans