L Arbre D Invention Humaine

les textes sont recopié de papyrus en papyrus (le plus anciens textes dont on dispose sont datés du 9e-10e-11e s. ap. J.C.) ; Biblio d’Alexandrie. La codicologie – dater les manuscrits ; La poléographie – déchiffre les manuscrits ; Le stemma – arbre généalogique du manuscrit, aide à trouver la version la plus ancienne (on ne dispose pas la version original – jeu de recopiage). Le point de vue des Anciens. VIII-V s. av. J.C. – rien n’a été écrite (sauf les textes politiques :

qu'Égisthe, absent de la cité, a pris de graves résolutions à son encontre, et elle lui rapporte le rêve fait par Clytemnestre : dans ce rêve, Agamemnon revenait à la vie et plantait son sceptre dans le plancher de sa maison, d'où surgissait alors un arbre lumineux éclairant toute la terre. Terrifiée par cette vision, Clytemnestre avait alors ordonné à sa fille de porter des offrandes au mort en vue de l'apaiser. Électre déconseille à Chrysothémis de faire de tels dons provenant d'une mère scélérate

donc être appliquée à tous, sans exception… (sinon certains gouvernent d’autres). « Les Peuples une fois accoutumés à des Maîtres, ne sont plus en état de s’en passer. » Préface « La plus utile et la moins avancée de toutes les connoissances humaines me paroît être celle de l’homme, et j’ose dire que la seule inscription du Temple de Delphes contenoît un Precepte plus important et plus difficile que tous les gros Livres des Moralistes ». « Comment l’homme viendra-t-il à bout de se voir tel que

considérant Combien ce fruit est gros et sa tige menue : A quoi songeait, dit-il, l'Auteur de tout cela ? Il a bien mal placé cette Citrouille-là ! Hé parbleu ! Je l'aurais pendue A l'un des chênes que voilà. C'eût été justement l'affaire ; Tel fruit, tel arbre, pour bien faire. C'est dommage, Garo2, que tu n'es point entré Au conseil3 de celui que prêche ton Curé : Tout en eût été mieux ; car pourquoi, par exemple, Le Gland, qui n'est pas gros comme mon petit doigt, Ne pend-il pas en cet endroit ? Dieu s'est

le naturalisme et le symbolisme. Trois écoles = trois courants littéraires, trois conception de l’art. Ils se rassemblent, créer des lois, donc créer le romantisme. Le chef de file  Victor Hugo. Qui dit école, dit règles (réglementation)  invention de courant. Les symbolistes  un peu de romantisme. 1) – Le romantisme Lamartine – 1820 : écrivain romantique – « Les Méditations ». lyrisme personnel (méditation, exprimer des sentiments personnels). Victor Hugo, très jeune, avec la bataille

aussi extérieurement à nous, les êtres humains, nous montrerons dans notre dernière partie qu’il est une modalité de la conscience.*En premier lieu, nous allons voir que le temps n’existe que pour une conscience. Le temps, nous ne pouvons pas le toucher, l’attraper, le sentir, ou même le voir. Il n’est pas quelque chose de sensoriel, de concret. Il est donc psychique, c’est-à-dire qu’il est lié à la pensée, à l’esprit. Par conséquent, le temps est une invention de l’Homme, puisqu’il n’existe pas réellement

d’appréhender ce sujet comme des tentatives d’exploration par franchissement de portes matérielle, conceptuelle ou symbolique. La porte est avant tout un objet disposé sur une ouverture réalisée sur un édifice pour contrôler son accès. C’est une invention humaine remontant à nos origines et au besoin de construire un espace clos et de protéger son accès, puis généralisée à tous les ouvrages ou espaces que l’homme a construit ou a délimité (chambre, maison, magasin, écoles, faubourg, hôpitaux, espaces

Université Omar Bongo République gabonaise Faculté de Lettres et Sciences Humaines Union-Travail-Justice Département des Lettres Modernes Option : Littératures Françaises Licence III Intitulé du cours : Histoire du livre Sujet  Le manuscrit. Présenté par : Sous la direction de : BIDZOUE BI-NANG Steeve M. NDONG Rodrigue OYANE ATOUGOU Ulrich P. MILOUNGUI BISOLA Faesolath KEUNANG Désirée ABOGO NTOUTOUME Plan

France. Tout commence par la rencontre entre deux antiquaires : le narrateur et M. de Peyrehorade. Tous deux se retrouvent pour parler d'une statue, celle dont tout le monde parle à Ille, découverte quelques jours auparavant. C'est en déracinant un arbre mort qu'un artisan du village, Jean Coll, a donné un coup de pioche dans quelque chose de métallique. M. de Peyrehorade a été appelé pour voir cette découverte, qui se révèle être une statue de femme. Alors qu’on la sort de terre, elle tombe sur la

présente, avec un symbole analogue, la même structure que L'Albatros dans sa version finale : On ne voit en passant par les Landes désertes, Vrai Sahara français, poudré de sable blanc, Surgir de l'herbe sèche et des flaques d'eaux vertes D'autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc, Car, pour lui dérober ses larmes de résine, L'homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu'aux dépens de ceux qu'il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang