L Art Du Récit

et la force de suggestion (images). * Art poétique * Aube * Ballade * Calligramme * Chanson * Élégie * Épigramme * Épopée * Fable * Haïku * Nouvelle * Ode * Pastourelle * Poème autobiographique * Poésie en prose * Poème de cinq lignes * Rondeau * Rondel * Sonnet Narratifs Les genres narratifs sont caractérisés par le récit de l'enchaînement plus ou moins complexe des

(l3) cela crée une forme d'incertitude, de doute ex : le profond minuit 3.le château : aspect contrasté , il est abandonné mais meublé (champs lexical du luxe bien développé) Quelques expressions indiquent l'état délabré du château 4.le 2ème récit : se déroule dans une tour isolée du château où se trouve la jeune fille et le peintre. Dans la présentation de la jeune fille on remarque une perception hyperbolique (« d'une très rare beauté » superlatif absolu) qui décrit une beauté absolue. La

sera confirmé par le fait que sa fameuse toile se révèle par la suite être gatée. On peut le découper en deux parties bien distinctes, la première s'étendant du début a "bien, l’œuvre que je tiens là-haut sous mes verrous est une exception dans notre art.", Ou Frenhaufer explique la création de sa toile, parlant de lui avoir insufflé son âme, introduisant déjà la seconde partie s'etendant depuis "Ce n'est pas une toile, c'est une femme!" jusqu'a la fin de l'extrait ou il fait démonstration de toute

très longue, vient ensuite le récit et la moralité, qui fait 6 vers. Donc la proportion récit/commentaire est ici à l’avantage du commentaire. Référence à la Grèce : Démosthène/Philippe. (licence poétique, Athène sans « s ») L’orateur fait trois tentatives pour tenter de capter l’attention de son auditoire. Première tentative : « D’un art tyrannique […] on ne l’écoutait pas » Discours narrativisé. L’orateur argumente en parlant des intérêts républicains + rhétorique « art tyrannique ». Deuxième tentative :

précède : Apres le tremblement de terre de Lisbonne auquel Candide et Pangloss ont survécu, nos deux personnages ont été arrêtés par un familier de l’inquisition à cause d’un discours suspect de Pangloss. A) Voltaire, dans ce passage révèle son art de conteur : Le passage présente dés le début, au premier paragraphe, une situation initiale : 1) Où se passe la scène ? – A Lisbonne. 2) Quand ?- Apres le tremblement de terre. 3) Quel est l’événement ?- Un autodafé. 4) Qui en sont les instigateurs

Lettres supérieures COMPOSITION FRANÇAISE Tandis que Louis JOUVET écrit : « L’essentiel d’une ' uvre dramatique, c’est le texte. Tout l’art du comédien est un art de dire », Antonin ARTAUD définit ainsi les remèdes à apporter à la crise du théâtre : « Le théâtre, art indépendant et autonome, se doit pour ressusciter ou simplement pour vivre, de bien marquer ce qui le différencie d’avec le texte, d’avec la parole pure, d’avec la littérature et tous les autres moyens écrits et fixés. »

2-08-064632-X)  * 1998 : Le dernier candidat : comédie dramatique en 2 actes, Éd. théâtrales Art et comédie, Paris, 49 p. (ISBN 2-84422-012-6)  * 1998 : Le personnage : comédie dramatique en un acte, Éd. théâtrales Art et comédie, Paris, 29 p. (ISBN 2-84422-042-8)  * 2003 : Poursuites, Éd. Alternatives, coll. « Rencontres », Paris, 108 p. (ISBN 2-86227-403-8)  ------------------------------------------------- Récits et autres ouvrages [modifier] * 1969 : Liban, Éditions du Seuil, coll. « Petite

I-LES CARACTERISTIQUES DE L’APOLOGUE 1- Récit bref et dynamique ( analyses des procédés au service de ce dynamisme) - mise en valeur de l’action : Nombreux verbes d’action V3 14 16 19 … - Dynamisme lié au schéma narratif : pas de SI = élément perturbateur direct « un jour » v1 et 2 puis enchaînement péripéties jusqu’à SF v32 « Bref il s’en tire » = 4 syllabes. V14-15 = ellipse narrative = rapidité. - Dynamisme créé par absence de mots de liaison = parataxe asyndétique v16-17-18-19 v 30 31

Art, Etat et pouvoir au XXème siècle Nous avons choisi la thématique « Art, Etat et pouvoir au XXème siècle » dont la problématique est « Comment l’Art transmet-il la mémoire d’un traumatisme ? ». Nous pouvons plutôt nous demander « L’art peut-il transmettre la mémoire d’un traumatisme ? ». Afin de répondre à cette question, nous présenterons le livre de Michel Del Castillo, Tanguy histoire d’un enfant d’aujourd’hui et la musique « un survivant de Varsovie » de Schoenberg. Tanguy

Le fantastique De tous temps, la littérature s'est nourrie de récits occultes, de légendes, de contes faisant intervenir la magie, le surnaturel, l'étrange. Au Moyen-Age, on parle de "merveilleux" parfois lié aux questions religieuses, comme dans Merlin de Boron, où se mêle légendes du roi Arthur et imaginaire chrétien, on parle d'ailleurs de "merveilleux chrétien". D'ailleurs cette matière sera reprise par Perrault dans ses contes de fées au XVIIe siècle. Mais la grande différence entre le merveilleux