L Apport Monétariste

bancaire ; ils sont donc attirés par les entreprises ayant un niveau de profits élevé. 4. Les petites entreprises ont une surface financière – importante, - de K fixe et souvent une rentabilité inférieure aux grandes entreprises. De ce fait, leur apporter des fonds comporte + de risques. 5. Un endettement élevé limite la marge d’emprunt d’une entreprise puisqu’il augmente la charge d’intérêt et il réduit la confiance es éventuels apporteurs de capitaux ; donc faute de moyens financiers suffisants

bancaire 1.3 Le rôle de la banque centrale 2. Une brève histoire de la pensée monétaire 2.1 La théorie quantitative 2.2 La doctrine des effets réels (real bills doctrine) 2.3 Wicksell et le taux d’intérêt monétaire 2.4 L’apport keynésien 2.5 La vague monétariste 2.6 La convergence actuelle 3. Les effets réels de la politique monétaire 3.1 Comment démontrer les effets réels de la politique monétaire ? 3.2 Les rigidités nominales 4. Les canaux de transmission de la PM 4.1 Le canal du taux d’intérêt 4.2 L’action

les crises passagères; ds th générale, il dit que la vision néo se restreint à des cas particuliers, et que les situations les plus connues st des situations de déséquilibre. Il va proposer des mécanismes pr rétablir la situation d équilibre. 1/ Apports de k approche globale des comportemts : macro économie. Étude de comportemts globaux. Nouvel outil : la compta nationale. L étude du niveau de l act éco = de comportemts globaux. A ce moment là, le plein emploi n est pas forcmt réalisé, et notamment

c’est un gonflement très important de la dépense publique et des PO. L’état est critiqué pour cela, mais aussi parce que son intervention conjoncturelle est bcp moins efficace dans un cadre de + en + internationalisé. En particulier le courant monétariste (Friedman), les politique monétaires expansionnistes n’ont plus d’effets sur les variables réelles (niveau de l’activité et de l’emploi). Il y a une remise en cause de l’interventionnisme sur tous ses aspects. Une crise atténuée :

pour qu´ils exportent et il va metre des taxes sur les importations. 2.2. Pourquoi vouloir une balance commerciale excédentaire? Le souverain va obtenir X-M> 0 et donc il va récevoir les MP, la monnaie est donc le fait qu´on exporte plus nous apporte plus d´argent. X-M>0  augmentation des stocks X-M a la demande de monnaie, les taux d´interet diminue. Lorsque la demande de monnaie > a l´offre, les taux d´interet augmente. 2.3. Le lien entre balance commerciale, monnaie et taux d´interet

La pluralité des méthodes et analyse économique Milton Friedman, économiste rattaché au courant monétariste a écrit « Laissez 3 économistes travailler ensemble, vous êtes sûr d’avoir au moins 4 avis sur la politique à suivre ». I. Les théories économiques et les sciences exactes 1) Explication standard et explication plurielle : Il y a une différence référentielle entre l’explication des sciences exactes ou dures, et l’explication de l’économie. L’explication des sciences dures est

maintien de stabilité des prix. Le champ de ses objectifs a été réduit. Conformément à l’article 1er de ses Statuts, l’objectif final de la politique monétaire de la BEAC est de garantir la stabilité monétaire. Sans préjudice de cet objectif, la BEAC apporte son soutien aux politiques économiques générales élaborées par les Etats membres. Pour la BEAC, dont la monnaie est rattachée à l’euro par une parité fixe, l’objectif de stabilité monétaire signifie un taux d’inflation faible et un taux de couverture

publiques. La plupart des Etats appliquaient ce précepte, aggravant ainsi inconsciemment la crise. J. M. Keynes, frappé par la sévérité de la crise de 1929, a mis l'accent sur le sous-emploi, ses causes et les remèdes que les pouvoirs publics peuvent y apporter. [...] Pour lui, la règle de l'équilibre budgétaire n'avait plus de sens. Tout le raisonnement débouchait sur une compensation systématique entre les dépenses privées et les dépenses publiques. Quand les premières étaient insuffisantes, les secondes

relation prévisible entre l'offre de monnaie et les besoins de financement pour établir un critère d'évaluation de la variable « quantité de monnaie », ne se sont pas montrées convaincantes dans certains pays. En conséquence, les politiques monétaristes, qui consistent à fixer et respecter des objectifs de croissance de la masse monétaire, sont devenues difficiles à appliquer et ont donné naissance à de grands débats sur la pertinence des critères de mesure de la masse monétaire et sur l'interprétation

...........................................................15 3. a) b) c) L’impôt dans la théorie néo-libérale......................................................................................................... 16 L’impôt chez les monétaristes .......................................................................................................................................16 L’impôt chez les ultralibéraux...........................................................................