L Apport Monétariste

théoriques et succession des objectifs de la politique monétaire * a) De la « monnaie voile » aux politiques volontaires issues de la théorie keynésienne * b) Le retour au monétarisme  * (1) Monétaristes et « Nouveaux classiques », * (2) Des banques centrales indépendantes visant principalement la stabilité des prix  * (3) L'inflexion des objectifs intermédiaires libellés en termes de masse monétaire

l’inflation avec politique d’intérêt haut. Remise en avant de l’impératif de compétitivité extérieure Reagan : l’Etat c’est le problème. Il y a des vagues de privatisation on va stimuler la compétitivité et la croissance. Avantage = apport d’argent pour l’état. Po monétariste avec lutte contre l’inflation, po taux d’intérêt élevé. Politique de l’offre allégé les contraintes sur les E pour accroitre la production. Politique de déréglementation introduction principe libéraux pour avoir plus de concurrence

crises précédentes : alors que 1929 est liée à une surproduction et à une baisse du prix des actifs, 1974 voit apparaître chômage et inflation … La théorie économique viendra donc apporter de nouveaux éclairages (monétarisme en particulier). Plusieurs interprétations de la crise sont pourtant avancées : - Pour les monétaristes, c’est une politique monétaire laxiste qui est à l’origine des déséquilibres - Pour les keynésiens, le renouvellement du capital nuit à l’augmentation des revenus ; cela entraîne

(passage du point A au point B). • La stabilité de cette relation statistique sera remise en cause par l'apparition de la stagflation à partir de 1973. Les politiques de relance vont être abandonnées dans les années 1980. La critique monétariste La validité de la courbe de Phillips sera remise en cause par Milton Friedman dès 1968. Selon cet auteur, il existe un taux de chômage naturel qui s'explique par les imperfections du fonctionnement du marché du travail. Toute politique de

l’individu en situation de rareté, et la manière dont agit un agent économique au sein de la société. b– La nature de la science économique L’économie est une science sociale. Elle n’est pas suffisante pour analyser une société. Il est nécessaire d’y apporter d’autres sciences, telles que la sociologie, les sciences politiques, la psychologie, l’histoire, etc… c – Quelques difficultés Il est impossible d’étudier un phénomène sans le relier aux autres phénomènes sur lesquels il agit (interdépendances)

savoir l'émergence d'une "vaste classe moyenne" sera reprise et corroborée par l'analyse de Mendras qui conclut à une "moyennisation" de la société française contemporaine. • Cette "vaste classe moyenne", observée dans la plupart des pays occidentaux, apporte un démenti formel à une bipolarisation de la société prophétisée par Marx. • Le conflit fondé sur des revendications collectives d'amélioration des salaires et des conditions de vie - au sens marxiste - est remis en cause par le repli sur la sphère

Toute hausse du taux d’intérêt incite les agents à détenir moins d’encaisses, Ainsi, contrairement à la vision classique Keynes démontre que la vitesse de circulation de la monnaie varie en fonction des fluctuations du taux d’intérêt. Les apports majeurs de Keynes : Il n’y a pas d’égalité entre épargne et investissement – et que la demande d’encaisse pour motif de spéculation revenait à faire des anticipations sur les variations du taux d’intérêt et sur les prix des titres. Section 3 : De

savoir l'émergence d'une "vaste classe moyenne" sera reprise et corroborée par l'analyse de Mendras qui conclut à une "moyennisation" de la société française contemporaine. • Cette "vaste classe moyenne", observée dans la plupart des pays occidentaux, apporte un démenti formel à une bipolarisation de la société prophétisée par Marx. • Le conflit fondé sur des revendications collectives d'amélioration des salaires et des conditions de vie - au sens marxiste - est remis en cause par le repli sur la sphère

pour lesquelles un chômage si élevé peut persister si longtemps. Ce livre est l'un des plus controversés jamais écrits. De nos jours encore, les économistes ne s'entendent pas sur les causes de la crise des années 30. Par exemple, les économistes monétaristes qui s'inspirent de Milton Friedman, de l'Université de Chicago, affirment qu'elle a été causée par de mauvaises politiques monétaires et non par des politiques budgétaires. Cependant, la Crise des années 30 et l'ouvrage de Keynes, ajoutés au

pour la fécondité de la recherche scientifique. Bien sûr, de nombreuses branches et écoles proposèrent des vues divergentes, le courant néoclassique fut gravement fragilisé par l’offensive keynésienne entre les deux guerres avant de digérer son apport • Y a-t-il des lois en économie ? (8) (9) Mais ce bref historique de la constitution de l’économie comme discipline scientifique ne suffit pas à rendre compte des véritables difficultés qui lui sont spécifiques. C’est à quelques unes de