L Architecture Pilotis

architectes et par la proximité des œuvres à visiter. En effet, je ne voulais pas effectuer uniquement un travail théorique sur des ouvrages choisis, mais je souhaitais aussi effectuer une recherche sur le terrain, afin de pouvoir me confronter à leur architecture. La présentation des architectes sera suivie d’une réflexion sur leur manière d’aborder l’architecture. L’œuvre choisie et ses principales caractéristiques terminera cette première partie. L’ambiguïté entre l’intérieur et l’extérieur va être abordée

son principe général a travers sa description, sa construction et enfin a travers son cote spirituel. I. Description générale de la maison japonaise traditionnelle : La maison traditionnelle japonaise est un habitat en surface sur pilotis. Il possède généralement qu’un rez-de-chaussée mais il arrive qu’il y ait la présence d’un étage, essentiellement dans les habitations urbaines. Dans tous les cas, les actes de la vie quotidienne se déroulent au rez-de-chaussée. La maison possède

sans précédent des idées reçues mais une question essentielle reste toujours en débat: Le musée doit-il s’exhiber ou s’effacer ? I- “Le musée temple” A leur création, les musées étaient abrités dans les palais princiers, la question d'une architecture spécifique ne se posait pas encore. Les collections y étaient exposées dans des galeries au décor fastueux. Exemples vus en cours : le musée de l’Ermitage (Saint-Pétersbourg), les musées du Vatican, les musées du Palais Pitti à Florence.

face au temple Wat Arun, Noonsee vient savourer quelques instants de sérénité dans ce quartier ancien de Bangkok, l’âme de la ville. Un quartier hors du temps où les touks touks ont remplacé les voitures, les prières les klaxons et les maisons sur pilotis, les gratte ciels. Et selon l'architecte Pongwang Lassus, ce Bangkok est éternelle même si dès le coucher du soleil, un autre Bangkok entre en scène. 2° PARTIE : DE NUT, LA CITE DES ANGES … Quartier de Soi Cowboy La nuit Bangkok se métamorphose

Outils, modèles et méthodes de l’urbanisme Capita Selecta Thème : la ville comme enjeu, cadre et substance de l’architecture au XXe siècle Crise en architecture, urbanisme dans les années 70 : comme si on avait perdu les fondations même de la discipline -> comment se ressourcer ? Il faut donner forme et créer un cadre de vie = base, fondement. La ville change constamment mais comment intervenir dans ce cadre dynamique, qui bouge ? L’urbanité est ce qui fait qu’une ville est une ville ! Où

............................................. 42 SELMA ZERHOUNI FOUAD AKELAY 32 somgt9-2 32 22/12/05, 14:28:56 L’habitat vernaculaire Le legs traditionnel à développer L’architecture citadine des médinas : Éloge des maâlems Architecture de bon sens, elle est réalisée par des maâlems et profite d’un urbanisme réglé sur un parcellaire aléatoire. La médina développe des activités issues du corporatisme artisan. Le savoir faire des maâlems se transmettait dans un rituel initiatique

serpente au milieu d’une brume transpercée de collines au loin. Aux abords de la route, émergeant des rizières en contre-bas , comme une maquette de ville fortifiée surgie des eaux, des briques, des milliers de briques façonnées là, créent une architecture aléatoire et médiévale qui semble protéger la ville. Sur le mince chemin tracé dans la terre de chaque côté du bitume, des hommes et des femmes drapés dans des lambas , tête couverte de panamas avancent dans le petit jour. Je pense à une Amérique

voir des cités heureuses bien gouvernées, visent à convaincre leurs lecteurs que d'autres modes de vie sont possibles. B/ LES DERIVES DES BATISSEURS Certains bâtisseurs ont la détermination de créer des cités idéales, des villes aériennes, des architectures volantes. Ils ont cherchés par tous les moyens de faire vivre la population dans des toiles tendues, des bulles ou encore des nuages. Dans cette partie je tenterais de vous faire part des différentes utopies qui ont pu au moins une fois passer

Chacune ayant ses règles et ses taches propres, la société ne serait que mieux organisée et donc proche de la perfection. Cependant penser la ville ne signifie pas uniquement imaginer son organisation politique. Il est également question de son architecture, de son organisation spatiale. Comment cette ville idéale serait-elle aménagée ? C’est cette question qui a amené différents architectes à travers les siècles à élaborer des théories sur l’urbanisme. Charles-Edouard Jeanneret, un architecte du

respecter l’esprit fondateur du Centre. Ce Centre est d’un nouveau genre. En effet, ce n’est pas un musée (il ne détiendra pas de collections à lui) et ce n’est pas une copie du Centre originel : il a pour ambition d’en prolonger l’aventure avec une architecture bien particulière et une culture contemporaine à faire apprécier à un large public. Plusieurs villes étaient préconisées pour accueillir se projet. Il y avait Caen, Montpellier, Nancy et Lille. Cette dernière fut un temps sérieusement pressentie